Source captée et conduite dans ce bac abreuvoir.

Cette fontaine est composée d’un bac abreuvoir et est alimentée par le Ruisseau de Hévurzal.

Cette ancienne fontaine de village en fonte est adjointe d’un bac abreuvoir.

Un bac-abreuvoir à côté d’un banc de repos sur un accotement pavé.

Deux bacs-fontaines datant du 18è siècle devant un muret en moellons de grès.

Borne fontaine carrée en calcaire du 19è.

Borne-fontaine assez haute et un bec verseur dans bac abreuvoir.

Cette imposante cascade artificielle, surmontée d’une balustrade ornée de dauphins et d’angelots, fut construite en 1862.

Cette borne-fontaine date du 19è.
Elle marque comme d’autres les traces du passage de Saint-Remacle.
Elle est alimentée par un chantoir, une cavité naturelle dans laquelle s’engouffre l’eau.

Un ancien bac-abreuvoir en pierre de schiste agrémenté d’un reposoir.

Abritée sous un petit pavillon, la source de Bru coule par un nez.
Cette eau provient d’une source ferrugineuse appelée Pouhon, qui est naturellement gazeuse et chargée en minéraux surtout de fer.

Deux anciens bacs-abreuvoirs en briques située le long du Chemin de la Fontaine.

L’eau de cette fontaine ressort d’un robinet inséré dans un mur en schiste. Ce dernier est surmonté d’une croix en pierre de taille. Cette petite place est agrémentée d’une table de pique-nique.

Une petite fontaine en fonte, hors service devant un bac-abreuvoir.

Un bac-abreuvoir en moellons de schiste avec à sa gauche dans le même bloc, un puits protégé par une grille.

Un ensemble de bacs-lavoirs et d’une pompe en fonte. L’un d’entre eux a été joliment décoré de fleurs et l’autre, à double compartiment, contient toujours de l’eau.

Borne fontaine en fonte avec levier et bac abreuvoir.

Une ancienne pompe-fontaine en fonte dotée d’un bac-abreuvoir.

Cette fontaine à auge basse est construite sous 2 marroniers (1832).
Le massif quadrangulaire de calcaire est surmonté d’une urne de fonte.

Cette fontaine publique a été remplacée par un simple robinet en cuivre de récupération. On se demande si le support du bac en pierre de taille n’a pas été récupéré d’une église.

Construction rectangulaire et couverte de dalles de schistes.

Ce bac-fontaine servait jadis d’abreuvoir pour le bétail.

Une pompe carrée en fonte qui date de la fin du 19è.

D’anciens bacs-abreuvoirs à l’entrée du village.

Une ancienne fontaine en fonte qui n’est plus opérationnelle, située près d’un bac-abreuvoir.

Le jet de ce bac-fontaine joliment fleuri en pierre provient de la bouche d’un gros poisson. L’explication nous donne l’origine du toponyme Samrée, rey signifiant ruisseau et sam signifiant saumon.

Belle fontaine située au centre de la place Moxet.

En contrebas de l’église et du monument aux morts, une fontaine avec 2 bacs abreuvoirs en pierre de taille en bordure de route.

Jusqu’au 18è, le château était bordé d’une douve emplie d’eau.
Cette eau provient du ruisseau de l’Hermiterie et est canalisée jusqu’à la fontaine.

Cette fontaine a été remise en valeur en 1990 lors de l’année des fontaines.
Une plaquette mentionne :
"Mon rêve souvent s’achemine par des sentiers loyaux et sûrs vers la fontaine qu’illumine une eau de cristal et d’azur."

Fontaine (19è) composée de trois auges et d’un massif quadrangulaire de calcaire, orné d’une moulure et terminé en pyramide.

Une fontaine publique d’eau potable avec 4 bassins en pierre.

Cette fontaine monumentale date de 1130.
Elle est toujours très utile aux habitants d'Exbomont.

Un bac alimenté par l’eau courante, sur une placette pavée du village.

Elle est aussi appelé Trou des Nutons.

Cette source est située en contrebas de la chapelle Saint-Thibaut.
Les pèlerins y pratiquaient des ablutions en y plongeant les membres malades ou en buvant son eau.

Cette fontaine fut érigée en 1769, sous le règne de Jacques de Hubin, avant-dernier prince-abbé de Stavelot. Elle est surmontée d’un perron, symbole des libertés de la ville.

Cette fontaine classée en 1986 et mise en service grâce au mécénat de Ferdinand Nicolay en 1841, a été rénovée en 2001.

Cette fontaine se situe au centre du hameau, en contrebas d'une balustrade longeant la rue en provenance de Hamoir.
Son origine est très lointaine. Elle alimentait les habitants et permettait de refr

Ces fontaines récentes ont été installées lors du réaménagement de la rue principale du village.

Une pompe de la première moitié du 20è siècle dans un petit renfoncement muré.

Cette source est située à quelques mètres de la source de la Sauvenière. Les propriétés de ses eaux sont légèrement différentes de celles de cette dernière.

Cette source minérale ferrugineuse carbogazeuse froide est située à 410 m d’altitude.

Ce pouhon situé à 444 m, dont l’eau ferrugineuse a un goût acide avec une odeur de souffre. Il est cité pour la première fois en 1559.

Cette source minérale ferrugineuse carbogazeuse froide est mentionnée pour la première fois sous le nom de "Barisair" en 1438. Des bassins furent très tôt adjoints à la source.

Cette célèbre source minérale produit une eau ferrugineuse naturellement pétillante. Elle est située à une altitude de 400 m.
Elle est aussi appelée "l’Enragée".

Cette source est ainsi nommé en hommage à la seconde reine des Belges, Marie-Henriette de Habsbourg-Lorraine. Le pavillon a été construit en 1922 et inauguré en 1933 par la reine Élisabeth.