En contrebas de l’église et du monument aux morts, une fontaine avec 2 bacs abreuvoirs en pierre de taille en bordure de route.
Un bac-lavoir en pierre au cœur du village.
Cette fontaine de style néo-gothique à 4 faces et 3 niveaux a été élevée par le prince 1er de Riquet, dit le Grand Prince en 1852. Elle est surmontée d’une statue allégorique qui représente la ville de Chimay.
Cette fontaine en pierre bleue et en bronze datant de 1995 et dessinée par l’architecte Jacques Windeshausen représente les "mangeurs de soupe de chez les sœurs".
Un bac-fontaine toujours alimenté par l’eau courante.
Jusqu’au 18è, le château était bordé d’une douve emplie d’eau.
Cette eau provient du ruisseau de l’Hermiterie et est canalisée jusqu’à la fontaine.
Cette fontaine a été remise en valeur en 1990 lors de l’année des fontaines.
Une plaquette mentionne :
"Mon rêve souvent s’achemine par des sentiers loyaux et sûrs vers la fontaine qu’illumine une eau de cristal et d’azur."
Fontaine (19è) composée de trois auges et d’un massif quadrangulaire de calcaire, orné d’une moulure et terminé en pyramide.
Cette fontaine a été réalisée à la demande de Madame Hortense Montefiore-Levi et placée le 6 octobre 1895.
Accolée à la clôture murée du presbytère, typique fontaine, de la 2è moitié du 19è.
Pompe et bac abreuvoir.
Une fontaine publique d’eau potable avec 4 bassins en pierre.
Cet ensemble est doté d’un lavoir, d’un abreuvoir et d’un puits. Le lavoir primitif date de la 1è moitié du 19è siècle auquel se sont ajoutés le puits et l’abreuvoir circulaire en 1877. Le lavoir actuel a été reconstruit à cet emplacement
Il s’agit d’une ancienne pompe en fonte avec un décor végétal, dont il subsiste le levier, le robinet et la vasque en forme de coquille. Elle date du 19è siècle.
Une fontaine en plein cœur du village, avec un grand bassin hexagonal en pierre bleue.
Cette fontaine monumentale date de 1130.
Elle est toujours très utile aux habitants d'Exbomont.
Ce bâtiment atypique en pierre de France était au départ le lavoir d’Izel. Il a ensuite appartenu à l’harmonie Caecilia.
Un bac alimenté par l’eau courante, sur une placette pavée du village.