Cette réserve naturelle de 177 ha est gérée par Ardenne et Gaume. On y trouve des bois de feuillus et de résineux, des taillis, des bruyères, des formations rocheuses et une flore et faune très riches.
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L’accès est autorisé sur chemins et sentiers.
Cette carrière calcaire est caractérisée par une biodiversité intéressante. On y trouve des populations rares de crapauds calamites ou accoucheurs. Le grand duc d’Europe y niche sur les falaises.
Ce site de grand intérêt biologique (SGIB) s’étend le long du Ruisseau du Moulin de Libin sur une superficie de près de 15 ha.
Cette réserve naturelle de 273 ha créée en 1965, est située dans la forêt au nord du village de Muno. Elle est constituée de bois, taillis et roches, dont la fameuse Roche à l’Appel, constituée de gros blocs de poudingue.
Ce site classé de grand intérêt biologique est un complexe de prairies alluviales s’étendant sur un peu plus de 23 hectares, à la confluence du Marsault avec la Lhomme. C’est le Marsault qui activait le moulin des forges.
Un pont plein de charmes !
Bon résumé des êtres fantastiques de l’Ardenne
Ce sanctuaire rural qui s’apparente à un ermitage a été edifié au 19è siècle.
La maison située dans le prolongement de la nef était autrefois un presbytère.
Ce passage est caractérisé par des dalles qui sont gravées avec des citations d’auteurs connus.
La Dame Blanche est un être fantastique que l’on rencontre dans des chemins obscurs et à l’écart des villages. On les trouve partout en Wallonie.
Une grande fresque du diable peinte sur un mur blanc.
Cette église de style néo-gothique a été construite en 1888 en remplacement d’une ancienne chapelle castrale. Son orgue remarquable a été réalisé par Georg Westenfelder, l’un des meilleurs fabricants de l’époque.
Cette église paroissiale de style classique en schiste, grès et pierre de France a été édifiée en 1761.
Etres bienveillants, elles ont insufflé leurs talents dans l’esprit des artistes locaux, déporté de ceux qui sont décédés.
Cette grotte située au pied de la Roche-la-Dame a été édifiée le 14 mars 1920 à l’initiative de l’abbé Jacoby, curé de Bohan.
Cet homme-loup a traité avec le diable. Dès lors, il se change en loup les soirs de pleine lune. Il peut faire le bien comme le mal. Par exemple permettre à quelqu’un en forêt de retrouver son chemin mais il peut aussi attaquer des paysans.
Cette espèce de lézard est décrit comme étant gros comme un veau. Il vit dans l’eau et lorsqu’on l’aperçoit, c’est paraît-il un signe de mauvaise augure.
Sous l’aspect de vieillards alertes, ce sont des génies d’une hauteur d’une jambe, souvent bienfaisants mais qu’il faut éviter de blesser ou de provoquer. Ils sortent uniquement de nuit. Ils rendent volontiers service contre un menu paiement.
Il s’agit de deux énormes pierres polies par les eaux.
L’une d’elle est en quartz rose et l’autre en grès, de forme trapézoïdale.
Une table de pique-nique avec une vue imprenable sur le village de Laforêt.
Une zone de baignade située dans la Semois, le long de laquelle s’étend une plage d’herbe.
Une plaine de jeux située le long de la Semois.
Malgré leur apparence d’habitantes ordinaires opérant incognito, ces femmes ont pactisé avec le diable, afin qu’elles puissent jeter des sorts. Elles se réunissent lors de sabbats.
La Toursiveuse est une sorcière aux doigts en forme de branches. Elle symbolise la face cachée des gens.
Cet animal fantastique, croisement d’un homme et d’un bouc, est de nature démoniaque. Il incarne le diable. Parfois, il le sert et il lui arrive de se faire avoir par ce dernier.