Cette piscine tropicale couverte, dont l’eau avoisine les 30°, est agrémentée d’un sauna et d’un jacuzzi.
Une table de pique-nique près d’une petite rotonde au pied d’un beau point de vue sur Ferrrières.
Cette randonnée est vraiment typique de l’Ardenne profonde, même si le tracé se situe encore relativement au nord.
Mais tous les ingrédients sont réunis : de vastes forêts comme le Bois de Bernardfagne, le Bois du Pouhon (côté Ferrières), le Bois des Fagnes après Paradis puis les Bois de la Sûreté, de Plein Fays et de Mambaye (côté Spa).
Les ruisseaux et rivières aussi : la Lembrée à Ferrières, le Ruisseau du Pouhon à la Chapelle Sainte-Anne, la Lienne et l’Amblève à Targnon et le Wayai à Spa.
Et enfin, les villages et hameaux entourés de tous ces bois : Rouge-Minière, La Levée, Pouhon, Paradis, Lorcé, Targnon, Monthouet...
Comme vous l’aurez compris, il y en a pour tous les goûts au cours de cette rando mais il faudra être un brin sportif : outre la longueur (30 km), le dénivellé joue un peu les montagnes russes, surtout après l’Amblève qui a tout de même bien creusé !
Une grande plaine de jeux en entrée libre, avec un toboggan-tuyau géant ainsi que de nombreux autres modules.
Une table de pique-nique au milieu du hameau de Hoursinne, à un carrefour de chemins.
Le Mont des Ânes vous propose des escapades de un ou plusieurs jours à dos d’âne. Il privilégie la relation entre l’animal et la nature, en en profitant tout en douceur à travers de magnifiques chemins ardennais.
Pour les nostalgiques des anciennes photos de villages, qui déplorent la détérioration progressive de leur charme par une certaine forme de modernité, venez vite ici à Ferrières ! Ce village a su garder en de nombreux endroits un caractère particulièrement authentique, bien aidé par sa position à l’écart de la voie principale située à un kilomètre de la petite place arborée.
Il est rare de trouver autant de ruelles avec des maisons qui recèlent un tel caractère. Les habitants, par leurs aménagements, parfois dans certains détails, démontrent leur attachement à leur village si charmant.
Pour encore y ajouter, un nombre de sentiers pittoresques plus élevés que la moyenne, soit à travers champs, soit entre deux haies, soit encore constitués de petits escaliers, jalonnent les environs campagnards du village. De surcroît, ils sont rehaussés par une multitude d’anciens petits panneaux toponymiques, que l’on aimerait voir fleurir partout ailleurs, tant cela donne de la convivialité lorsque l’on s’y promène.
La variété des paysages y est pour beaucoup : de champs en bosquets, de prés en forêt, le tout se déroule dans des petits endroits arborés où serpentent ces chemins et sentiers.
Ici, on va prendre un peu de hauteur afin d’admirer le village d’en-haut : le Nokar. Un point de vue y cotoie une zone de barbecue.
On revient alors vers le village en passant par les hameaux de Ferrières aux connotations elles aussi bien pittoresques : Le Houpet, Lognoul et la Fontaine. Toujours parmi les maisons disséminées dans la campagne et les bosquets qui les entourent.
Voici une balade riche en éléments tant naturels que culturels mais pas forcément facile car les reliefs autour de l’Ourthe et de son confluent, la Lembrée, sont relativement bien marqués.
C’est souvent synonyme de beaux panoramas et rien que pour cela, moyennement un brin de sportivité dans les côtes, elle en vaut certainement la peine.
D’autant qu’elle démarre au très attractif Domaine de Palogne, qui offre pas mal d’infrastructures touristiques et qui justifie une journée entière si l’on souhaite s’adonner aux activités qu’il propose : brasserie, kayak, mini-golf, sans oublier bien entendu le Château-fort de Logne, l’objet principal de cette balade !
Après l’avoir rejoint après un petit kilomètre, on se dirige vers le village de Vieuxville par la rive gauche de la Lembrée, que l’on traverse à Vieuxville.
Ensuite, retour au point de départ par une zone assez boisée, cette fois sur les hauteurs de la rive droite de la Lembrée.
Une table de pique-nique proche du dolmen nord de Wéris, située juste de l’autre côté de la route.
Plusieurs tables de pique-nique sous abri au niveau du bâtiment de la vitrine muséale du tramway touristique de l’Aisne. Il a été inauguré le 14 mai 2022.
Aire de pique-nique installée le long de la Route des Minières.
Cette balade permet de prendre un peu de hauteur pour admirer une très belle vue panoramique de la ville.
Elle redescend par le Bois de Chapli, traverse la route en provenance de Petithan. Elle passe ensuite en rive gauche de l’Ourthe puis la longe par le Jardin des Topiaires pour revenir vers le centre, après avoir traversé le Pont de Durbuy.
La plus petite ville du monde.
Ce titre, devenu slogan touristique, a été octroyé dans une charte des franchises par le Roi Jean de Bohème, comte de Luxembourg en 1331.
Cette balade vous propose de découvrir la très paisible région située entre Ferrières et Harre. Le mix est équilibré entre le bois, les prés, les vergers et les zones habitées. Plus précisément, ces dernières tournent essentiellement autour de Burnontige (photo : Chapelle Sainte-Barbe) qui étale ses petites ruelles jusqu’à la lisière des agréables bois environnants.
Musée illustrant la vie quotidienne et les pratiques funéraires des sociétés néolithiques d’agriculteurs éleveurs, bâtisseurs des mégalithes en Europe occidentale.
Ce château étale d’imposantes ruines, témoignage de l’architecture médiévale militaire, comportant de nombreux vestiges d’époque.
Une belle promenade où l’on peut découvrir un tas de choses sur un petit trajet : un centre de découvertes, un très beau kiosque, une vaste plaine de jeux, une zone de pique-niques, un grand parc, une passerelle sur l’Ourthe et une tour panoramique. Le tout sur à peine un peu plus d’un kilomètre et demi !
Une table de pique-nique à l’entrée ouest du village, le long d’un chemin empierré.
Toujours au cœur de la Calestienne, cette longue bande géologique calcaire traversant l’Ardenne, les abords de l’Ourthe nous réserve bien des surprises !
Entre grottes, rochers, chantoirs et résurgences de ruisseaux, ces zones habitées depuis la nuit des temps nous gratifient de leurs richesses naturelles, historiques et paysagères.
La balade pousse jusqu’aux villages de Werpin et de Hampteau, avant de revenir sur Hotton.
Une jolie trotte majoritairement forestière qui vous mène à une croix de carrefour forestier, suivi du passage dans la partie ouverte du parc forestier Chlorophylle.
Puis l’on revient vers le Bois de Tave avant de redescendre sur Amonines.
Depuis le joli village de Mormont qui surplombe l’Aisne sur sa rive droite, cette balade s’engage dans les Baudrissarts, un bois qui s’étend depuis Erezée.
Nous bifurquons alors soudainement vers un village tranquille proche de sa commune : Clerheid.
L’itinéraire nous mène ensuite dans le vaste Bois du Pays avant de redescendre vers la Vallée de l’Amante, un affluent de l’Aisne qui la rejoint en contrebas de Mormont.
Avant d’atteindre cette confluence, nous remontons vers le village et notre point de départ.
Depuis cet endroit très touristique qui comporte le Syndicat d’initiative, le départ du tramway touristique de l’Aisne et une grande plaine de jeux avec des tables de pique-nique dont certaines sous abri, cette balade vous emmène à la découverte d’un petit arboretum aux espèces locales, d’une glacière d’une ancienne laiterie datant du début du 20è siècle ainsi que d’un moulin datant du 14è siècle.
Le retour se fait par le Ravel qui relie Erezée à Hotton.
Une table de pique-nique le long du Ravel.
Cette balade est l’occasion de découvrir un magnifique panorama sur la région d’Ourthe-Amblève, qui s’étend jusqu’au CHU du Sart Tilman.
Lors de l’itinéraire, une belle table d’orientation explicite les lieux visibles. En contrebas, une table de pique-nique vous attend pour vous ravitailler.
Ensuite, on remonte dans le Bois Mahousseux, un massif forestier assez calme qui augure un peu la profonde Ardenne puisqu’au-delà, vers le sud, on aboutit déjà dans la région de Ferrières.
Mais nous n’irons pas si loin : à hauteur de la Croix Saint-Christophe, on prend à nouveau le cap sud-est/nord-est pour rejoindre notre point de départ, près d’un mémorial américain : le Monument américain du Pouhon.
Un barbecue couvert avec plusieurs tables de pique-nique dans un parc situé le long de la voirie bordant la Réserve Naturelle de la Picherotte.
Un escalier en colimaçon mène à une vue panoramique sur Hotton et Melreux.
Un superbe parcours de 12 km sur l’ancienne ligne vicinale entre Erezée et Lamorménil, remise en état après son abandon en 1966.
Une table de pique-nique sous les tilleuls, en sortie du village.
Les hauteurs méridionales de la confluence Ourthe-Amblève recèlent quelques villages très agréables à traverser : Aisne, Villers-Sainte-Gertrude, Izier, Ferrières, la Rouge Minière et Awan, le tout dans un bel équilibre de champs, de prés et de bois.
Mais bon, le relief est relativement accidenté, néanmoins sans raideurs excessives, et la longueur est là : 25 km, quand même ! Ce qui en fait une balade plus sportive. Le principe de gare à gare vous permet de garer la voiture, aller en train au point de départ et revenir vers l’auto après une bonne dégustation dans cette petite ville touristique très gastronomique qu’est Aywaille !
La commune de Manhay recèle quelques villages typiquement ardennais on ne peut plus pittoresques et de surcroît aménagés avec beaucoup de convivialité.
Harre, point de départ de cette balade et Deux-Rys en font partie, avec leur aire de barbecue situées dans des petits recoins idylliques et tranquilles du village.
Sans compter Fays, que cette balade ne fait qu’effleurer, et qui attire chaque année au mois de juin, des milliers de pèlerins venus prier sur les traces de l’ancien ermitage de Saint-Antoine.
Ceci en dit long sur l’atmosphère à vivre de ces lieux empreints de nature et d’histoire.
Une table de pique-nique au pied du rocher de Renissart, le long de l’Ourthe.
Cette rando se déroule de part et d’autre de la vallée de l’Aisne, ce qui implique des reliefs assez importants mais dans le cadre enchanteur des hauteurs de Wéris puis celles d’Erezée, en passant par le fond de la vallée au niveau du joli hameau d’Eveux.
Une table de pique-nique sur la place arborée, juste près de l’église.
Petit barbecue aménagé à l’emplacement de l’ancienne gare de Saint-Roch (Xhoris).
Une table de pique-nique au carrefour principal du hameau.
Cette balade vous invite à faire le tour d’un domaine situé sur les hauteurs orientales de l’Ourthe, non loin de Barvaux, qui fait la part belle à la flore locale : environ 700 espèces de plantes et arbres différentes (la moitié de la flore belge !) vous y attendent dans un cadre majoritairement boisé, dont de majestueux hêtres.
La faune n’est pas en reste avec de nombreux insectes, mammifères, reptiles et batraciens.
On y organise également des expositions et des bioramas sur la biodiversité des Ardennes.
Depuis ce lieu de ravitaillement en pleine nature, situé sur la petite route qui joint Burnontige à Ferrières, voici l’occasion de digérer son bon repas en faisant le tour d’un bosquet appelé "Le Bois de Lige aux Sarts".
Il s’agit d’un centre de vacances du Commissariat général au Tourisme.
Il est construit en moellons de grès et calcaire par Gilles Bouvet, seigneur de Villers, décédé en 1623.
Cette attraction consiste en un labyrinthe géant formé par des plants de maïs.
Le thème change chaque année et des animateurs-acteurs jalonnent le parcours en fonction de celui-ci.
Sur une petite aire ombragée sous les sapins, deux tables de piques accueillantes au niveau de la résurgence de la Lembrée.
Drôle de toponyme, qui identifie en fait une partie du bois qui se situe au nord du hameau de Hoursinne.
On retrouve la racine "chera" dans bien d’autres toponymes de la région et notamment dans Cheratte. En wallon, on dit "tchèrå" et cela signifie une voie charretière.
Dans notre cas, il s’agit d’un massif boisé typiquement ardennais dans une région feutrée, entre Deux Rys et Hoursinne.
Un itinéraire pas bien long et raisonnablement déclive tournant autour de Deux Rys, dans la partie est du village, à la confluence des ruisseaux l’Ai-l’Oiseau et du Ruisseau del Heid.
Une table de pique-nique attenante à la chapelle principale du hameau, dans un petit parc aménagé avec quelques bancs. Endroit calme.
Cette plaine jouxte le parc communal et les bureaux de l'administration communale
Cette ferme en moellons de grès et calcaire datant principalement du 18è siècle a été acquise par la Province de Liège et est à présent un centre récréatif.
2 tables de pique-nique situées dans un parking un peu plus au sud que le Hotton War Cemetery.
L’érosion occasionnée par ces deux rivières, dans une région où le calcaire est très présent, appelée dans son ensemble la Calestienne, laisse parfois quelques belles découvertes, comme cette grotte située non loin de Bomal, point de ralliement de cette balade.
Après cette grotte proche de l’Aisne, confluent qui termine son parcours à Bomal dans l’Ourthe, on remonte vers le village d’Ozo, où un menhir parmi toute une ligne d’autres vestiges préhistoriques dans la région (essentiellement celle de Wéris), témoigne de la présence humaine au néolithique, lorsque les hommes commencèrent à devenir plus sédentaires.
Il est à présent temps de redescendre vers le point de départ, en direction de l’Ourthe, sans oublier la Chapelle Saint-Rahi sur le passage de cet itinéraire, qui se termine après 9 km.
L’extrême est de la commune de Durbuy réserve encore de belles surprises, comme ce village perché sur les hauteurs de l’Aisne : Villers-Sainte-Gertrude.
Ce village assez dynamique attire pas mal de touristes, non seulement pour son domaine avec un grand parc ; en effet, celui-ci comporte plusieurs gîtes d’étape autour de la Ferme-Château, mais aussi pour son très bel environnement boisé d’une part et agricole de l’autre. Bref, une variété de paysages à la fois intimistes ou panoramiques.
C’est cet environnement très agréable que nous vous invitons à côtoyer, en battant la campagne jusqu’au village d’Ozo et son menhir et en flirtant avec un affluent de l’Aisne bien pittoresque : le Ruisseau de Pont-le-Prêtre.
Ce centre d’exposition présente 50 bioramas en 7 thèmes pédagogiques notamment sur la campagne, le bois, le bord de l’eau, la migration, la gestion du patrimoine naturel, l’incidence humaine, flore et faune, etc.
Le Rocher de la Cathédrale, le Rocher de Nandouire, la Vau aux Corneilles... Voilà tous noms qui en disent long sur la pente très abrupte qui sépare les hauteurs de Sy et l’Ourthe.
Mais rassurez-vous, il ne s’agit pas d’escalade, quoique bien des sportifs de la pratique viennent s’y essayer ici, mais bien d’une balade sur les balcons surplombants ces rochers, qui offrent bien entendu de somptueux panoramas sur la rivière.
Attention toutefois de bien rester sur les sentiers. Si ces derniers sont sans aucun danger, la falaise reste proche et parfois très abrupte.
Une fois quitté la zone, l’itinéraire se dirige vers la Croix du Curé. Impressionnante avec son crâne gravé et son histoire liée, surtout dans un bois où règne une certaine pénombre.
Ensuite le paysage s’ouvre l’espace d’un moment pour découvrir le beau Château de Lassus un peu en amont de Hamoir.
Puis il revient au point de départ en longeant l’Ourthe, cette fois en contrebas de nouvelles crêtes rocheuses. On en a décidément plein la vue, à Sy ! Si ! Si !