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Fort d’Eben-Emael

Fort d’Eben-Emael
© CC BY-SA 4.0 Jean Housen
culture
fort

Ce fort construit entre 1932 et 1935 dans le cadre de la ceinture fortifiée de Liège, pourtant réputé imprenable, a été pris par les Allemands le 11 mai 1940, par des planeurs et des parachutistes.

Le plan de ce fort, qui surplombe de 65 m le Canal Albert, forme un pentagone irrégulier d’une surface de 0,75 km². Il s’agissait du plus grand fort jamais construit à son époque.

Préhistoire : avant -3000 (premières écritures)
Antiquité : -3000 à 476 (chute de l'empire romain d'occident)
Moyen-Age : 476 à 1453 (chute de l'empire romain d'orient)
Temps modernes : 1453 à 1789 (Révolution française)
Epoque contemporaine : 1789 à 1945 (Fin de la seconde guerre mondiale)
Histoire récente : 1945 à nos jours
1888

Le général Brialmont, concepteurs des fortifications destinées à défendre la Belgique contre une invasion française ou allemande, réclame la construction d’un fort entre Visé et Maastricht pour bloquer un éventuel envahisseur.

1914

En l’absence de fortification, l’armée du Kaiser franchit la Meuse et pénètre en Belgique, en application du plan von Schlieffen modifié par von Moltke (plan dit de la « porte à tambour »).

1932

Pour réparer l’erreur de ne pas avoir protégé cette zone, la construction du fort d’Ében-Émael est entreprise pour un coût de 24 millions BEF de l’époque.

9
oct
1939

L’attaque du fort est décidée et mise au point par Hitler lui-même.

mai
1940

Durant les premières 36 heures de combat, 21 Belges sont tués. Les Allemands qui assiègent le fort perdent quant à eux 6 hommes.

localisation

adresse
Rue du Fort
coord.
N 50.7978 E 5.67967

liens

Wikipedia
Au pays du calcaire et de ses innombrables concrétions

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Tongeren
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© CC BY-SA 4.0 Mini-Ardenne

Ce bloc du côté ouest du fort fait partie d’un ensemble de 8, muni de canons anti-chars de 60 mm, de mitrailleuses, de projecteurs ainsi que d’une petite cloche d’observation.


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© CC BY-SA 4.0 Mini-Ardenne

Ces bunkers de mitrailleuses servaient à défendre la superstructure.


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Tout comme le bloc Mi Nord, il sert à la défense de la superstructure du fort.


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© CC BY-SA 4.0 Mini-Ardenne

Cette casemate située au nord était munie de 3 canons de 75 mm.


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Cette casemate est armée de 3 canons de 75 mm, tout comme celle de Visé II et celle de Maastricht.


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© CC BY-SA 4.0 Mini-Ardenne

Il s’agit d’un bloc d’artillerie avec une coupole armée de 2 canons de 75mm.
Il est équipé d’une porte prévue pour envoyer des patrouilles mais elle constitue un point faible dont profiteront les Allemands.


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© CC BY-SA 4.0 Mini-Ardenne

Ce bloc situé à l’extérieur du fort d’Eben Emael lui est relié par un souterrain. Il était équipé de projecteurs et de canons 60 mm.


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La balade à proximité

1
balade
© CC BY-SA 4.0 Mini-Ardenne
Escapade hors Ardenne
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informations
durée
2 h 10
km
7.8
distance
très dure
très dure
157
dénivelé positif
157
dénivelé négatif
accessibilité
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© CC BY-SA 4.0 Mini-Ardenne

Ce petit parc situé à l’est du village a été réaménagé en profondeur par le Service des travaux de Bassenge. Il contient un étang creusé en 1993, alimenté par la fontaine de la Guizette toute proche. Le Geer longe le site à l’est.


© CC BY-SA 4.0 Mini-Ardenne

Ce bloc du côté ouest du fort fait partie d’un ensemble de 8, muni de canons anti-chars de 60 mm, de mitrailleuses, de projecteurs ainsi que d’une petite cloche d’observation.


© CC BY-SA 4.0 Mini-Ardenne

Ces bunkers de mitrailleuses servaient à défendre la superstructure.


Tout comme le bloc Mi Nord, il sert à la défense de la superstructure du fort.


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Une vaste carrière de marne au sud-est du village d’Emael, aux abords de la Montagne Saint-Pierre.


© CC BY-SA 4.0 Mini-Ardenne

Cette casemate située au nord était munie de 3 canons de 75 mm.


Cette casemate est armée de 3 canons de 75 mm, tout comme celle de Visé II et celle de Maastricht.


© CC BY-SA 4.0 Mini-Ardenne

Il s’agit d’un bloc d’artillerie avec une coupole armée de 2 canons de 75mm.
Il est équipé d’une porte prévue pour envoyer des patrouilles mais elle constitue un point faible dont profiteront les Allemands.


© CC BY-SA 4.0 Mini-Ardenne

Une ancienne croix en fer forgé sur un socle en pierre gravé.


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Il s’agit d’une église de style néo-roman caractérisée par ses quatre tourelles aux angles de la tour.


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Cette fontaine alimente l’étang de la Guizette. Le trop plein est évacué dans le Geer qui longe le biotope de la Guizette.


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Cette colline escarpée façonnée par la Meuse et le Geer, limite entre Hesbaye et Pays de Herve, est caractérisée essentiellement par son sol calcaire, engendrant toutes sortes de phénomènes naturels exploités par l’homme depuis très longtemps.


© CC BY-SA 4.0 Mini-Ardenne

Ce monument est dédié aux morts des deux guerres. Il est doté de noms sur chacune de ses faces et de plusieurs plaques commémoratives.


© CC BY-SA 4.0 Mini-Ardenne

Ce bloc situé à l’extérieur du fort d’Eben Emael lui est relié par un souterrain. Il était équipé de projecteurs et de canons 60 mm.


© CC BY-SA 4.0 Mini-Ardenne

Une vue spectaculaire sur la Meuse, le Canal Albert et l’écluse de Petit-Lanaye, ainsi que sur toute la région située à l’est du sillon.


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Les premiers puits verticaux ont été creusés par l’homme dès le néolithique, entre -4500 et -1800 afin de retrouver une pierre qui leur était précieuse : le silex.


© CC BY-SA 4.0 Mini-Ardenne

Cette réserve naturelle, qui fait partie de la Montagne Saint-Pierre, a été créée en 1973. Il s’agit du plus ancien site protégé de cette zone de Meuse. Une dizaine d’autres ont été créées par la suite.


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© CC BY-SA 4.0 Mini-Ardenne

Cette réserve naturelle située au pied de la Montagne Saint-Pierre a été créée au début des années 1990. Elle s’étend sur une dizaine d’hectares. Elle s’est formée suite aux vases lors du dragage du Canal Albert.


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© CC BY-SA 4.0 Mini-Ardenne

Cette plaque apposée sur une pierre est dédiée à la mémoire de Jean-Marie Léonard, né en 1964 et décédé en 2016. Il a contribué à l’érection en réserves naturelles et sites protégés, de plusieurs zones autour de la Montagne Saint-Pierre.


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Il s’agit de très anciennes silexières protégées en site Natagora. Pas moins de 13 entrées de grottes se succèdent le long du sentier. Elles ne sont pas profondes et longent le coteau. La craie y a aussi été exploitée.


© CC BY-SA 4.0 Mini-Ardenne

Une petite silexière dont l’entrée connaît quelques problèmes de stabilité. Un renfort a dû être ajouté sur une montée de voûte.


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Emael

Bassenge