Ce pont en blocs de pierre de France est une reproduction d’un pont du 18è siècle détruit durant la seconde guerre mondiale. Enjambant la Semois à une position stratégique entre Ardenne et Gaume, une structure en bois existait déjà au 12è.
Ce pont en blocs de pierre de France est une reproduction d’un pont du 18è siècle détruit durant la seconde guerre mondiale. Enjambant la Semois à une position stratégique entre Ardenne et Gaume, une structure en bois existait déjà au 12è.
Le second plus long pont suspendu d’Allemagne surplombe la vallée du Ruisseau de Mörsdorf de 100 m. Il est long de pas moins de 360 m. Il date de 2015. Il a été détrôné par le Titan RT dans les montagnes du Harz avec ses 485 m de long.
Ce hameau se situe juste à la confluence de l’Amblève avec l’Ourthe, plus exactement au sud-est de celle-ci.
Ce lieu-dit est situé en contrebas et au nord de Villers-Saint-Gertrude, où coule le ruisseau du même nom.
Ce très long chemin forestier va actuellement de la N697 Remouchamps - La Reid à Ville-au-Bois en passant près des sources du Ninglinspo. Il marquait autrefois la limite entre les duchés de Limbourg à l’ouest et de Luxembourg à l’est.
Ce village est situé entre les vallées de l’Almache et de l’Our, deux affluents de la Lesse. Il a été cité pour la première fois en 746. Le toponyme provient des porcheries de la villa mérovingienne de Graide.
A ce lieu-dit où se trouvait jusqu’en 1770 une des quatre herderies de la forêt ducale.
Les trois autres sont celles de la Robinette, de Sôristène et de Hattlich.
Deuxième port fluvial européen pour le tonnage (en 2004 : plus de 22 millions de tonnes manutentionnées), derrière le port rhénan de Duisbourg (Allemagne) et devant le Port autonome de Paris.
Cette porte cintrée en calcaire date de 1862. Elle est fermée par une grille en fer forgé. Elle donne accès à une cave creusée à flanc de colline.
Une des deux portes de la ville subsistantes des fortifications du Moyen-Age, à l’architecture de fin de période gothique. Millésimée 1477, c’est la date présumée de sa construction.
L’une des 3 portes de l’ancienne ville fortifiée de Revogne datant de 1241. Elle était autrefois nettement plus haute et comportait une tour de défense aujourd’hui disparue.
Cette tour carrée d’une hauteur de 17 m permettait jadis l’entrée dans la ville et ce depuis 1332 lorsque Jean l’Aveugle, comte de Luxembourg et de La Roche, roi de Bohème et de Pologne, accorde la Charte à la Ville.
Il s’agit d’un vestige en briques et en pierres d’une tour d’enceinte de la ville.
Une enceinte de 1 km de périmètre entourait l’ensemble des bâtiments monastiques.
Immeuble en forme de tour rectangulaire, en briques et pierres, coiffé d’une toiture à croupes.
Les fenêtres et pignons sont des restes de la résistance mosane : ancrages, fenêtres à jour unique et à
Cette entrée de la ville date du 17è siècle. On l’appelle également la Porte Sibert ou Salmier (ancien bourgmestre). Un chronogramme gravé sur une plaque de marbre noir est millésimé 1637.
Cette porte de la ville accrochée au versant oriental de la vallée à l’aplomb d’une paroi rocheuse, également appelée Porte en Corroy, a servi d’entrée fortifiée entre le 13è et le 15è siècle.