Cette croix a été élevée à la mémoire de L. Christiane, tué par la foudre le 15 juillet 1839, après avoir été fauché du foin sur sa parcelle en Fagne Wallonne, où les habitants de Champagne avaient le droit d’en récolter.
Jean Collin, bûcheron de son métier, était un habitant de Mohipré, qui a vécu à cet endroit. La légende raconte que suite à la mort de son père, n’ayant pas prié pour le repos de son âme, il connut une vie empreinte de malheurs.
Cette croix millésimée 1689 est posée sur un très haut fût rectangulaire en calcaire.
Croix érigée en mémoire de Joseph Corman et de Jean Ponte, tués au combat durant la seconde guerre mondiale le 8/9/1944.
Ce calvaire du 18è siècle a vraisemblablement été érigé par Etienne Danloup et Odile Genin, la fille du meunier de Radru, en remerciement d’une grâce accomplie : l’arrivée d’un enfant. C’étaient des tenanciers de cabaret au village.
Cette croix en pierre de taille possède la même mention gravée en allemand que la Croix Saint-Nicolas située un peu plus en contrebas du village. Elle date comme elle de 1840.
Une petite croix en bois avec un Christ en croix métallique, apposée sur le mur de schiste d’une maison.
Une croix de carrefour forestier en pierre de taille.
Cette croix en calcaire a été érigée en 1819, rappelant le décès à cet endroit de la femme du châtelain du Haut Marais, à la suite d’une chute de cheval.
Cette croix en bois surmontée d’un toit à 2 pans se trouve le long d’un chemin menant de la Haute Levée à la forêt (La Roanneuse).
Un Christ en bronze sur une croix en ban avec un toit à deux pans. Le montant vertical de la croix comporte sur sa partie supérieure une niche qui contient une statuette de la Vierge Marie.
Cette croix en bois surmontée d’un toit à deux pans et supportant un Christ peint se situe au centre du village.