Ce village lové dans la vallée de la Semois, composé de nombreuses maisons et fermes en schiste du 19è siècle, compte un peu plus de 1500 habitants.
Le plan primitif de la forteresse médiévale est dressé.
Jean de Rochefort devient le seigneur de Château Thierry et du ban d’Orjo.
Jean de Rochefort reçoit en sus Herbeumont.
Le château est démantelé par les troupes françaises de Louis XIV.
Des habitants du village partent dans l’ouest américain et certains s’y établissent définitivement.
Herbeumont est prise par les Allemands de la 10è Panzerdivision, qui a pour objectif de traverser la Meuse à Sedan.
La ligne de chemin de fer 163A (Bertrix-Muno) est fermée et déferrée.
Environ 800 personnes qui s’étaient expatriées se rassemblent lors d’une fête mémorable.
Cette aire de barbecue est située en rive droite de la Semois. Elle offre 3 tables de pique-nique et un abri. Une zone de baignade se trouve juste à proximité.
Cette aire de barbecue située en rive gauche de l’Antrogne, un affluent de la Semois, offre 4 tables de pique-nique et un abri.
Chapelle classée du 17è érigée à Saint-Roch pour une épidémie de peste ravageait la région.
Cette église de style néo-roman inaugurée le 12 octobre 1903 est caractérisée par un maître-autel remarquable.
Une aire de pique-nique située le long de la petite route du Plannois, à l’orée d’une vaste forêt au sud-est d’Herbeumont.
Cette table de pique-nique est située en plein cœur de la Forêt de Sainte-Cécile, sur une colline en rive gauche de la Semois, au sud d’Herbeumont et de Conques.
Une aire de pique-nique située le long d’une petite route, au sud du village d’Herbeumont.
Cette ancienne résidence d’été de l’abbaye d’Orval est à présent devenu une hostellerie renommée.
Le premier édifice est construit à la demande de Sigebert,roi d’Austrasie, qui prie Saint Remacle, évêque de Maestricht, d’éríger un monastère au sein du comté de Chiny, à proximité du village de Cugnon. Le "CASAE CONGIDUNUM" de la Charte prend option.
Le domaine de Conques est une résidence d’été de l’abbaye d’Orval. Quelques frères y dirigent une grange cistercienne.
Conques possède 320 hectares de terres, bois, prairies et étangs.
Charles de Bentzeradt, abbé réformateur d’Orval, décide de transformer la grange en maison d’études pour ses moines. Elle devient un prieuré.
Les premiers cours de latin et de théologie sont donnés au prieuré.
Les travaux de construction d’une église sont entamés. Conques connaît Ia pose et Ia bénédiction de Ia première pierre de l’église par Charles-Louis d’Aspremont, supérieur du Prieuré.
L’église est consacrée par Étienne Henrion, abbé d’Orval. Il y célèbre I’office divin.
La consécration des trois autels a lïeu.
Le bâtiment principal (l’hôtel aujourd’hui) est achevé. Sous l’impulsion de l’Abbé Menne-Effleur, décédé en 1764. Conques vit des années de prospérité.
La Révolution Française contraint I’Abbé d’Orval Gabriel Siegenitz et sa communauté à se retirer au Prieuré de Conques en emportant meubles et archives, suite au passage des armées françaises. La communauté se disperse.
Gabriel Siegnitz est emprisonné car il refuse de jurer fidélité à la constitution civile.
L’abbé Siegnitz meurt.
Dom Pothier, Abbé bénédictin de Saint Wandrille (France), réformateur du plaint-chant grégorien, accompagné de ses religieux en exil, trouve refuge à Conques.
Dom Pierdat, successeur de Dom Pothier ramène Ia communauté en France.
La Famille DE NAEYER acquiert le domaine de Conques, ils exploitent la Semois et les étangs de Conques a titre de pisciculture (anguilles et truites principalement), ils exploitent également les prairies et les forêts environnantes.
Florimond et Simone DE NAEYER transforment le Prieuré de Conques en une accueillante et luxueuse hostellerie.
Ils construisent une annexe à l’hôtel: la "Résidence".
Leur Fils Françis DE NAEYER accompagné de son épouse et de leur fils Jérôme, entreprennent le suivi de cette longue histoire familiale. "L’Hostellerie du Prieuré de Conques" est ensuite entièrement restaurée et remise au goût du jour.
Ruines du château érigé en 1268 par Jehan de Rochefort, fils de la maison de Walcourt. Il a été détruit en 1657 par les troupes françaises du Maréchal de la Ferté, sur ordre de Louis XIV.
Il fait aujourd’hui l’objet de fouilles archéologiques et d’importants travaux de mise en valeur.
Presqu’île boisée enchâssée dans une boucle que la Semois décrit vers le sud.
Ce viaduc de 45 m de haut a été construit par les Allemands au cours de la 1è guerre mondiale. Il figure aujourd’hui sur un superbe sentier de 7 km de Sainte-Cécile à Muno.
Epopée moyenâgeuse !
En douceur le long de la Semois
Caché dans la forêt
A la rencontre de la nymphe Semois
Entre Bertrix et la Semois...