Cette grotte datant de 1955 avec une statue de Saint-Remacle, l’évangélisateur (1937) domine les rochers de Saint-Remacle surplombant la Semois. Elle a été restaurée en 1993.
Cette chapelle a été construite par les habitants du village, sans aucune aide financière extérieure, en 1935. Les hommes se sont occupé de la maçonnerie et les femmes ont fait des collectes pour financer l’achat de matériaux.
Cette petite chapelle en sous-bois, entourée de deux tilleuls, est dédiée à Saint-Roch.
On priait ce dernier pour prévenir de la peste et des maladies contagieuses.
Cette chapelle a été construite en 1953 au sommet d’une colline culminant à 500 m et dominant le village, à l’emplacement d’une chapelle plus ancienne, construite après une épidémie de peste ayant ravagé le village au 17è siècle.
Cet édifice rectangulaire en moellons de calcaire entouré de tilleuls a été bâti en 1834 grâce à la générosité de Jean-François Kerres et de Marie-Elisabeth Pelzer.
Cette chapelle de style néo-roman a été construite en 1880. Elle remplace un édifice plus ancien datant de 1664 placé de l’autre côté de la colline. Il fut brûlé avec le reste du village disparu, Mageriol, lors d’une épidémie de peste.
Cette chapelle a été érigée en 1725.
Elle a été réalisée et financée par les paroissiens eux-mêmes afin de ne plus devoir se rendre aux offices de l’église de Florenville, pour cause d’accès difficile en cas de crue de la Semois.
Ce petit édifice en moellons de grès et pierre calcaire, à la toiture en ardoises surmontée d’un clocheton de plan carré et d’une croix, date de la première moitié du 18è siècle.
Cette petite chapelle en pierre pourvue d’un clocheton est classée.
La première mention écrite du bâtiment date de 1646, mais la chapelle pourrait être encore plus ancienne.
Cette chapelle a été construite en 1636 afin de remercier Saint-Roch d’avoir protégé le village lors d’une épidémie de peste. Elle est classée au patrimoine immobilier de Wallonie depuis 1982.