Ce château classé situé sur un promontoire rocheux de la vallée de la Lhomme est à l’origine une forteresse datant du début du 11è siècle, à la suite de rivalités entre les seigneurs de Bouillon et les seigneurs de Mirwart.
Préhistoire : avant -3000 (premières écritures)
Antiquité : -3000 à 476 (chute de l'empire romain d'occident)
Moyen-Age : 476 à 1453 (chute de l'empire romain d'orient)
Temps modernes : 1453 à 1789 (Révolution française)
Epoque contemporaine : 1789 à 1945 (Fin de la seconde guerre mondiale)
Histoire récente : 1945 à nos jours
11 è siècle
Une forteresse est construite par un seigneur lotharingien pour se protéger des seigneurs de Bouillon et d’Orchimont.
1083
L’abbé de Saint-Hubert fait démanteler la forteresse, après que les seigneurs de Mirwart ait été chassés par le prince-évêque de Liège, Henri Ier de Verdun, suite à un différend les opposant aux moines de Saint-Hubert.
1099
Le prince-évêque Otbert fait reconstruire la forteresse et la cède à Bovon de Waha.
1293
Jean d’Avesnes achète le fief mais la vente est contestée par l’évêque de Liège. Cela crée un conflit entre le prince-évêque Jean de Sponheim et les comtes de Hainaut, de Luxembourg, de Namur et de Looz, ainsi qu’avec le duc de Brabant.
18 è siècle
Le château est reconstruit après une période tumultueuse liée aux conflits opposant l’Espagne à la France, puis l’Autriche à la France.
19 è siècle
Le château est acheté par le créateur de la cristallerie de Vonêche, Aimé-Gabriel d’Artigues. Ensuite par les familles Van Der Linden d’Hoogvorst, d’Arrigade et Von Der Becke.
Ce chêne est le témoin du jumelage de Mirwart avec Le Bois d’Oingt, village de France en région Rhône-Alpes, dans l’arrondissement de Villefranche-sur-Saône.
Cette ancienne croix d’occis en pierre de taille a été érigée en mémoire de Henri Sonet et Jean Molhan, qui ont été écrasés par un arbre le 22 juillet 1773.
Il se trouvait autrefois un arbre sur le chemin de Smuid à Mirwart que l’on appelait Marie, étant dédié à la Vierge. Au pied de celui-ci jaillissait une source servant à abreuver le bétail.
Au printemps 1758, le vieil succomba aux assauts du vent mais la source résista au tarissement et devint dès lors la "Source Marie".
Cette église paroissiale de style néo-gothique à une nef a été bâtie sur les plans de l’architecte F. Cordonnier entre 1869 et 1870.
A l’intérieur, on peut y découvrir de beaux vitraux. Ceux de la nef représentent la résurrection avec le passage de la cendre au feu. A voir aussi, les deux rosaces de la sacristie et du jubé.
L’autel polychrome et le lutrin ont été réalisés par Jean William en 1981. Ils représentent les patrons de l’église ainsi que la vie du village.
On peut y voir également de nombreuses statues : Saint-Pierre, Saint-Paul, Saint-Michel ainsi qu’une Vierge en bois habillée en reine.
Situé en contrebas du château, cet ancien moulin datant du début du 17è était la propriété du seigneur qui imposait une redevance aux villageois pour son utilisation. Il fait aujourd’hui partie du centre provincial d’hébergement et de loisirs.
Cette table de pique-nique est située en retrait en plein bois, derrière une très ancienne croix d’occis datant de la fin du 18è siècle : la Croix Sonet et Molhan.
Les 35 étangs permettent de livrer pas moins de 10 tonnes de truites fario par an, en vue de réempoisonner les rivières. L’élevage exige des connaissances étendues afin de gérer l’ensemble du cycle de production, de la ponte à la vente.
Ce site classé de grand intérêt biologique est un complexe de prairies alluviales s’étendant sur un peu plus de 23 hectares, à la confluence du Marsault avec la Lhomme. C’est le Marsault qui activait le moulin des forges.
Préhistoire : avant -3000 (premières écritures)
Antiquité : -3000 à 476 (chute de l'empire romain d'occident)
Moyen-Age : 476 à 1453 (chute de l'empire romain d'orient)
Temps modernes : 1453 à 1789 (Révolution française)
Epoque contemporaine : 1789 à 1945 (Fin de la seconde guerre mondiale)
Histoire récente : 1945 à nos jours
16 è siècle
Une forge se trouvait sur le site, sous le Château de Mirwart.
18 è siècle
Il y a des prairies humides et des landes à cet endroit.
19 è siècle
On trouve des prés de fauche à la place des prairies humides, selon la carte Ferraris.
1947
Les prés de fauche prennent fin.
1970
Une station climatique est installée dans la plaine pour étudier le microclimat.
Cette statue dite du Semeur, posée en plein centre de la Place Communale, a été réalisée par un artiste du terroir. Il s’agit de la marque de fabrique de la bière locale "Le Semeur".