L’histoire de Barvaux est liée à l’Ourthe qui était navigable du 15è au 19è siècle.
Les hauteurs méridionales de la confluence Ourthe-Amblève recèlent quelques villages très agréables à traverser : Aisne, Villers-Sainte-Gertrude, Izier, Ferrières, la Rouge Minière et Awan, le tout dans un bel équilibre de champs, de prés et de bois.
Mais bon, le relief est relativement accidenté, néanmoins sans raideurs excessives, et la longueur est là : 25 km, quand même ! Ce qui en fait une balade plus sportive. Le principe de gare à gare vous permet de garer la voiture, aller en train au point de départ et revenir vers l’auto après une bonne dégustation dans cette petite ville touristique très gastronomique qu’est Aywaille !
Barvaux était alors le point de départ d’un trafic de bateliers vers Liège. On y transportait essentiellement du minerais de fer et de plomb, dont regorgeait le sous-sol de la région.
Forges et fourneaux y étaient par ailleurs nombreux.
C’est l’apparition du chemin de fer qui a eu raison du projet de canal reliant la Meuse à la Moselle.
Ce hameau est situé sur un plateau herbager sur les hauteurs méridionales de la confluence Ourthe-Aisne, aux limites de la Calestienne.
Aisne est un hameau de la commune de Durbuy situé dans le fond de la vallée de la rivière du même nom, à une altitude de 170 m.
S’étendant le long de la N806 qui relie Manhay à Barvaux, elle possède une chapelle dédiée à Saint-Donat.
Sur le flanc nord de la colline se trouve le village de Villers-Sainte-Gertrude et sur le flanc sud le village de Heyd.
Ce village situé sur les hauteurs de l’Aisne est déjà cité en 966. C’était une possession du monastère Sainte-Gertrude de Nivelles, cédé par le comte du Hainaut.
Il est mis en gage par le monastère Nivellois à la fin du 16è siècle et revient finalement à l’Abbaye cistercienne du Val-Saint-Lambert, et ce jusqu’au 18è.
La métallurgie s’y est développée du 16è au 18è siècle.
Cette église de style éclectique en moellons calcaires a été édifiée en 1878, à la place d’une chapelle qui datait de 1520.
A l’intérieur, certaines statues datent du 16è siècle ainsi que les fonts baptismaux.
Dans le porche, la pierre armoriée rappelle la fondation de l’ancienne église en 1617 aux armes de Gilles de Bouvet et de son épouse, Anne des Mares.
Ce lieu-dit est situé en contrebas et au nord de Villers-Saint-Gertrude, où coule le ruisseau du même nom.
La région d’Izier était déjà habitée pendant la préhistoire. En attestent encore les mégalithes visibles actuellement qui parsèment toute la région.
Le dernier menhir situé le plus à l’ouest est celui d’Ozo, non loin de là.
La seigneurie d’Izier a été fondée avant 1130. Elle dépendait de Durbuy.
Cette église de style pseudo-gothique a été reconstruite en 1878 et achevée en 1881, d’après les plans de l’architecte J. Rémont. Le clocher qui était en mauvais état a été remplacé par une structure légère en inox.
Elle a remplacé, en 1878, celle qui, de son clocher semi-bulbeux, a vu vraisemblablement des siècles de l’histoire ancienne de la paroisse.
Dans la nouvelle, il n’est rien resté de l’ancienne, sinon la pierre tombale d’Henri Adam, vicaire de la paroisse, décédé le 2 juin 1748. Et aussi les deux cloches, fondues en 1849 par Causard frères, à Tellin.
L’une d’elles est partie en Allemagne le 31 mars 1944 pour une bien périlleuse randonnée. Elle en est revenue, le 6 novembre 1945 sans avoir subi trop de dommage.
Ses colonnes monolithiques sont remarquables. Le chœur a un chevet à trois pans et est tourné vers l’Est, symbole de résurrection. Les orgues datent de 1914.
Le mobilier, dont trois autels à retable, la chaire de vérité, les confessionnaux, les bancs de communion et la balustrade du jubé, sont en chêne sculpté avec soin par Mr Olivier Merveille.
Les vitraux datent de 1898 (I. Grosse-De Herde, de Bruges).
La restauration intérieure de 1947 a accentué son cachet de simplicité religieuse. Malgré cette restauration, l’église a conservé, au-dessus de la nef centrale, tout près de la tour, quelques traces du passage à travers la voûte d’un Allemand qui, le 15-2-1944, voulait se rendre compte par lui-même qu’on ne cachait ni armes, ni réfractaires, dans les combles de l’édifice.
Source : ferrieres.be
Devenu menaçant, le clocher a été remplacé en 2017 par une étonnante structure en tôles d’acier inoxydable dessinée par les architectes Canevas-Greisch. Il s’agit ici de la première commune dont l’église est dotée d’un clocher métallique constitué d’une seule pièce.
Alors qu’il avait été envisagé de rendre la toiture entièrement plane, cette solution a permis au bâtiment de conserver sa vocation de repère et sa silhouette.
Relativement légère avec ses 24,5 tonnes puisque l’ancien clocher a draîné 270 tonnes lors de son démontage. De plus bien moins onéreux que s’il avait fallu conserver l’ancienne structure.
C’est par la croix intégrée que l’ensemble a été hissé sur la tour par une grue puis fixé solidement dans une dalle en béton.
Son nom provient des exploitations du minerai de fer autrefois très répandues dans la région durant les Temps modernes. Il est situé sur les hauteurs des Ruisseaux du Pouhon et de la Velle.
Une croix élevée dans un petit monument et près de laquelle sont plantés des hêtres séculaires. Elle date de 1880.
Une confrérie vouée à Saint-Roch à cet endroit date de 1520. Elle a été fondée par le prieur Jean Pezin.
Ce Collège épiscopal, classé partiellement en 1979, a été fondé par Adélard de Roanne, avec l’appui de l’abbé de Stavelot. Son nom ancien Bernardfagne proviendrait du premier ermite Bernard.
Petit barbecue aménagé à l’emplacement de l’ancienne gare de Saint-Roch (Xhoris).
La ligne reliait Melreux à Comblain-la-Tour et a été construite de 1909 à 1912.
Le trafic y a cessé en 1959.
Cette chapelle en briques
est couverte de chaux avec un toit d’ardoises.
La façade est ornée de 2 fausses meurtrières à larges encadrements de pierres.
A l’intérieur, on y trouve des peintures murales modernes représentant des cerfs en train de s’abreuver et une chasse de St-Hubert (source de confusion quant à la dédicace de cette chapelle).
Elle a été érigée en 1886 lors de l’épidémie de choléra qui ravaga la Province de Liège. La tradition raconte que les pierres ont été amenées par les Saints-Roki, les pélerins qui se rendent à St-Roch.
Sur les hauteurs d'Aywaille, cet important village est bien connu pour ses animations organisées de main de maître par les comités de quartiers et leur nombreux bénévoles passionnés. Les illuminations
Sur les hauteurs d'Aywaille, cet important village est bien connu pour ses animations organisées de main de maître par les comités de quartiers et leur nombreux bénévoles passionnés. Les illuminations de Noël ont attiré la grande foule pendant plusieurs années ; maintenant, cette tradition est un peu plus confidentielle et rassemble les habitants des quartiers. Le village s'anime encore le deuxième week-end de septembre avec la traditionnelle brocante qui s'étale dans la plupart des rues du hameau. Une très belle exposition de champignons complétée par des balades commentées se tient aussi chaque année à l'école fin septembre.
Le comité Qualité Village Awan met sur pied depuis deux ans la fête des voisins et a déjà fait revivre d'anciennes photos et cartes postales classées par thème et ce, au travers d'expositions ponctuelles.
Source : aywaille.be
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Ce gîte est situé dans un hameau paisible près de la réserve naturelle de la Heid des Gattes.