Existant déjà au 15è et reconstruite en 1712 ainsi que l'atteste I'inscription: " lESUS
MARIA / JOSEPH / REAEDIFICATUM / ANNO 1712" replacée sur le nouveau portail
d'accès entre deux dalles armoriées Schuyl de Walhorn et Bergh de Trips, vaste chapelle orientée, en moellons de grès, agrandie vers l'ouest en 1729. Apports néo-romans entre 1867 et 1882, parmi lesquels le portail d'entrée Nord actuel. Clocheton sur le chœur.
Édifice mono nef au chevet à trois pans chaînés d'angle. Deux travées jadis sans
doute, trois aujourd'hui, marquées de fenêtres cintrées aux montants harpés. A gauche en face sud, excroissance de 1729, ouvrant, vers la vallée, une grande fenêtre Sud calcaire, harpée et cintrée. Au centre, appentis tardif masquani l'ancienne entrée.
A droite, la sacristie.
A l'entrée encore, une seconde inscription, répartie sur les deux dalles armoriées, porte :
"ANNO 1599, ANTIQUUM / RENOVATUM ET DILATATUM EST. ANNO 1712- 29".
Source : Patrimoine Monumental de Belgique
Cet édifice néo-gothique, en briques et calcaire, construit sur les plans de I’architecte H. Kinon, a été consacré en 1862.
Cette église protestante en briques pleines et toit en zinc a été bâtie en 1857.
La statue de la Vierge de cette église est liée à un miracle.
La légende est relatée dans la chapelle à l’intérieur de l’église.
Cet édifice néo-gothique a été bâti en 1855-1863 sur les plans de I’architecte V. Statz de Cologne, puis de G.A. Blanchard. La tour date de 1869.
Cette chapelle de l’ermitage en briques et calcaire sur soubassement d’éternit date de 1644. Elle a été reconstruite en 1789 pour devenir paroissiale en 1842.
La maison vicariale dans son prolongement à droite.
Cette église de style baroque à 3 nefs a été construite entre 1618 et 1621 à l’initiative du curé Bernard de Harzé, l’ancienne église étant devenue trop exiguë.
Cette édifice de style gothique entièrement resablé date du 15è siècle.
On trouve à l’intérieur du mobilier, des statues et des toiles datant du 16è et 17è ainsi qu’une crypte exceptionnelle.
Cette église en grès et pierre calcaire avec une nef à 3 travées est dotée d’une tour occidentale romane. Le transept de style gothique date de 1630.
Cet édifice néo-classique, en briques et calcaire, fut construit en 1837 sur les plans de I’architecte liégeois J.-N. Chevron (1790-1867), à l’emplacement d’une chapelle de 1676.
Cet édifice de style néo-gothique en briques (1886-1888) a été construit à la place d’un ancien château appartenant aux Groulard. Les orgues sont classées et des objets de cultes y sont exposés.
Cette église paroissiale de style gothique date de 1910, bâtie sur les plans de l’architecte Emile Deshayes originaire de Charneux-Herve.
Haut de 64 m, son clocher est visible de tous les recoins du
Cet édifice de style gothique en moellons de grès et calcaire, est surmonté d’un clocher hélicoïdal caractéristique. La légende veut que celui-ci ait été tordu par le diable en colère.
Eglise protestante dont les orgues sont classées.
Une église en moellons de calcaire et de grès, dont la tour se singularise par sa tour recouverte d’une toiture à bulbe. Elle est située à 245 m d’altitude.
Elle possède des orgues classées.
Une église avec une tour carrée et fortifiée. Le bas-relief (surmontant le portail) de 50/70 cm porte le blason de Herman de Ghoor et Françoise Rivière, seigneurs d’Andrimont de 1594 à 1616.
Cette église comporte une flèche torse d’une hauteur de 20 m. Elle est assise sur une tour carrée en moellons de grès, aux angles tronqués avec des chaînes calcaires.
Cet édifice au clocher tors fut construit vers 1545 sur une tour du 12è siècle.
Eglise datant de 1842.
Eglise de style dorique construite de 1834 à 1838 en remplacement de l'ancienne église qui se trouvait Place du Marché derrière l'Hôtel de Ville.
Eglise primaire de la cité où sont célébrées les mani
Cet édifice en briques rouges datant de 1854 abrite des orgues classées.
La Chorale Saint-Roch y entonne de beaux chants religieux.