Cette ancienne commune située le long de l’Ourthe, juste avant sa confluence avec la Meuse fait à présent partie de Liège. Elle comprend le Sart Tilman et Kinkempois. Elle comporte environ 10000 habitants.
Angleur est mentionné pour la première fois dans une charte sous la forme Angledura.
Les représentants de la cathédrale, de la noblesse et du peuple signèrent la "Paix d’Angleur" avec de nombreux conflits.
On cite un château à Kinkempois qui relève du prince-évêque de Liège. Le chevalier et échevin Raes de Haccourt est le premier seigneur connu.
Raes de Haccourt cède l’usufruit du château à son fils Englebert. Puis il passe de mains en mains à d’autres familles.
L’abbaye Saint-Laurent acquiert le château.
Érard de La Marck hérite du château.
Le château est restauré par la famille Horion, seigneurs d’Angleur.
Après la période française, les Hollandais construisent le canal de l’Ourthe. Des fonderies de zinc apparaissent. La population augmente considérablement.
La Société anonyme de la Vieille Montagne est fondée (fonderie de zinc). Elle midifie la commune en profondeur. C’est l’établissement métallurgique le plus important d’Europe.
Le Sart Tilman est le théâtre des premiers combats de la guerre.
Le Liège Science Park est fondé au Sart Tilman.
La commune d’Angleur est rattachée à celle de Liège. Charles Davin, un socialiste, est donc le dernier bourgmestre d’Angleur.
Cette chapelle est adossée à une ferme datant du 14è siècle.
Cette église de style néo-classique en briques à cinq travées est harpée de calcaire aux angles.
Des inondations exceptionnelles causent d’importants dégâts dans l’église, notamment aux peintures et aux statues en plâtre, dûs à la moisissure.
Cette gare située près de la bifurcation entre la ligne 37 (Liège-Hergenrath) et la ligne 43 (Angleur-Marloie) a été mise en service le 1er juillet 1843.
Depuis le 28 juin 2013, elle est devenue un simple point d’arrêt.
Cette lande d’une vingtaine d’hectares se situe dans la réserve naturelle du Sart Tilman, faisant partie de l’Université de Liège.
Les retombées polluantes de l’usine de la Vieille Montagne dégrade fortement la couverture forestière. Des rejets de dioxyde de souffre détruisent la forêt et les sous-sols sont contaminés par le zinc et le plomb.
L’Usine de la Vieille Montagne cesse ses activités polluantes. Ce qui permet le retour de la forêt.
Le reboisement atteint presque la totalité de la lande.
Les travaux de restauration de la lande commencent : elle est défrichée pour retrouver son aspect originel.
Ce musée a été créé le 13 décembre 1998. Il retrace l’évolution des chemins de fer à travers le matériel du passé et du présent.
Son but est de promouvoir les chemins de fer et de sauvegarder le patrimoine ferroviaire, grâce à l’apport de bénévoles et de bienfaiteurs qui prêtent de la documentation.
Du matériel déclassé est récupéré au sein de la SNCB.
Stands de la vapeur, de la voie, de l’exploitation, du Nord belge, de Liège-Guillemins, de la Compagnie des Wagons-lits, de la guerre et de la résisitance, de la caténaire
Reconstitution d’une ancienne cabine de signalisation, d’un guichet.
Un point de vue sur la vallée de l’Ourthe. On peut y voir clairement la sortie 40 Tilff Sart Tilman de l’autoroute E25.
Ce bâtiment restauré englobe la cour historique d’un l’ancien couvent. Sa capacité est de plus de 200 lits.
Un îlot de verdure dans les faubourgs liégeois
Balade dans l’étonnant domaine de l’Université de Liège
Sur la colline de la dernière boucle de l’Ourthe
L’étonnante colline universitaire et boisée du Sart Tilman
Liège au vert
Surprenantes hauteurs de Liège !