Ce Site de Grand Intérêt Biologique s'étend sur plus de 10 ha.
On a découvert sur les lieux une importante nécropole datant du 6è siècle.
Cette zone de prairies humides s’étend le long de la plaine alluviale du Ruisseau de Vaux. Elle est d’un grand intérêt botanique et ornithologique.
Cette intersection est tout près de la réserve naturelle, une zone humide qui s’étend le long du Ruisseau de Cowan, un petit affluent de l’Ourthe orientale qui la rejoint au lieu-dit L’Ermitage, à l’est d’Houffalize.
Site de Grand Intérêt Biologique, ces carrières bénéficient du statut de réserve naturelle privée, propriété de la Société coopérative de Montfort.
Cette réserve naturelle d’une superficie de 85 ha est gérée par la DNF. Il s’agit d’un site de grand intérêt biologique composé de prairies humides, de pâtures, de morceaux de forêts marécageuses, de résineux et de peupleraies.
Il s’agit d’une réserve privée classée, site Natura 2000, de 37 hectares qui s’étend sur les communes de Nassogne et Marche. De grand intérêt biologique, on y voit la pie-grièche, le martin-pêcheur, la cigogne noire et le héron cendré.
Il s’agit d’une réserve naturelle privée, chose assez rare en Belgique, d’environ 4 ha, située à une altitude de 520 m. Elle a été créée par son propriétaire en 1987 et a été agrandie en 2013.
Cette réserve naturelle est constituée d’un massif dolomitique remarquable.
Cette réserve naturelle de l’Etat est gérée par l’administration des Eaux et Forêts.
Sa superficie 37 ha contient une flore très diversifiée.
Ce site de Grand Intérêt Biologique est géré par la DNF d’Aywaille.
Il s’étend sur 1,87 ha. Il contient essentiellement des sables blancs, jaunes, ocre et quelques couches argileuses violacées.
Cette réserve naturelle située au pied de la Montagne Saint-Pierre a été créée au début des années 1990. Elle s’étend sur une dizaine d’hectares. Elle s’est formée suite aux vases lors du dragage du Canal Albert.
Ce site classé de grand intérêt biologique est un complexe de prairies alluviales s’étendant sur un peu plus de 23 hectares, à la confluence du Marsault avec la Lhomme. C’est le Marsault qui activait le moulin des forges.
Ce site classé au patrimoine exceptionnel de Wallonie s’étend sur 2 km le long du canal de Bernistap, un ancien projet consistant à relier la Meuse à la Moselle. Il s’agit notamment d’un site d’hibernation important pour les chauves-souris.
Il s’agit d’une ancienne carrière où était autrefois exploitée l’ardoise. Elle se présente comme une profonde falaise dans laquelle subsistent des éboulis de phyllades.
Cette large cuvette évasée est occupée par des populations de trois espèces d’orchidées et des espèces de papillons menacés et protégés.
Cette réserve naturelle a été créée en 1986 et agréée par la Région wallonne. On retrouve encore les anciens sites d’extraction de schiste. Il s’agit d’une configuration géologique en synclinal perché, structure très rare chez nous.
Cette réserve naturelle gérée par la Division Nature et Forêts a une superficie de 359 ha. Elle est constituée de tourbières, de palses, de bruyères semi-tourbeuses, de résineux et de marécages.
Cette réserve située à une altitude de 375 m longe la rive droite du Ruisseau d’Arbrefontaine, un affluent de la Lienne, au sud du village d’Odrimont. Cette prairie humide est liée à la nature argileuse du sol où 3 mares ont été creusées.
Cet ancien filon (500 ha) de fer, de zinc et de plomb, contenus dans les roches calcaires, a été essentiellement exploité au 19è siècle. La nature y a repris ses droits mais la présence de ces métaux lourds y a amené une flore très particulière.