Cette ville située au cœur du Val de la Warche a été fondée vers 648 par Saint-Remacle, originaire d’Aquitaine et prieur de l’abbaye de Solignac.
En ce qui concerne sa naissance et sa jeunesse, l’histoire de Malmedy se confond en grande partie avec celle de son abbaye.
Ce kiosque remarquable de style art nouveau, proche du calvaire de Malmedy, offre une superbe vue sur la ville. Il date du début du 20è siècle.
Ce calvaire fut érigé par le capucin Albert de Dinant en 1728.
Cette ancienne église abbatiale est de style Louis XVI. La façade est dominée par deux tours. Le carillon de 35 cloches a été fondu par le malmédien Martin Legros en 1786.
A l’intérieur, on y trouve une chaire à prêcher et 4 confessionnaux datant de 1770. Un autel en marbre de la Sainte-Vierge (1773), une châsse en bois de St-Quirin (1698), des bustes reliquaires en argent de St-Géréon et de ses compagnons (en soldats romains harnachés) et des vitraux datant de 1944.
Les visites ont lieu tous les jours à l’exception de certains jours de fête.
L’église est bâtie comme abbatiale.
Elle est dédiée aux Saints Pierre, Paul et Quirin.
Elle devient paroisse.
Le maître-autel en marbre est ajouté.
L’église devient la cathédrale de l’évêché d’Eupen - Malmedy.
Cette chapelle classée de 1755 de style classique Renaissance fut construite sur les plans de l’architecte de la cathédrale Saint-Aubin de Namur, Gaetano-Matteo Pizzoni.
Elle est voulue et fondée par le célèbre polémiste Jean-Ignace (de) Rodrigue, colonais d’origine malmédienne.
Elle contient une relique du chef de Sainte-Emérentienne (3è siècle) et 2 monuments funéraires sculptés et armoriés, en schiste ardoisier de Recht.
Elle se visite tous les jours à l’exception de certains jours de fête.
La chapelle est édifiée.
La chapelle est restaurée.
La chapelle est classée.
Dans cette chapelle classée, on y trouve une chaire de vérité (fin 17è), 2 confessionnaux (fin 17è) ainsi qu’une Vierge à l’enfant, sculpture de l’école de Jean Delcour.
La construction de la chapelle débute.
La construction de la chapelle est achevée.
Dans ce lieu de pèlerinage, les murs intérieurs sont recouverts d’ex-voto.
La chapelle est consacrée sous le vocable de Sainte-Marie-Madeleine.
La chapelle est réédifiée.
La chapelle est consacrée.
Une épidémie ravage la ville (800 morts en 8 mois).
La Vierge qui orne l’autel est offerte après l’épidémie.
Une transformation donne à la chapelle sa forme actuelle.
Cette chapelle située au sommet du chemin de croix a été construite à l’initiative du père capucin Albert de Dinant.
Cette chapelle du 18è siècle a été restaurée et transformée en funérarium.
D’architecture d’aspect un peu sévère, elle est à rapprocher de celle de la cathédrale.
Ce crucifix se situe sur le chemin de croix du Père Albert de Dinant, prédicateur à Malmedy et auteur du choix des stations.
Construction des stations du calvaire et de la chapelle.
Le socle ancien de cette croix fait corps avec des murets modernes, le tout rappelle un autel.
Le cimetière a été béni le 17 mai 1795 par le vicaire Henri Bragard, commis à cette fin par son frère, le révérend curé Godefroid Bragard, et ce, après désaffectation du cimetière entourant l’ancienne église Saint-Géréon.
On peut y lire :
"Souvenir de la mission donnée par les révérends pères jésuites dans la paroisse de Malmedy du 11 au 23 décembre 1850"
"Cette croix, ainsi que son socle se trouvait primitivement à une centaine de mètres plus à l’est, dans l’enceinte de l’ancien cimetière du Parc".
Ce grand crucifix indique l’emplacement de l’autel de l’ancienne église Saint-Géréon et ce, conformément à la décision de la congrégation des Rites du 27 septembre 1600.
Le vieux mur de la Place Saint-Géréon est arraché. A la réquisition du curé, on enlève les croix du cimetière (180) faites de masses de pierres énormes qui occupent beaucoup de place et occasionnent des disputes entre les paroissiens.
L’église St-Géréon est démolie. La croix est placée.
La croix est renouvellée mais il n’est pas fait mention de ce millésime.
Le mur est démoli mais on le resconstruit avec un recul de trois mètres. Six croix sont reconstituées et replacées dans le nouveau mur.
Calvaire moderne "A Crucifix" lié à la légende de St-Remacle et érigé sur une source.
La légende dit que Saint Remacle, apôtre des Ardennes, renversa l’autel de Diane, qui se trouvait à cet endroit e
Calvaire moderne "A Crucifix" lié à la légende de St-Remacle et érigé sur une source.
La légende dit que Saint Remacle, apôtre des Ardennes, renversa l’autel de Diane, qui se trouvait à cet endroit et purifia la fontaine qui lui était consacrée.
La Fontaine St-Remacle se trouve au pied de la croix (appelée avant le début du 20è Fontaine Saint-Quirin).
Cette grotte se situe sur la paroi rocheuse de poudingue de la rive droite de la Warche. Elle s’est formée voici 250 millions d’années durant l’ère géologique du Permien. L’accès est barré.
Il s’agit d’un des derniers témoins des fortifications de 1601.
Elle se compose d’une ancienne porte de la ville et d’une tour forte.
Un corps de garde se trouve au premier étage, de trace de départ de chemin de ronde et de meurtrières
Des expositions culturelles sont organisées par l’ ASBL Malmedy Folklore.
La Halle est construite. Elle devient le siège de la haute Cour de Justice.
Transformée, elle sert de prison.
La Halle devient mairie jusqu’en 1808.
Cet édifice a été construit en 1901 grâce à un don de Jules Steinbach, un puissant industriel papetier.
Kiosque (1934) fleuri qui profite durant toute l’année d’une décoration originale et qui abrite les bustes de Beethoven, Mozart et Wagner.
Cet important bâtiment néo-classique a été construit de 1912 à 1914 (époque prussienne) sur les plans de l’architecte allemand Schultze. Il est le siège actuel du Ministère des Finances.
Il a servi de Landratur durant la guerre 14-18.
Cette bâtisse à la façade décor néo-classique enduite, classée en 1973, abrite le musée du papier.
Le bâtiment est construit et est d’abord un orphelinat. Il est fondé par Jean Hubert Cavens.
Cette maison constitue le seul exemple malmédien de l’architecture patricienne du premier quart du 18è siècle. Il s’agit d’une construction en briques enduites et pierres pour les soubassements.
Les baies des fenêtres sont liaisonnées avec déharpements, celles des portes sont en plein cintre, inscrites dans le rectangle.
L’imposante toiture d’ardoise, à croupets en dessous d’un niveau à la Mansart.
La Correspondance des façades antérieure et postérieure avec enrichissements, côté rue (fronton et consoles à l’entrée, bardeaux d’appui en cordon unissent les cinq travées de chaque étage, lucarnes richement ornées au premier étage de la toiture).
Date inscrite sur le fronton de la porte d’entrée : 1724
Plusieurs auteurs affirment sans citer leurs sources que sa campagne de construction se situe entre 1714 et 1724.
La maison est édifiée à l’initiative de Quirin Joseph Dester par l’architecte : Laurenz Mefferdatis d’Aix-la-Chapelle. Conseiller du Prince-Abbé, Quirin Joseph Dester la vend à Hubert Cavens, ancien Bourgmestre.
La fille de Quirin Joseph Dester, Anne-Elisabeth se marie avec Nicolas Mostert d’Eupen et reçoit la maison en cadeau de noces. Par la suite, elle appartient aux époux Villers-Mostert puis à mademoiselle Simone Villers.
La maison est miraculeusement épargnée des bombes lors de l’offensive.
L’habitation devient la propriété de l’ Administration Communale de Malmedy.
Cette maison typique de la fin du 17è siècle relate la vie populaire, folklorique, ethnologique.
On y trouve également une reconstitution d’un intérieur de "petites gens" à l’époque de la révolution française.
On y découvre la chambre, la cuisine, ainsi qu’un mannequin de Madame Vinette, et des images pieuses.
Ce musée est situé dans un bâtiment datant du 19è siècle. Il concerne la vie populaire et le folklore.
On y trouve aussi une collection des masques du Cwarmé, des documents d’archives et des photographies.
Cet ancien monastère fondé en 1708 abrite notamment les bureaux de l’Office communal du Tourisme depuis 1985.
Devant le monastère, trois monuments ont été érigés à la mémoire des militaires victimes des deux guerres mondiales.
Dans le jardinet jouxtant l’ancien presbytère, se détache sur un tronc le médaillon du paysagiste Jean Nicolas Ponsart, ami de Madou.
Buste en bronze dédié à la mémoire de l’ Abbé Peters, abbé à Comblain-au-Pont, résistant pendant la seconde guerre mondiale.
Il combat la propagande de la "Hitler jugend".
Il aide plusieurs jeunes d
Buste en bronze dédié à la mémoire de l’ Abbé Peters, abbé à Comblain-au-Pont, résistant pendant la seconde guerre mondiale.
Il combat la propagande de la "Hitler jugend".
Il aide plusieurs jeunes de Malmedy à échapper aux griffes des allemands en les encourageant à déserter.
Il est incarcéré à la prison d’Aix puis guillotiné le 1er juillet 1943.
Ce complexe de 5 salles décentré sur la route des Hautes Fagnes peut accueillir jusqu'à 750 spectateurs.
Ce monument érigé en 1781 était le symbole de l’autorité du prince.
Une vaste plaine de jeux avec de nombreux modules au sein du parc des tanneries en plein cœur de la ville.
Cette plaine de jeux de 800 m² est couverte et chauffée.
Réductions pour enfants d’une même famille et forfaits anniversaire.
Pont d’architecture simple avec une arche en schiste ardoisier de Recht (18è).
Pont composé de 5 arches en calcaire et grès arkose (18è).
Ce bâtiment en pierre et taille de France a été construit en 1901 à la demande de Jules Steinbach en l’honneur de sa fille Juliette. Il est orné de bas-reliefs. Il abrite la justice de paix et certains services communaux.
La villa est édifiée à la demande de Jules Steinbach en l’honneur de sa fille Juliette, épouse Lang.
La Ville achète le bâtiment qui sert de Kommandantur" à la famille Lang.
Cette auberge de Jeunesse se situe au cœur des Hautes Fagnes. Elle dispose d’une mare écologique pour l’étude du biotope, d’un terrain d’aventure et d’une plaine de jeux. Elle organise également des soirées de danse folklorique.
Ce centre de loisirs comporte 8 chambres d’hôtel, 1 loft et 37 chalets.
Equipé avec piscine intérieure et extérieure, wellness avec jacuzzi et hammam, salles de séminaire, restaurant, terrasse ensoleillée, terrain de tennis, minigolf…
Malmedy vu d’en haut
Un relent de Hautes Fagnes
Entre Francorchamps et Ster, au nord du circuit.
A la confluence de la Warche avec l’Amblève
Un circuit juste à côté de l’autre !
Balade digestive !
Zone fagnarde appréciée d’un grand professeur
Les tourbières du sud du Haut Plateau fagnard
Dans les profondeurs des gorges des affluents de la Warche !
Malmedy côté jardin
Autour de Ster-Francorchamps
Les gorges des Hautes Fagnes !