Cette grotte se situe sur la paroi rocheuse de poudingue de la rive droite de la Warche. Elle s’est formée voici 250 millions d’années durant l’ère géologique du Permien. L’accès est barré.
Sa caractéristique principale est la taille de son porche d’entrée qui débouche sur une galerie. La Lhomme s’y engouffrait avant la construction du talus du chemin de fer en 1880 mais ses eaux peuvent toujours l’atteindre lors de crues.
Cette grotte située en rive gauche de la Lhomme est constituée d’un grand porche et de réseaux importants. Une digue empêche généralement les eaux de la Lesse d’y pénétrer lors de crues mais des infiltrations restent possible.
Cette large cavité s’enfonce dans la roche calcaire (belles stratifications).
Ancien exutoire de la Lomme, aujourd’hui perché une dizaine de mètres au dessus du lit.
Etonnante résurgence ramenant à l’air libre un cours souterrain.
CC BY 3.0 Anabase4 Cette grotte située sur la rive droite de l’Isbelle fait l’objet de fouilles archéologiques depuis le début du 20è siècle.
Cette grotte est également appelée Grotte à Jules, Trou Willy ou Trou de l’Ambre.
Elle s’ouvre dans une falaise calcaire à 28 m au-dessus de la Lomme.
CC BY-SA 4.0 Xofc Grande classique de la spéléologie, l’une des plus fréquentées de Wallonie.
Elle se développe sur un total d’environ 1542 m.
Sa profondeur est de 35 m sur 4 étages superposés.
Le porche est haut de
Cette grotte protégée se développe sur plus de 2 km, avec une grande salle et des galeries phréatiques. Elle comporte une dénivellation de près de 100 m.
Cet ensemble de 7 grottes-abris ont été découvertes par le géologue Edouard Dupont en 1867 avec des vestiges de l’âge du mammouth et du renne. Il s’agit du Trou du Chêne, de l’Eglantier, de l’Erable, du Lierre, du Pommier et du Noisetier.
Ce réseau de galeries creusé par l’homme dans le cron sous les fondations de l’ancien moulin jusqu’aux caves du presbytère. Il s’agit d’un étonnant témoin géologique datant de l’ère tertiaire. Entrée libre.
CC BY-SA 4.0 mini-ardenne Les premiers puits verticaux ont été creusés par l’homme dès le néolithique, entre -4500 et -1800 afin de retrouver une pierre qui leur était précieuse : le silex.
CC BY-SA 3.0 Jean-Pol GRANDMONT Une grotte située dans la paroi d’un ravin, accessible en traversant le Ri de Sébia par une passerelle, depuis la Rue du Camp Romain.
CC BY-SA 4.0 mini-ardenne Il s’agit de très anciennes silexières protégées en site Natagora. Pas moins de 13 entrées de grottes se succèdent le long du sentier. Elles ne sont pas profondes et longent le coteau. La craie y a aussi été exploitée.
CC BY-SA 4.0 mini-ardenne Selon la légende, cette grotte était habitée par les sotês, des nains qui vivaient autrefois dans la région verviétoise.
Cette petite grotte calcaire givétienne dont l’entrée mesure 1.70 m de haut sur 2.20 m de large a servi d’abri depuis la préhistoire, des ossements retrouvés attestant la présence de l’homme.
Cette cavité karstique fait partie du massif calcaire givétien du Dévonien moyen des grottes de Han. Il s’agit d’une ancienne perte de la Lesse. La spéléologie Jacqueline Desmons y est resté bloquée durant 48 h en 1959.
CC BY-SA 4.0 mini-ardenne Ce surplomb rocheux en grès siliceux est empli de petites grottes, creusées par l’érosion naturelle au jurassique.
La galerie principale a une longueur de 15 m.
Ce chantoir très étroit a une profondeur de 37 m.
Cette grotte est réservée aux spéléologues avertis.
Cette grotte qui se développe sur plus de 5 km a été découverte en 1969 par le Spéléo Club les Calcites.
Petit rocher vertical en calcaire.
La grotte était habitée durant la préhistoire.
Actuellement, le site fait l’objet de fouilles.
La légende raconte qu’une maison était habitée par les nûtons.
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