Ruines du château érigé en 1268 par Jehan de Rochefort, fils de la maison de Walcourt. Il a été détruit en 1657 par les troupes françaises du Maréchal de la Ferté, sur ordre de Louis XIV.
Il fait aujourd’hui l’objet de fouilles archéologiques et d’importants travaux de mise en valeur.
1268 Jehan de Rochefort, fils de la maison de Walcourt, fait ériger le château.
Par après, d’’autres familles occupent le château : la Marck-Rochefort, la maison de Slolberg et la maison de Löwenstein.
1558
La forteresse est bombardée sur l’instigation du roi de France Henri II.
Elle résiste bien à cette attaque.
1657 Le château est incendié et détruit par les troupes françaises du Maréchal de la Ferté, sur ordre de Louix XIV.
Actuellement Des fouilles archéologiques et d’imortants travaux de mise en valeur sont entrepris grâce au soutien des Amis du château, de la commune et de la Région Wallonne.
Ce château-fort représente le plus ancien vestige de la féodalité en Belgique.
Sa construction est présumée au 8è siècle par Turpin, sous les ordres de Charles Martel.
Cette aire de barbecue est située en rive droite de la Semois. Elle offre 3 tables de pique-nique et un abri. Une zone de baignade se trouve juste à proximité.
Cette table de pique-nique est située en plein cœur de la Forêt de Sainte-Cécile, sur une colline en rive gauche de la Semois, au sud d’Herbeumont et de Conques.
Une zone de baignade bordée d’une pelouse le long de la Semois.
Le lit, canalisé par des murs en schiste, a une profondeur maxi d’1,20 m. Le site est équipé de cabines et de bancs.
Ce viaduc de 45 m de haut a été construit par les Allemands au cours de la 1è guerre mondiale. Il figure aujourd’hui sur un superbe sentier de 7 km de Sainte-Cécile à Muno.
La Semois, qui serpente de plus en plus, dans sa vallée de plus en plus profonde...
La Vierre depuis Saint-Médard, son barrage et sa confluence avec la Semois à Jamoigne. Ensuite, la Semois jusqu’à Herbeumont. Au nord de Florenville, la Forêt des Epioux et de Chiny et au sud, le site du Chameleux et la frontière française.
La Vallée de la Semois de Dohan à la frontière française (Hautes-Rivières) en passant par Bouillon, Cordemois, la Passerelle de l’Epine, le Tombeau du Géant, Poupehan, Frahan, Alle, Mouzaive, Chairière, Laforêt, Vresse, Membre et Bohan