Chapelle classée du 17è érigée à Saint-Roch pour une épidémie de peste ravageait la région.
Cette chapelle construite en 1866 a été construite par les habitants du village pour être préservés du choléra.
CC0 RomaineCet édifice rectangulaire en moellons de calcaire entouré de tilleuls a été bâti en 1834 grâce à la générosité de Jean-François Kerres et de Marie-Elisabeth Pelzer.
Brabant
CC BY-SA 3.0 EmDee Une petite chapelle néo-classique en briques située à l’entrée de la Ferme de la Papelotte. Elle est millésimée 1867.
Chapelle rebâtie au 19è et enclavée entre deux bâtisses. Elle jouxte le Musée de la Bataille des Ardennes.
Cette chapelle en moellons de grès a été édifiée pour demander la protection de Saint-Roch contre la peste.
Cette chapelle de style néo-roman a été construite en 1880. Elle remplace un édifice plus ancien datant de 1664 placé de l’autre côté de la colline. Il fut brûlé avec le reste du village disparu, Mageriol, lors d’une épidémie de peste.
CC BY-SA 4.0 mini-ardenne Cette chapelle a été érigée en 1725.
Elle a été réalisée et financée par les paroissiens eux-mêmes afin de ne plus devoir se rendre aux offices de l’église de Florenville, pour cause d’accès difficile en cas de crue de la Semois.
CC BY-SA 4.0 mini-ardenne Ce petit édifice en moellons de grès et pierre calcaire, à la toiture en ardoises surmontée d’un clocheton de plan carré et d’une croix, date de la première moitié du 18è siècle.
CC BY-SA 3.0 BUFO8 Cette petite chapelle en pierre pourvue d’un clocheton est classée.
La première mention écrite du bâtiment date de 1646, mais la chapelle pourrait être encore plus ancienne.
CC BY 2.5 Jean-Pol GRANDMONT Cette chapelle a été construite en 1636 afin de remercier Saint-Roch d’avoir protégé le village lors d’une épidémie de peste. Elle est classée au patrimoine immobilier de Wallonie depuis 1982.
CC BY-SA 4.0 mini-ardenne Un petit oratoire en moellons de grès datant du 19è siècle.
CC BY-SA 4.0 mini-ardenne
Il s’agit d’une petite construction en moellons de grès jaunes et en calcaire datant du début du 18è siècle. Une chapelle était déjà citée à cet emplacement vers 1530.
Cette chapelle en briques, surmontée d’un clocheton, intercalée entre deux maisons de la Rue Neuve, est classée.
Dénommée aussi "Tchapèle dè Rave", cette chapelle fut édifiée en 1923 par Joseph Mossay et Amélie Gillard en remerciement à Saint-Roch après une épidémie épizootique (frappant les animaux).
Cette chapelle a été construite en 1879.
CC BY-SA 4.0 mini-ardenne Cette chapelle en briques
est couverte de chaux avec un toit d’ardoises.
La façade est ornée de 2 fausses meurtrières à larges encadrements de pierres.
Cet édifice en briques et calcaire sur soubassement de moellons de grès et de calcaire a été bâti de 1716 à 1719 et agrandi en 1725.
Cette chapelle rectangulaire à pans coupés compte une sacristie située du côté sud du chœur ainsi qu’un un jubé au-dessus du hall d’entrée.
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