Cette grotte a été découverte en juillet 1995 par J-L Putz et J-C Vittoz.
Il s’agit du puits d’une ancienne galerie d’exploitation d’ardoises.
Elle fut ouverte par la Société forestière du Gospinal en 1863.
Deux petites galeries d’un même réseau, verticale et horizontale, sans jonction entre elles.
Grotte dans laquelle s’engouffre le Ruisseau du Fond des Pipires.
Il s’agit d’une vaste dépression boisée avec une cascade de 10 m.
Chantoir classé en Réserve Naturelle.
Ce chantoir, d’une longueur de 440 m et d’une profondeur de 65 m, propice à la spéléologie, a déjà été mentionné dans un livre de Rahir en 1899.
Une nouvelle partie a été trouvée en 1967.
Il s’agit de la grotte du dernier sottais (nain) ou trou des Faux Monnayeurs.
Le Ruisseau de Banneway s’y engouffre.
Cet escarpement calcaire est long de 1 km et haut de 60 m. Les cavités naturelles ont servi d’abris aux hommes préhistoriques depuis -5500. Ensuite de forts depuis le Moyen-Age à la Renaissance.
Une grotte proche de la Grotte Veronika et de la source de la Chawrèsse.
Cette grotte fossile a été découverte à la suite d’un tir de mines en 1980.
Ce gisement paléontologique et archéologique date d’environ 500000 ans. On y a répertorié plus de 30 000 fossiles comportant une cinquantaine d’espèces distinctes.
Une grotte bien connue du Fond des Vaulx, zone calcaire de la Calestienne à l’est de Marche. Appréciée des spéléologues, on y a retrouvé des vestiges datant du néolithique (-7500).
Cette remarquable grotte calcaire karstique comporte un abîme de 22 m de profondeur. Elle permet de découvrir d’une manière ludique le monde souterrain.
Elle a été explorée en 1900. Elle fut ouverte au public en 1929.
Cette cavité calcaire s’ouvre tel un labyrinthe sur la rive droite de la Meuse. Son entrée inférieure se trouve à 138 m d’altitude.
Cette grotte appelée également le Trou des Nutons, était habitée par des hommes préhistoriques.
Cette grotte est composée d’un magnifique conduit qui perce le massif de part en part, un exemple typique de recoupement de méandre.
Cette grotte se situe sur le versant ouest de la rive gauche de Ruisseau de l’Agauche, un petit affluent de l’Ourthe, qui se jette dans celle-ci en aval de Hotton.
Cette grotte fait partie du réseau hydrogéologique de la Lembrée. La
cavité se développe sur plus de 2 km et présente une dénivellation de 45 m.
Cette petite grotte qui s’ouvre dans le calcaire givétien comptait avant nos explorations environ 100 m de développement.
Au niveau inférieur de la galerie d’entrée on note la présence d’une rivière
Cette galerie très boueuse est constituée de deux réseaux parallèles reliés par des diaclases dans une zone d’éboulis.
Cette grotte protohistorique située au pied d’une falaise de calcaire est l’une des plus importantes de l’époque Magdaléenne (paléolithique supérieur).