Un barbecue couvert avec plusieurs tables de pique-nique dans un parc situé le long de la voirie bordant la Réserve Naturelle de la Picherotte.
Petit barbecue aménagé à l’emplacement de l’ancienne gare de Saint-Roch (Xhoris).
Un barbecue public en retrait de la route, avec plusieurs tables de pique-nique.
Une table de pique-nique sur l’Ile d’Oneux, près de la plaine de jeux.
Musée illustrant la vie quotidienne et les pratiques funéraires des sociétés néolithiques d’agriculteurs éleveurs, bâtisseurs des mégalithes en Europe occidentale.
Cette tour offre un très beau panorama sur la ville. Elle est accessible en parallèle avec le petit train touristique de la ville.
Les hauteurs méridionales de la confluence Ourthe-Amblève recèlent quelques villages très agréables à traverser : Aisne, Villers-Sainte-Gertrude, Izier, Ferrières, la Rouge Minière et Awan, le tout dans un bel équilibre de champs, de prés et de bois.
Mais bon, le relief est relativement accidenté, néanmoins sans raideurs excessives, et la longueur est là : 25 km, quand même ! Ce qui en fait une balade plus sportive. Le principe de gare à gare vous permet de garer la voiture, aller en train au point de départ et revenir vers l’auto après une bonne dégustation dans cette petite ville touristique très gastronomique qu’est Aywaille !
Une table de pique-nique en pleine nature, jouxtant la croix.
Cette balade vous invite à une incursion sur les hauteurs de l’Ourthe au sud de Hotton, que vous pourrez admirer d’une tour-belvédère avant d’atteindre le premier kilomètre.
Ensuite, immanquables, les grottes de Hotton valent la visite : des concrétions calcaires magnifiques vous y attendent !
Mais ce n’est pas tout. Un peu plus loin, vous pourrez découvrir la Réserve Naturelle de l’Alouette. Il s’agit d’une ancienne carrière qui a été exploitée entre 1899 et les années 1960. On y extrayait du grès et du calcaire, très présents dans toute la région de la Calestienne. Ces matériaux ont servi pour construire des maisons en moellons mais ont également servi de gravier pour construire des routes.
Il y subsiste des vestiges industriels.
L’itinéraire poursuit son cours par le bois pour réaboutir à Hotton par le sud-ouest et la N86 Hotton-Marche.
Une plaine de jeux le long de l’Ourthe.
Une table de pique-nique proche du dolmen nord de Wéris, située juste de l’autre côté de la route.
Cette piscine tropicale couverte, dont l’eau avoisine les 30°, est agrémentée d’un sauna et d’un jacuzzi.
Une table de pique-nique au rond-point de la Rue Haute, près de la petite voiture du tram de l’ancienne ligne vicinale.
Moulin à eau et à farine (1927) possédant une roue en fer et une autre en bois. Bâtiment en moellons de calcaire sous haute bâtière d’ardoises à coyaux.
Une table de pique-nique au pied du rocher de Renissart, le long de l’Ourthe.
Cette randonnée est vraiment typique de l’Ardenne profonde, même si le tracé se situe encore relativement au nord.
Mais tous les ingrédients sont réunis : de vastes forêts comme le Bois de Bernardfagne, le Bois du Pouhon (côté Ferrières), le Bois des Fagnes après Paradis puis les Bois de la Sûreté, de Plein Fays et de Mambaye (côté Spa).
Les ruisseaux et rivières aussi : la Lembrée à Ferrières, le Ruisseau du Pouhon à la Chapelle Sainte-Anne, la Lienne et l’Amblève à Targnon et le Wayai à Spa.
Et enfin, les villages et hameaux entourés de tous ces bois : Rouge-Minière, La Levée, Pouhon, Paradis, Lorcé, Targnon, Monthouet...
Comme vous l’aurez compris, il y en a pour tous les goûts au cours de cette rando mais il faudra être un brin sportif : outre la longueur (30 km), le dénivellé joue un peu les montagnes russes, surtout après l’Amblève qui a tout de même bien creusé !
Le Pont des Soupirs d’Erezée n’est certes pas aussi touristique que celui de Venise mais Erezée possède le sien, avec un charme bien différent mais aussi présent !
Il n’est peut-être pas aussi romantique que celui de Venise mais enjambant l’Estinale, un sous affluent de l’Aisne, il nous emmène dans un très beau coin typiquement ardennais, vers le village de Clerheid situé à l’orée d’une grande forêt : le Bois du Pays.
Autour de ce village, on peut découvrir de magnifiques paysages !
La balade reprend ensuite le cap d’Erezée. On descend dans la vallée de l’Estinale avant de gravir le dernier croupet qui mène à notre point de départ, perché sur les hauteurs du petit affluent de l’Aisne.
Une plaine de jeux dans le vaste parc arboré du domaine.
Aire de pique-nique installée le long de la Route des Minières.
Cette plaine jouxte le parc communal et les bureaux de l'administration communale
Une table de pique-nique sous les tilleuls, en sortie du village.
Une grande plaine de jeux en entrée libre, avec un toboggan-tuyau géant ainsi que de nombreux autres modules.
Une aire de barbecue assez vaste avec plusieurs tables de pique-nique le long du Ruisseau de l’Ai-l’Oiseau.
L’érosion occasionnée par ces deux rivières, dans une région où le calcaire est très présent, appelée dans son ensemble la Calestienne, laisse parfois quelques belles découvertes, comme cette grotte située non loin de Bomal, point de ralliement de cette balade.
Après cette grotte proche de l’Aisne, confluent qui termine son parcours à Bomal dans l’Ourthe, on remonte vers le village d’Ozo, où un menhir parmi toute une ligne d’autres vestiges préhistoriques dans la région (essentiellement celle de Wéris), témoigne de la présence humaine au néolithique, lorsque les hommes commencèrent à devenir plus sédentaires.
Il est à présent temps de redescendre vers le point de départ, en direction de l’Ourthe, sans oublier la Chapelle Saint-Rahi sur le passage de cet itinéraire, qui se termine après 9 km.
Depuis cet endroit très touristique qui comporte le Syndicat d’initiative, le départ du tramway touristique de l’Aisne et une grande plaine de jeux avec des tables de pique-nique dont certaines sous abri, cette balade vous emmène à la découverte d’un petit arboretum aux espèces locales, d’une glacière d’une ancienne laiterie datant du début du 20è siècle ainsi que d’un moulin datant du 14è siècle.
Le retour se fait par le Ravel qui relie Erezée à Hotton.
Depuis la célèbre et pittoresque plus petite ville du monde, le but de cette balade est de flâner le long de l’Ourthe sur le Ravel en direction de Barvaux, puis de remonter via le village de Bohon, sur les hauteurs de la petite ville afin de pouvoir l’admirer d’en haut et enfin d’y redescendre pour explorer ses belles ruelles pavées.
Au passage, ne manquez pas d’admirer l’Anticlinal de Durbuy (ou Rocher d’Omalius), un rocher qui d’un point de vue géologique est assez exceptionnel, celui-ci ayant la particularité d’être en forme de U inversé, grâce à une sédimentation marine qui s’est faite progressivement au gré de la dérive des continents, et datant d’environ 300 millions d’années.
Ce musée est établi dans un hôtel de maître datant du début du 20è siècle.
Il possède une collection de plus de 1000 jouets datant de la fin du 19è aux années 50.
Ce château étale d’imposantes ruines, témoignage de l’architecture médiévale militaire, comportant de nombreux vestiges d’époque.
Cette balade vous propose de découvrir la très paisible région située entre Ferrières et Harre. Le mix est équilibré entre le bois, les prés, les vergers et les zones habitées. Plus précisément, ces dernières tournent essentiellement autour de Burnontige (photo : Chapelle Sainte-Barbe) qui étale ses petites ruelles jusqu’à la lisière des agréables bois environnants.
Plusieurs tables de pique-nique accessibles dans le domaine du château de Villers-Sainte-Gertrude.
Dans la toujours aussi sereine région de Ferrières mais cette fois au nord de la N66 qui relie Trois-Ponts à Hamoir, cette balade vous propose de faire le tour d’un beau massif forestier, dans lequel se cache un château datant du 18è siècle : le Bois de Bernardfagne.
L’itinéraire n’est pas que boisé puisqu’il se déroule en grande partie le long de l’orée de ce bois. Ceci laisse place à de nombreux moments à des paysages à la fois ouverts mais feutrés. Il passe également à travers de beaux hameaux et villages comme La Rouge Minière, point de départ près de la chapelle de la Vierge des Pauvres, puis Saint-Roch avec son école sertie au milieu de la forêt.
On déborde également un peu sur la commune d’Aywaille avec le hameau de La Levée, suivi du village d’Ernonheid.
On traverse alors la forêt pour partir à la découverte du Château de Grimonster, avant de rejoindre notre point de départ, après une boucle relativement vallonnée de 9 km.
Il s’agit d’un centre d’interprétation de la rivière, de découverte et sensibilisation aux milieux aquatiques.
Cette aire de barbecue couverte du Syndicat d’Initiative de Harzé est utilisable SUR RÉSERVATION.
Il est nécessaire d’aller chercher et de ramener les grilles.
Une caution peut être demandée pour leur prêt.
Il s’agit d’un centre de vacances du Commissariat général au Tourisme.
Il est construit en moellons de grès et calcaire par Gilles Bouvet, seigneur de Villers, décédé en 1623.
Une jolie trotte majoritairement forestière qui vous mène à une croix de carrefour forestier, suivi du passage dans la partie ouverte du parc forestier Chlorophylle.
Puis l’on revient vers le Bois de Tave avant de redescendre sur Amonines.
Ce barbecue sous abri, dans le cadre de beaux aménagements, se situe à l’écart du village sur la très conviviale Place du Ri de Loon.
Cette balade est l’occasion de découvrir un magnifique panorama sur la région d’Ourthe-Amblève, qui s’étend jusqu’au CHU du Sart Tilman.
Lors de l’itinéraire, une belle table d’orientation explicite les lieux visibles. En contrebas, une table de pique-nique vous attend pour vous ravitailler.
Ensuite, on remonte dans le Bois Mahousseux, un massif forestier assez calme qui augure un peu la profonde Ardenne puisqu’au-delà, vers le sud, on aboutit déjà dans la région de Ferrières.
Mais nous n’irons pas si loin : à hauteur de la Croix Saint-Christophe, on prend à nouveau le cap sud-est/nord-est pour rejoindre notre point de départ, près d’un mémorial américain : le Monument américain du Pouhon.
Promenade dans une ambiance rurale aux confins méridionaux de la commune d’Aywaille, elle débute à la chapelle Sainte-Anne, petit sanctuaire caché dans les bois au sud du massif du Mahousseux.
On gagne ensuite les essarts qui s’ouvrent en direction d’Ernonheid. Là, on y rencontre les hameaux de La Levée et de Faweux, avec son château-ferme où règne le calme de la campagne aqualienne.
Bref, une promenade bien reposante, qui s’articule autour du Ruisseau du Pouhon.
Le Rocher de la Cathédrale, le Rocher de Nandouire, la Vau aux Corneilles... Voilà tous noms qui en disent long sur la pente très abrupte qui sépare les hauteurs de Sy et l’Ourthe.
Mais rassurez-vous, il ne s’agit pas d’escalade, quoique bien des sportifs de la pratique viennent s’y essayer ici, mais bien d’une balade sur les balcons surplombants ces rochers, qui offrent bien entendu de somptueux panoramas sur la rivière.
Attention toutefois de bien rester sur les sentiers. Si ces derniers sont sans aucun danger, la falaise reste proche et parfois très abrupte.
Une fois quitté la zone, l’itinéraire se dirige vers la Croix du Curé. Impressionnante avec son crâne gravé et son histoire liée, surtout dans un bois où règne une certaine pénombre.
Ensuite le paysage s’ouvre l’espace d’un moment pour découvrir le beau Château de Lassus un peu en amont de Hamoir.
Puis il revient au point de départ en longeant l’Ourthe, cette fois en contrebas de nouvelles crêtes rocheuses. On en a décidément plein la vue, à Sy ! Si ! Si !
Une table de pique-nique attenante à la chapelle principale du hameau, dans un petit parc aménagé avec quelques bancs. Endroit calme.
Une zone de barbecue avec des tables de pique-nique.
Pour les nostalgiques des anciennes photos de villages, qui déplorent la détérioration progressive de leur charme par une certaine forme de modernité, venez vite ici à Ferrières ! Ce village a su garder en de nombreux endroits un caractère particulièrement authentique, bien aidé par sa position à l’écart de la voie principale située à un kilomètre de la petite place arborée.
Il est rare de trouver autant de ruelles avec des maisons qui recèlent un tel caractère. Les habitants, par leurs aménagements, parfois dans certains détails, démontrent leur attachement à leur village si charmant.
Pour encore y ajouter, un nombre de sentiers pittoresques plus élevés que la moyenne, soit à travers champs, soit entre deux haies, soit encore constitués de petits escaliers, jalonnent les environs campagnards du village. De surcroît, ils sont rehaussés par une multitude d’anciens petits panneaux toponymiques, que l’on aimerait voir fleurir partout ailleurs, tant cela donne de la convivialité lorsque l’on s’y promène.
La variété des paysages y est pour beaucoup : de champs en bosquets, de prés en forêt, le tout se déroule dans des petits endroits arborés où serpentent ces chemins et sentiers.
Ici, on va prendre un peu de hauteur afin d’admirer le village d’en-haut : le Nokar. Un point de vue y cotoie une zone de barbecue.
On revient alors vers le village en passant par les hameaux de Ferrières aux connotations elles aussi bien pittoresques : Le Houpet, Lognoul et la Fontaine. Toujours parmi les maisons disséminées dans la campagne et les bosquets qui les entourent.
Un petit cinéma à l'ancienne à l'ambiance chaleureuse.
Voici une balade riche en éléments tant naturels que culturels mais pas forcément facile car les reliefs autour de l’Ourthe et de son confluent, la Lembrée, sont relativement bien marqués.
C’est souvent synonyme de beaux panoramas et rien que pour cela, moyennement un brin de sportivité dans les côtes, elle en vaut certainement la peine.
D’autant qu’elle démarre au très attractif Domaine de Palogne, qui offre pas mal d’infrastructures touristiques et qui justifie une journée entière si l’on souhaite s’adonner aux activités qu’il propose : brasserie, kayak, mini-golf, sans oublier bien entendu le Château-fort de Logne, l’objet principal de cette balade !
Après l’avoir rejoint après un petit kilomètre, on se dirige vers le village de Vieuxville par la rive gauche de la Lembrée, que l’on traverse à Vieuxville.
Ensuite, retour au point de départ par une zone assez boisée, cette fois sur les hauteurs de la rive droite de la Lembrée.
Cette balade permet de prendre un peu de hauteur pour admirer une très belle vue panoramique de la ville.
Elle redescend par le Bois de Chapli, traverse la route en provenance de Petithan. Elle passe ensuite en rive gauche de l’Ourthe puis la longe par le Jardin des Topiaires pour revenir vers le centre, après avoir traversé le Pont de Durbuy.
Drôle de toponyme, qui identifie en fait une partie du bois qui se situe au nord du hameau de Hoursinne.
On retrouve la racine "chera" dans bien d’autres toponymes de la région et notamment dans Cheratte. En wallon, on dit "tchèrå" et cela signifie une voie charretière.
Dans notre cas, il s’agit d’un massif boisé typiquement ardennais dans une région feutrée, entre Deux Rys et Hoursinne.
Un itinéraire pas bien long et raisonnablement déclive tournant autour de Deux Rys, dans la partie est du village, à la confluence des ruisseaux l’Ai-l’Oiseau et du Ruisseau del Heid.
2 tables de pique-nique situées dans un parking un peu plus au sud que le Hotton War Cemetery.
Une table de pique-nique au cœur du petit village.