Cette abbaye cistercienne est située dans un château perché sur un rocher majestueux construit dans un parc remarquable qui domine de plus de 100 m la vallée de l’Ourthe.
Plusieurs dépendances datent du 18è. Dans la cour se trouve une Chapelle conventuelle de 1964.
Au sein de l’abbaye, on y cultive notamment l’agaric brun.
Préhistoire : avant -3000 (premières écritures)
Antiquité : -3000 à 476 (chute de l'empire romain d'occident)
Moyen-Age : 476 à 1453 (chute de l'empire romain d'orient)
Temps modernes : 1453 à 1789 (Révolution française)
Epoque contemporaine : 1789 à 1945 (Fin de la seconde guerre mondiale)
Histoire récente : 1945 à nos jours
13 è siècle
Le domaine est fondé par Eustache de Hamal.
1282
Eustache de Hamal décède.
1361
La famille de Brialmont devient propriétaire du château.
17 è siècle
Brialmont sert de Place forte et d’oratoire.
18 è siècle
Brialmont est la résidence de Monseigneur Grady.
19 è siècle
Le château devient propriété des Mélotte de Lavaux, puis des Otreppe de Bouvette.
1923
L’important château en U est réédifiée sur les base des constructions du 13è siècle.
1956
G. d’Otreppe décède. Le château est donné à sa fille, religieuse, qui en fait don à sa communauté.
1961
Le château est acquis par des moniales cisterciennes.
10
nov
1963
Le Révérand Père Abbé d’Orval pose la première pierre de la chapelle.
15
aoû
1964
La chapelle est consacrée.
19
nov
1974
La congrégation est intégrée à l’Ordre des Citeaux.
Une champignonnière vient assurer l’économie du monastère.
Ces murs de soutien en moellons de calcaire et en brique ont été édifiés en 1897 par les propriétaires du versant boisé de Limoges, pour maintenir les terres meubles et les rochers du coteau.
Ce château est cité depuis la fin du 13è siècle et porte le nom de son propriétaire : Willelmo de Brunsode, chanoine de Saint-Lambert à Liège.
Il est classé depuis 1972.
Il abrite aujourd’hui la bibliothèque communale et des bureaux.
Cette imposante bâtisse de style néo-classique en brique et en calcaire date du milieu du 19è siècle. Il fut érigé par Alphonse Neef, ancien bourgmestre de Tilff, sur base d’une construction plus ancienne.
Ruisseau d’intérêt archéologique comportant de nombreux phénomènes karstiques.
Nombreux sentiers de promenades pédestre et VTT.
Poudingues et cascades.
Le long de ce ruisseau, on y trouve le Gouffr
Ruisseau d’intérêt archéologique comportant de nombreux phénomènes karstiques.
Nombreux sentiers de promenades pédestre et VTT.
Poudingues et cascades.
Le long de ce ruisseau, on y trouve le Gouffre de la Roche Perdue, la Grotte Véronika, la Grotte de Brialmont, l’Abime de la Chawresse et ses nombreux réseaux (un des plus vaste systèmes souterrain de Wallonie), le Trou des Procès, le Trou des Manants, la Grotte du Baron et le Trou des Nutons.
Le cours d’eau est souvent tari et principalement à l’étiage. la cause est inconnue.
Ce cimetière date de la fin du 19è siècle. Le mur d’enceinte en moellons de grès est interrompu par une entrée avec des piliers en calcaire. Plusieurs monuments funéraires remarquables jalonnent le cimetière.
Cette ancienne ferme est bâti en moellons de grès, calcaire et briques.
Elle a été édifiée fin 17è siècle, début 18è, à l’emplacement d’un bâtiment très ancien appelé Cence du Bihay.
Grande classique de la spéléologie, l’une des plus fréquentées de Wallonie.
Elle se développe sur un total d’environ 1542 m.
Sa profondeur est de 35 m sur 4 étages superposés.
Le porche est haut de
Grande classique de la spéléologie, l’une des plus fréquentées de Wallonie.
Elle se développe sur un total d’environ 1542 m.
Sa profondeur est de 35 m sur 4 étages superposés.
Le porche est haut de 4 à 5 m et profond de 15 m.
Cette grotte protégée se développe sur plus de 2 km, avec une grande salle et des galeries phréatiques. Elle comporte une dénivellation de près de 100 m.
Cette gare est une construction en brique et calcaire de style néo-classique.
Elle a été ouverte au trafic des voyageurs en 1866.
Les deux ailes ont été ajoutées en 1891.
Cette habitation en moellons de grès, calcaire et briques date du 18è.
Le linteau de la porte d'entrée daté de 1541 ne correspondant pas au style de la maison, il est probablement issu d'un matériau
Cette habitation en moellons de grès, calcaire et briques date du 18è.
Le linteau de la porte d'entrée daté de 1541 ne correspondant pas au style de la maison, il est probablement issu d'un matériau de réemploi.
Ce puits carré en brique date du 19è.
Il est percé d'une porte à linteau de calcaire.
Au pied d'un petit chemin en pente reliant la Rue de la Grotte à la Rue des Ploppes.
Ce massif, lieu d’escalade, se compose de 5 parties.
1) Les Bombés : où se déroule la voie la plus longue de Tilff (85 m)
2) L’Anticlinal ou Porche
Triangulaire : les plus dures
3) la Partie Centrale : les plus faciles
4) la Dalle: Fine et engagée
5) Le Porche de la Grotte : délaissé
Préhistoire : avant -3000 (premières écritures)
Antiquité : -3000 à 476 (chute de l'empire romain d'occident)
Moyen-Age : 476 à 1453 (chute de l'empire romain d'orient)
Temps modernes : 1453 à 1789 (Révolution française)
Epoque contemporaine : 1789 à 1945 (Fin de la seconde guerre mondiale)
Histoire récente : 1945 à nos jours
mar
1837
L’entrée de la grotte est mise à jour par un groupe d’ouvriers carriers à la suite d’un tir de mine.
1918
Premières escalades de Tilff. René Mailleux a 12 ans et son frère André gravissent à moult reprises les gradins situés sur la gauche de la grande dalle.
1954
André Capel ouvre la première voie de digne de ce nom "Le Grand Dièdre de St Anne".
1963
3 jeunes grimpeurs liégeois décident enfin de s’attaquer a cet épouvantail et ouvre la première voie de la dalle La Directe, ils se nomment Jacky Delderenne, Jean-Claude Jérome et Paul Moïse.
Cette ancienne usine était déjà occupée par un moulin au 16è siècle. Une fenderie lui a fait suite. Elle fut transformée en laminoir en 1798.
L’usine resta active jusque dans les années 1950 dans le domaine du laminage des tôles de zinc.
De nombreux bâtiments ont été convertis en logements.
La périphérie de Liège est très dense et depuis celle-ci, plusieurs régions commencent à s’étendre : l’Ardenne au sud-est, le Condroz au sud-ouest, le Pays de Herve au nord-est, la Hesbaye au nord-ouest. S’y cache un réseau de balades bluffant...