Une table de pique-nique sous les tilleuls, en sortie du village.
Cette balade est l’occasion de découvrir un magnifique panorama sur la région d’Ourthe-Amblève, qui s’étend jusqu’au CHU du Sart Tilman.
Lors de l’itinéraire, une belle table d’orientation explicite les lieux visibles. En contrebas, une table de pique-nique vous attend pour vous ravitailler.
Ensuite, on remonte dans le Bois Mahousseux, un massif forestier assez calme qui augure un peu la profonde Ardenne puisqu’au-delà, vers le sud, on aboutit déjà dans la région de Ferrières.
Mais nous n’irons pas si loin : à hauteur de la Croix Saint-Christophe, on prend à nouveau le cap sud-est/nord-est pour rejoindre notre point de départ, près d’un mémorial américain : le Monument américain du Pouhon.
Il s’agit d’un centre de vacances du Commissariat général au Tourisme.
Il est construit en moellons de grès et calcaire par Gilles Bouvet, seigneur de Villers, décédé en 1623.
Une table de pique-nique au rond-point de la Rue Haute, près de la petite voiture du tram de l’ancienne ligne vicinale.
Cette balade vous invite à faire le tour d’un domaine situé sur les hauteurs orientales de l’Ourthe, non loin de Barvaux, qui fait la part belle à la flore locale : environ 700 espèces de plantes et arbres différentes (la moitié de la flore belge !) vous y attendent dans un cadre majoritairement boisé, dont de majestueux hêtres.
La faune n’est pas en reste avec de nombreux insectes, mammifères, reptiles et batraciens.
On y organise également des expositions et des bioramas sur la biodiversité des Ardennes.
Ce centre d’exposition présente 50 bioramas en 7 thèmes pédagogiques notamment sur la campagne, le bois, le bord de l’eau, la migration, la gestion du patrimoine naturel, l’incidence humaine, flore et faune, etc.
Une jolie trotte majoritairement forestière qui vous mène à une croix de carrefour forestier, suivi du passage dans la partie ouverte du parc forestier Chlorophylle.
Puis l’on revient vers le Bois de Tave avant de redescendre sur Amonines.
Toujours au cœur de la Calestienne, cette longue bande géologique calcaire traversant l’Ardenne, les abords de l’Ourthe nous réserve bien des surprises !
Entre grottes, rochers, chantoirs et résurgences de ruisseaux, ces zones habitées depuis la nuit des temps nous gratifient de leurs richesses naturelles, historiques et paysagères.
La balade pousse jusqu’aux villages de Werpin et de Hampteau, avant de revenir sur Hotton.
Depuis cet endroit très touristique qui comporte le Syndicat d’initiative, le départ du tramway touristique de l’Aisne et une grande plaine de jeux avec des tables de pique-nique dont certaines sous abri, cette balade vous emmène à la découverte d’un petit arboretum aux espèces locales, d’une glacière d’une ancienne laiterie datant du début du 20è siècle ainsi que d’un moulin datant du 14è siècle.
Le retour se fait par le Ravel qui relie Erezée à Hotton.
Moulin à eau et à farine (1927) possédant une roue en fer et une autre en bois. Bâtiment en moellons de calcaire sous haute bâtière d’ardoises à coyaux.
Une aire de barbecue assez vaste avec plusieurs tables de pique-nique le long du Ruisseau de l’Ai-l’Oiseau.
Une table de pique-nique sur l’Ile d’Oneux, près de la plaine de jeux.
Cette collection de plus de 250 buis taillés en forme d’animaux ou de personnages sur une superficie de 10 000 m².
La plus petite ville du monde.
Ce titre, devenu slogan touristique, a été octroyé dans une charte des franchises par le Roi Jean de Bohème, comte de Luxembourg en 1331.
Une table de pique-nique le long du Ravel.
Le Rocher de la Cathédrale, le Rocher de Nandouire, la Vau aux Corneilles... Voilà tous noms qui en disent long sur la pente très abrupte qui sépare les hauteurs de Sy et l’Ourthe.
Mais rassurez-vous, il ne s’agit pas d’escalade, quoique bien des sportifs de la pratique viennent s’y essayer ici, mais bien d’une balade sur les balcons surplombants ces rochers, qui offrent bien entendu de somptueux panoramas sur la rivière.
Attention toutefois de bien rester sur les sentiers. Si ces derniers sont sans aucun danger, la falaise reste proche et parfois très abrupte.
Une fois quitté la zone, l’itinéraire se dirige vers la Croix du Curé. Impressionnante avec son crâne gravé et son histoire liée, surtout dans un bois où règne une certaine pénombre.
Ensuite le paysage s’ouvre l’espace d’un moment pour découvrir le beau Château de Lassus un peu en amont de Hamoir.
Puis il revient au point de départ en longeant l’Ourthe, cette fois en contrebas de nouvelles crêtes rocheuses. On en a décidément plein la vue, à Sy ! Si ! Si !
Aire de pique-nique installée le long de la Route des Minières.
Une table de pique-nique au pied du rocher de Renissart, le long de l’Ourthe.
Un tour dans le vaste Bois du Pays, entre Erezée et Manhay, plus précisément entre Sâdzot et La Fosse, où l’on part à la rencontre de deux croix forestières dont une avec une aire de pique-nique : la Croix Sainte-Jehenne.
Un barbecue couvert avec plusieurs tables de pique-nique dans un parc situé le long de la voirie bordant la Réserve Naturelle de la Picherotte.
Une table de pique-nique au cœur du petit village.
Sur une petite aire ombragée sous les sapins, deux tables de piques accueillantes au niveau de la résurgence de la Lembrée.
Pour les nostalgiques des anciennes photos de villages, qui déplorent la détérioration progressive de leur charme par une certaine forme de modernité, venez vite ici à Ferrières ! Ce village a su garder en de nombreux endroits un caractère particulièrement authentique, bien aidé par sa position à l’écart de la voie principale située à un kilomètre de la petite place arborée.
Il est rare de trouver autant de ruelles avec des maisons qui recèlent un tel caractère. Les habitants, par leurs aménagements, parfois dans certains détails, démontrent leur attachement à leur village si charmant.
Pour encore y ajouter, un nombre de sentiers pittoresques plus élevés que la moyenne, soit à travers champs, soit entre deux haies, soit encore constitués de petits escaliers, jalonnent les environs campagnards du village. De surcroît, ils sont rehaussés par une multitude d’anciens petits panneaux toponymiques, que l’on aimerait voir fleurir partout ailleurs, tant cela donne de la convivialité lorsque l’on s’y promène.
La variété des paysages y est pour beaucoup : de champs en bosquets, de prés en forêt, le tout se déroule dans des petits endroits arborés où serpentent ces chemins et sentiers.
Ici, on va prendre un peu de hauteur afin d’admirer le village d’en-haut : le Nokar. Un point de vue y cotoie une zone de barbecue.
On revient alors vers le village en passant par les hameaux de Ferrières aux connotations elles aussi bien pittoresques : Le Houpet, Lognoul et la Fontaine. Toujours parmi les maisons disséminées dans la campagne et les bosquets qui les entourent.
Voici une balade riche en éléments tant naturels que culturels mais pas forcément facile car les reliefs autour de l’Ourthe et de son confluent, la Lembrée, sont relativement bien marqués.
C’est souvent synonyme de beaux panoramas et rien que pour cela, moyennement un brin de sportivité dans les côtes, elle en vaut certainement la peine.
D’autant qu’elle démarre au très attractif Domaine de Palogne, qui offre pas mal d’infrastructures touristiques et qui justifie une journée entière si l’on souhaite s’adonner aux activités qu’il propose : brasserie, kayak, mini-golf, sans oublier bien entendu le Château-fort de Logne, l’objet principal de cette balade !
Après l’avoir rejoint après un petit kilomètre, on se dirige vers le village de Vieuxville par la rive gauche de la Lembrée, que l’on traverse à Vieuxville.
Ensuite, retour au point de départ par une zone assez boisée, cette fois sur les hauteurs de la rive droite de la Lembrée.
Depuis la célèbre et pittoresque plus petite ville du monde, le but de cette balade est de flâner le long de l’Ourthe sur le Ravel en direction de Barvaux, puis de remonter via le village de Bohon, sur les hauteurs de la petite ville afin de pouvoir l’admirer d’en haut et enfin d’y redescendre pour explorer ses belles ruelles pavées.
Au passage, ne manquez pas d’admirer l’Anticlinal de Durbuy (ou Rocher d’Omalius), un rocher qui d’un point de vue géologique est assez exceptionnel, celui-ci ayant la particularité d’être en forme de U inversé, grâce à une sédimentation marine qui s’est faite progressivement au gré de la dérive des continents, et datant d’environ 300 millions d’années.
Cette rando se déroule de part et d’autre de la vallée de l’Aisne, ce qui implique des reliefs assez importants mais dans le cadre enchanteur des hauteurs de Wéris puis celles d’Erezée, en passant par le fond de la vallée au niveau du joli hameau d’Eveux.
Cette plaine jouxte le parc communal et les bureaux de l'administration communale
Petit barbecue aménagé à l’emplacement de l’ancienne gare de Saint-Roch (Xhoris).
Une table de pique-nique proche du dolmen nord de Wéris, située juste de l’autre côté de la route.
Un barbecue public en retrait de la route, avec plusieurs tables de pique-nique.
Une zone de barbecue avec des tables de pique-nique.
Une plaine de jeux dans le vaste parc arboré du domaine.
Cette balade vous propose de découvrir la très paisible région située entre Ferrières et Harre. Le mix est équilibré entre le bois, les prés, les vergers et les zones habitées. Plus précisément, ces dernières tournent essentiellement autour de Burnontige (photo : Chapelle Sainte-Barbe) qui étale ses petites ruelles jusqu’à la lisière des agréables bois environnants.
Plusieurs tables de pique-nique sous abri au niveau du bâtiment de la vitrine muséale du tramway touristique de l’Aisne. Il a été inauguré le 14 mai 2022.
Une plaine de jeux sur un îlot formé par deux bras de l’Ourthe. Sortie possible vers la Rue Simon par une passerelle.
Cette randonnée est vraiment typique de l’Ardenne profonde, même si le tracé se situe encore relativement au nord.
Mais tous les ingrédients sont réunis : de vastes forêts comme le Bois de Bernardfagne, le Bois du Pouhon (côté Ferrières), le Bois des Fagnes après Paradis puis les Bois de la Sûreté, de Plein Fays et de Mambaye (côté Spa).
Les ruisseaux et rivières aussi : la Lembrée à Ferrières, le Ruisseau du Pouhon à la Chapelle Sainte-Anne, la Lienne et l’Amblève à Targnon et le Wayai à Spa.
Et enfin, les villages et hameaux entourés de tous ces bois : Rouge-Minière, La Levée, Pouhon, Paradis, Lorcé, Targnon, Monthouet...
Comme vous l’aurez compris, il y en a pour tous les goûts au cours de cette rando mais il faudra être un brin sportif : outre la longueur (30 km), le dénivellé joue un peu les montagnes russes, surtout après l’Amblève qui a tout de même bien creusé !
Cette région calcaire et fertile, la Calestienne, a été marquée vers la fin du Néolithique, soit environ vers 3000 avant Jésus-Christ (lorsque la préhistoire touchait à sa fin), par une sédentarisation de l’homme.
Celui-ci a donc laissé des traces bien tangibles à travers champs, grâce aux dolmens et aux menhirs.
Les premiers ont une fonction nécrologique, pour y ensevelir des morts. Les seconds une fonction pratique, pour marquer des limites territoriales ou pour commémorer un événement.
Disposés selon un alignement géographique qui n’est pas dû au hasard, cette balade propose d’en faire le tour (en partie car la zone s’étend jusque Heyd voire jusqu’à Ozo), pour découvrir les vestiges massifs étonnants de cette ère lointaine, en partant de son centre névralgique : Wéris.