Quelques hêtre majestueux jalonnent ce petit arboretum aux confins orientaux de la commune de Gedinne.
Cet arboretum très bigarré comporte de nombreuses espèces végétales telles les fusains à feuillage caduc, une collection d’érables japonais, de sorbiers, etc.
L’accès est gratuit du lever au coucher du soleil.
Cet arbre âgé de plus de 350 ans est tombé lors d’une tempête. Celui-ci provenait de Schoppen.
Hêtre planté à une époque indéterminée sur la frontière entre la Principauté de Liège et la Principauté de Stavelot - Malmedy. Disparu, un nouveau a été replanté à cette place.
Ce hêtre fut planté pour le 100è anniversaire de l’indépendance de la Belgique.
Ce chêne, placé juste derrière le Monument aux morts de Spa, a été planté le 22 novembre 1919. Il symbolise les aspirations et l'état d'esprit de la population à la fin de la première guerre mondiale.
Vestige témoin du supplice qu’encoururent les frères Renard pour avoir assassiné le curé de Xhignesse en 1778.
Cet arbre commémore la victoire de 1918 dans le site classé du calvaire de Desnié et a été planté par les écoliers de Desnié en 1919.
Une plaque commémorative rappelle le geste des écoliers.
Un pierre gravée aux lettres dorée indique :
"HARGIMONT 1830 - 1930 ARBRE DU CENTENAIRE DE L’INDEPENDANCE".
Ce sapin aujourd’hui décapité par la foudre a été le témoin de l’agression de Joseph Gavroye, agé de 15 ans, par un allemand de 18 ans. Une plaque commémorative subsiste sur un poteau à proximité.
Cet arbre se situe au pied de la Croix Saint-Christophe.
Arbrefontaine a été cité la première fois en l’an 666 sous le nom de Alba Fontana, la Blanche Fontaine.
Le gentilé des habitants est d’ailleurs "albafontains".
Son appellation actuelle date de 1713.
Ces arbres gigantesques sont disséminés dans le parc du Domaine du Rond-Chêne, dont un à rue le long des barrières.
Situé à l’extrémité ouest des Champs-Elysées, ce monument imposant a été décidé par l’empereur Napoléon Ier au lendemain de la bataille d’Austerlitz. Sa construction a débuté en 1806 et s’est achevée sous Louis-Philippe en 1836.
Divers commerces sont réunis dans cette bâtisse datée de 1876-1877 et qui était à l’époque une école.
Ces murs de soutien en moellons de calcaire et en brique ont été édifiés en 1897 par les propriétaires du versant boisé de Limoges, pour maintenir les terres meubles et les rochers du coteau.