Marie Gobaille est une sorcière de haut rang car elle est capable de tours de sorcellerie absolument fantastiques.
Là voici cependant rattrapée par le tribunal de l’inquisition, mise au courant de ses exploits fabuleux.
Ces rochers situés sur la rive droite de l’Ourthe en amont du pont de Hotton sont dotées de 17 voies d’escalade équipées de broches qui ont été ouvertes début 1990.
Ce conglomérat de poudingue se dresse sur un plateau situé à 560 m d’altitude : le Richelsley. Il se développe sur une hauteur de 20 m et une longueur de 90 m, sur une orientation est-sud-est vers ouest-nord-ouest.
Ce bloc rocheux plat a une hauteur d’environ 10 m et possède une envergure de 8.5 m sur environ 3 m. Il est également appelé Pîre al’Falhouze, ce qui signifie en wallon la Pierre à la Falaise.
Ce vaste amas de roches en grès est lié à une légende : celle qui raconte que le diable, furieux de la construction du monastère de Stavelot par Saint-Remacle, portait sur son dos ce rocher pour le détruire.
Un site d’exception classé : un éperon rocheux composé de phyllades, d’une longueur de 1,5 km, 80 mètres au-dessus de l’Ourthe. Cette dernière ne sachant l’éroder, a formé un méandre serré autour de la barrière de roches.
Une anecdote y est liée à Haroun Tazieff, le célèbre géologue. Il a fait une chute de 22 m en escaladant ce rocher (en 1943), dont l’escalade est à présent interdite. On le crut mort mais il s’en tira finalement avec quelques égratignures.
L’un des plus imposants massifs de la Vallée de l’Ourthe.
Sa hauteur varie de 40 à 60 m.
Les premières voies d’escalade ont été ouvertes en 1935.
Le Coup Noir et Les Dentelles sont l’oeuvre de René Mailleux.