Arbres, plus que centenaires, soudés à la base et provenant d'une souche unique, ce qui justifie leur appellation. L'intérieur est un vide circulaire laissant apercevoir le ciel.
En 1870, le premier propriétaire de Gospinal reçoit sous ces chênes les personnes qui viennent le consulter pour des questions juridiques et en septembre 1904, les Conseils de Sart et Jalhay, assistés par des agents des services forestiers, tiennent une scéance officielle à l'ombre de ces arbres, pour décider de la création d'une route devant relier ces deux communes.
Gospinal < Grosse épine
http://sart.be/michoel/chapitre_4.htm
Dans ce vaste jardin de 5 ha créé au début du 20è siècle, rempli de nombreuses espèces de conifères, dont certains centenaires, on peut y suivre un parcours didactique jalonné de panneaux explicatifs, de caillebotis et de sculptures en bois.
Cette plantation était au départ une collection expérimentale d’essences d’arbres. S’étendant sur environ 10 hectares, elle datait de 1916. L’arboretum issu de cette plantation, fut créé en 1932. En libre accès.
Hêtre planté à une époque indéterminée sur la frontière entre la Principauté de Liège et la Principauté de Stavelot - Malmedy. Disparu, un nouveau a été replanté à cette place.
Ce chêne, placé juste derrière le Monument aux morts de Spa, a été planté le 22 novembre 1919. Il symbolise les aspirations et l'état d'esprit de la population à la fin de la première guerre mondiale.
Cet arbre commémore la victoire de 1918 dans le site classé du calvaire de Desnié et a été planté par les écoliers de Desnié en 1919.
Une plaque commémorative rappelle le geste des écoliers.
Ce bouquet d’arbres isolé en plein milieu des tourbières de la réserve domaniale est formé par des saules. Ils ont servi de point de repère au milieu de la vaste étendue du Haut Plateau.
Charme dont les troncs enchevêtrés forment un oeil.
Cette charmille exceptionnelle, la plus longue de Belgique (573 m) et parmi les plus grandes d’Europe est composée de 4700 plants de charmes, dont 60 à 70 % sont centenaires.
Chêne multiséculaire classé en 1964 auquel la cour de justice de Sart rendait ses sentences. Peut-être un ancien poste de douane (tonlieu) sur l’ancienne voie Limbourg - Stavelot - Luxembourg
Sur le tronc de ce chêne a été placée une petite statue en 1864 par un Franchimontois en reconnaissance d’une grâce reçue. Cette Vierge est toujours entretenue par ses descendants.
Ce chêne sessile remarquable est situé au nord du Bois de Staneux, au-dessus de la Ferme de Poleuheid (Route du Congrès de Polleur). La carrière du Staneux se trouve quant à elle un brin à l’ouest.
De cet arbre, il ne reste plus que des débris dans une rangée de hêtres plus jeunes.
Il a constitué un repère de première importance au croisement de plusieurs voies anciennes (vers Solwaster, Jalhay, Hockay et peut-être Drossart).
Un chêne vénérable le long de la Large Voie du Staneux, reliant Dessus le Sarpay à Franchimont.
Chêne vénérable auquel on a donné le nom du professeur Léon Frédéric(q), illustre savant fagnard.
Ce savant visitait fréquemment ce secteur.
Ce chêne a été planté le 2 avril 2004 par les bénévoles de Sart, remplaçant un vieux chêne mort, sur le sentier de la Hoëgne.
Ces chênes sont caractérisés par une peinture sur la circonférence de leur tronc, aux couleurs du drapeau belge.
Ce hêtre remarquable à clous (plusieurs dizaines) est situé à un carrefour forestier au nord du village de Foyr.
Sa circonférence à 1.30 m de haut atteint pratiquement 3.80 m.
Cet arbre originaire d’Amérique du Nord a été planté en 1911. A croissance rapide, il peut atteindre une hauteur de 100 m. Il est fort apprécié pour l’exploitation du bois.
Ce hêtre remarquable est situé en contrehaut de l’Etang de Chawion (au sud-ouest), au croisement de trois chemins forestiers du Staneux : le Chemin du Renard, le Chemin du Grand Pelé et le Chemin des Anglais.
Il s’agit d’un ancien arbre repère célèbre dont le souvenir est perpétué par quelques jeunes hètres plantés en 1970 par " les Amis de la Fagne" et les Forestiers.
Un vénérable hêtre au milieu de la Vêcquée, à peu près à mi-chemin entre la Baraque Michel et la Passerelle du Centenaire.
Ainsi dénommé depuis le 19è siècle, c’était le lieu privilégié de rendez-vous des amoureux. Il a dû être abattu en 1989 après avoir tenu 350 ans, pour des raisons de sécurité. On l’a remplacé par un jeune chêne en 1993.
Ce hêtre remarquable du Staneux a une hauteur de 25 m.
Ces arbres vénérables servaient autrefois de lieu de repos (prandjlahe) aux herdiers de Sourbrodt et à leurs troupeaux.
Ce majestueux bosquet de hêtres tricentenaires est entouré actuellement de pessières.
En 1965, L’Administration des Eaux et Forêts a planté à la demande des "Amis de la Fagne" un certain nombre de jeunes arbustes pour assurer leur pérennité.
Ce séquoïa a une hauteur de 25 m. Son âge n’est pas connu avec précision.
Un arbre majestueux qui porte le nom de ce garde forestier du Staneux qui a opéré entre 1975 et 2013, juste à côté du pavillon forestier.
Ces hêtres en fin de vie, vieux d’environ 250 ans ont été classés en 1936.
Jadis, les bergers et leurs troupeaux utilisaient cet endroit comme prandj’lohe (lieu de repos). Des jeunes hêtres ont été replantés par les Amis de la Fagne en 1993.
Cet arbre multiséculaire est classé par la Commission Royale des Monuments et des Sites (A.R. du 25/1/1935). Il s’agit d’un ancien point de repère sur la "Voie du Fer", menant de Hockai à Sourbrodt et continuant vers Schleiden.
Ces arbres ont été replantés en 2005 (d’origine en 1943 à 1953) à la mémoire de trois fagnards intimes bien connus, inséparables compagnons de randonnées : Alphonse Petit († 1942), Louis Pirard († 1948) et Jean Wisimus († 1953).