Cette source carbo-gazeuse, dont le nom wallon pouhon est lié étymologiquement au français puiser (pouhî), est à l’origine de la célèbre eau de Bru.
CC0 Romaine Cette source est située à quelques mètres de la source de la Sauvenière. Les propriétés de ses eaux sont légèrement différentes de celles de cette dernière.
CC0 Romaine Cette source minérale ferrugineuse carbogazeuse froide est située à 410 m d’altitude.
CC0 Romaine Cette source d’eau ferrugineuse carbogazeuse est utilisée comme eau de table depuis plusieurs siècles par les habitants des villages proches. Elle était déjà citée dans un document de 1552. Le bâtiment de captage a été restauré en 1990.
CC BY-SA 4.0 mini-ardenne Ce pouhon situé à 444 m, dont l’eau ferrugineuse a un goût acide avec une odeur de souffre. Il est cité pour la première fois en 1559.
CC BY-SA 4.0 mini-ardenne Cette source ferrugineuse est légèrement chargée en radon (un isotope naturel et légèrement radioactif du radium).
CC BY-SA 4.0 mini-ardenne Cette petite fontaine en pierre de taille située à 400 m d’altitude a été placée en 1964.
On cite le nom de Pia pour la première fois en 1651.
Norbert Schnitzler Ce vaste édifice au toit en forme de coupole abrite la plus célèbre des sources de la ville. Cette source a été visitée par le Tsar Pierre-le-Grand en 1717.
Ce pouhon, élevé à la fin du 19è, est composé de métal et de verre.
La pyramide en verre a été ajoutée en 1988 par l’architecte spadois Marcel Geenen.
CC0 Romaine Cette source est également appelée Source duc de Wellington et rend hommage à Arthur Wellesley duc de Wellington qui séjourna à Spa en 1818, soit 3 ans après sa victoire à la bataille de Waterloo.
Ce musée retrace les fouilles archéologiques réalisées sur le site depuis plus de 60 ans à travers films, maquettes et photos.
CC BY-SA 4.0 mini-ardenne Ce site classé de Grand Intérêt Biologique (SGIB) est situé à cheval sur la commune de Marche et de Nassogne.
Il s’agit d’un site Natura 2000.
Il s’agit d’une ancienne et imposante demeure seigneuriale en moellons de calcaire en deux parties.
Cette maison en moellons de schiste et de grès, de style néo-classique, entouré d’un mur, date de 1863. La petite dépendance qui sert de garage avec un ancien fenil date des années 1950.
Cette habitation en briques sur un soubassement moellons de grès s’élève sur 2 niveaux avec 3 travées. Elle a été construite dans la seconde moitié du 18è siècle. Les fenêtres sont encadrées de calcaire.
Cette maison en briques et en calcaire sur un soubassement cimenté date de la seconde moitié du 18è siècle. Elle s’élève sur 2 niveaux avec 5 travées et elle est précédée d’un petit jardin clôturé par une grille.
Ce bâtiment en briques et en calcaire, accroché au versant en contrebas de l’église, date de 1781. Le soubassement est en moellons de grès. Elle se situe au fond d’un petit jardin.
Cet ancien prebytère a servi jadis d’école en 1899. Il ferma ses portes 1970 car la population scolaire était inférieure aux normes légales.
La Société de Musique y trouva refuge pendant quelques années.
Cette habitation en retrait de la rue, en moellons de grès et de calcaire, dans une petite cour encadrée de murs en moellons de grès, date du second tiers du 19è siècle.
Cette habitation en briques et en calcaire sur soubassement de moellons de grès a été bâtie en 1739.