Dans le petit parc arboré situé derrière la chapelle Sainte-Brigitte se trouve ce barbecue avec une table de pique-nique.
Une table de pique-nique près du pavillon de chasse.
Le Gué de Belleheid, c’est un lieu de ralliement très populaire en pleine nature, le long de la Hoëgne.
Outre l’improbable parking accessible en traversant carrément la Hoëgne en voiture et les nombreux itinéraires de balades qui y débutent, c’est aussi l’accueillant chalet où l’on peut se ravitailler en toute décontraction qui vient ajouter au charme souvent effervescent de l’endroit.
" Viens jouer dans l’eau ! "
C’est donc depuis ce lieu très prisé que nous vous proposons une balade autour de la belle et rocailleuse rivière, en provenance directe des Hautes Fagnes.
Comme il existe déjà une balade qui lui est consacrée et qu’il est parfois fastidieux de la suivre au plus près par le sentier un brin scabreux, à cause qu’il est jalonné de souches et de pierres, celle-ci tournera un peu plus autour du pot en y revenant puis en s’en éloignant quelquefois au cours de l’itinéraire. Histoire de découvrir un peu les alentours...
Cette table de pique-nique est située sur le chemin qui relie Mospert (et sa maison forestière) à la Vennkreuz, au sud de Raeren.
En bordure du barrage, ce centre touristique offrant une vue panoramique sur le lac comporte une terrasse de 80 places avec une plaine de jeux.
Point de départ de nombreux parcours cyclistes et pédestres.
Cette table de pique-nique est située juste en bordure du Ravel de la ligne 48 à une centaine de mètres du rond-point.
Ce pique-nique est situé à la fin du chemin du Bois de Rondfahay, côté est, près de la cabane des nûtons, au lieu-dit Vieux Marchés.
Pour celui qui désire découvrir le cœur de la Réserve Naturelle Domaniale des Hautes Fagnes sans s’embarquer dans un périple trop aventureux ou trop long, voici un grand classique qui en met plein les yeux, au sein d’un paysage unique au monde !
Un petit bémol pour ceux qui ont des toutous. Ils sont interdits dans cette zone, même tenus en laisse. Les pauvres n’apprécieraient de toute façon pas les caillebotis, car ils pourraient facilement y mettre la patte et se blesser.
Pour ne pas faire un simple aller-retour de la Baraque Michel au Noir Flohay, cette pinède désolée au milieu des tourbières, la balade décrit comme elle peut de petites boucles internes car les accès sont, en raison de la nécessité de préserver cette nature exceptionnelle, un peu limités. De cette manière, elle donne un bon aperçu de ce tableau idyllique local, sans s’enfoncer vers la suite du cours de la Helle, qui file vers Eupen près de 20 km en contrebas ou vers Monschau, qui se trouve à l’opposé oriental de la réserve.
Pour qui aime se promener sur caillebotis, c’est la portion fagnarde la plus riche en ces sentiers de bois qui surplombent les nombreuses tourbières, ruisseaux et autres pingos.
Voilà une balade qui devrait plaire aux amateurs de fagnes puisque celle-ci traverse plusieurs zones tourbeuses de toute beauté, comme le Nahtsief ou l’Allgemeines Venn.
" Presque 3 kilomètres de tourbières fagnardes ! "
Avec de surcroît une petite incursion en Allemagne, juste derrière la frontière et qui révèle encore l’une ou l’autre curiosité sympa : d’abord la Tour de Palsen avec un très beau panorama puis le Lit de Charlemagne, l’objet de cette balade.
Au retour, on découvrira encore l’Entenpfuhl, l’Etang aux Canards avant de traverser la Brackvenn entre le Nahtsief et Puzen, landes marécageuses à la source du Getzbach, un ruisseau qui s’en va vers le Lac d’Eupen.
Une table de pique-nique au carrefour forestier d’Elsenbruch, au début du chemin menant à l’ancien hameau de Reinartzhof, côté nord.
Musée installé dans le château fort (14è).
On y trouve des collections uniques retraçant l'histoire de la poterie locale, depuis ses origines (15è) jusque 1860 (déclin).
Une table de pique-nique à la sortie ouest du hameau, près d’un étang arboré.
Cette balade se déroule exclusivement en Allemagne entre la jolie et pittoresque ville de Montjoie et le Barrage du Paerlenbach.
On y rencontre les formations rocheuses du Teufelsley et de l’Engelsley, que l’on pourrait traduire par le Rocher de l’Ange et le Rocher du Diable.
Les hauteurs de ces rochers offrent un magnifique panorama sur la région très boisée du Perlenbach.
5 parcours d’accrobranche de difficulté croissante jusqu’à 95 kg max. Prévoir des vêtements souples, des chaussures plates et fermées, un élastique pour les cheveux longs, des gants. Pas de pull à capuche.
Cette table de pique-nique est située à l’est du lac d’Eupen, près de l’endroit où la Vesdre, qui n’est encore qu’un ruisseau, va former le lac.
Comme pédaler sur des rails nécessite un effort physique certain, malgré qu’il s’agisse sans conteste d’une activité familiale fantastique, nous vous proposons cette petite balade d’entrainement juste à côté de la station, à l’ancienne gare de Kalterherberg sur la Vennbahn !
La Vennbahn, administrée par la Belgique malgré qu’elle fait une incursion en territoire allemand, a créé plusieurs enclaves allemandes du point de vue des tracés frontaliers.
Cette balade commence par visiter l’une d’entre elles avec le hameau de Ruitzhof.
Puis, retour en Belgique derrière cette enclave dans une forêt très vaste, attenante au plateau des Hautes Fagnes : le Stellerholz.
On monte ensuite à une altitude de 665 m à la rencontre du Pannensterzkopf, une colline située sur les hauteurs septentrionales du Schwarzbach, un affluent fagnard de la Rur.
On redescend ensuite vers ce dernier, pour atteindre le hameau de Küchelscheid, faisant partie de la commune de Bütgenbach, situé à ses confins nord, à l’extrême est de la Belgique.
Une fois traversé le hameau, on rejoint le point de départ juste derrière celui-ci.
Cette maison typique de la fin du 17è siècle relate la vie populaire, folklorique, ethnologique.
On y trouve également une reconstitution d’un intérieur de "petites gens" à l’époque de la révolution française.
Une aire de pique-nique située près du pavillon forestier de Seveneiken. Ce dernier date de la fin du 18è siècle.
Cette petite promenade est purement familiale et vous emmène, depuis la Baraque Michel, aux sources de la Hoëgne (appelée Polleur ou Poleûr, jusqu’à sa confluence avec le Ruisseau d’Herbôfaye) dans une tourbière aménagée avec des caillebotis et des panneaux didactiques.
Le choix du point de départ à Jalhay vous permet de découvrir la superbe vallée de la Hoëgne, dans sa plus belle portion, sans avoir besoin nécessairement d’utiliser deux voitures.
En effet, un bus direct (la ligne 390 Verviers – Rocherath) relie la Baraque Michel à Jalhay en à peine une dizaine de minutes.
La première partie consiste à rejoindre le fond de la vallée de la Hoëgne au niveau du Trou Colas, là où elle commence à devenir très pittoresque.
Une fois dans la vallée, nous allons la suivre au plus près d’abord en direction du Moulin Gohy puis de Royompré.
On s’enfonce alors dans une zone particulièrement boisée entre le Bois Roslin et la Forêt Domaniale de Gospinal avant d’arriver au bien connu Gué de Belleheid, point de rendez-vous et de ravitaillement qui vient à point au cours de cette rando.
Ensuite le long de sentiers qui suivent la rivière de très près, on s’enfonce dans le Bois de la Hoëgne, entre souches et rochers et l’on la traverse maintes fois par des passerelles en bois. On arrive alors à la Passerelle du Centenaire.
A cet endroit, la Hoëgne décrit une bifurcation nette vers le nord-est, où l’on va s’enfoncer dans un milieu de plus en plus fagnard : les Mousseux.
On reprend alors le cap nord pour rejoindre la Vêcquée, pour passer devant la célèbre Croix des Fiancés. Il reste alors moins de deux kilomètres avant de rejoindre le point de destination : la Baraque Michel.
Ce circuit pour sports moteurs d’une longueur de 6,968 km est souvent considéré comme le plus beau circuit du monde.
Oui c’est vrai, le mot gorge est peut-être exagéré, nous en convenons !
Mais depuis le haut plateau fagnard où ils prennent leur source, les ruisseaux tels que le Bayehon ou le Pouhon ont creusé leur sillon de manière assez abrupte, de sorte que lorsque l’on les parcourt, on se sent assez engoncé entre ces versants plus raides qu’à l’accoutumé.
Et c’est ce qui fait tout leur charme ! Car le fond de ces vallées est pour le moins pittoresque avec ces ruisseaux au cours vif, ces ponceaux de bois qui jalonnent leur parcours, ces bois qui recouvrent entièrement leurs versants.
La Warche dans laquelle ils se jettent en aval du Barrage de Robertville a d’aileurs jusqu’à Bévercé un peu la même configuration. Ce qui renforce d’ailleurs le cachet du Château de Reinhardstein, perché sur un éperon rocheux. Mais celui-ci fait l’objet d’une autre balade.
La Warche, on s’y dirige depuis Longfaye au cœur de la vallée du Bayehon, connu pour sa cascade. Cette dernière se trouve en amont de cet itinéraire et fait elle aussi l’objet d’une autre balade. Ici, nous allons plutôt découvrir le Bayehon vers sa confluence avec le Pouhon, dans le Bois "Le Cheneux".
C’est environ 500 m en aval de cette confluence que le cours d’eau atteint la Warche mais nous n’irons pas jusque là. En effet, une fois atteint la confluence Bayehon/Pouhon, l’itinéraire remonte le cours de ce dernier pour rejoindre la Route de Hargister, entre Xhoffraix et Longfaye.
On la traverse alors pour rejoindre le point de départ à Longfaye, par l’ouest du village.
Les amateurs des fagnes ont généralement l’habitude de se cantonner à l’ouest du vaste camp militaire d’Elsenborn.
Mais en deçà de celui-ci, du côté oriental, il subsiste un bout de Belgique qui recèle encore quelques curiosités fagnardes intéressantes, aux confins de Rocherath.
Parmi celles-ci, il y a notamment le Weisser Stein qui est le second sommet en altitude de Belgique, à une encâblure de la hauteur du Signal de Botrange.
Puis, il y a encore le Rocher de Bieley, majestueux, mais dont l’accessibilité est limitée en raison de la proximité avec le camp : il vaut mieux s’assurer en téléphonant au syndicat d’initiative qu’il ne s’agit pas d’une journée de tir à ballles.
Ce dernier est situé le long d’une rivière fagnarde méconnue : la Schwalm.
Mais dans le cas de cette balade, point question de danger de tir à balle car cette rivière poursuit son cours vers le nord à travers bois et passe la frontière allemande au sud-est de Kalterherberg.
Puis la rivière est retenue par un barrage un peu à l’ouest et en contrebas de Höfen, un patelin allemand situé au sud de Montjoie, pas tellement loin de sa confluence avec la Rur dans cette même ville.
C’est le tour du lac de retenue que nous vous proposons de parcourir ici, en venant flirter à l’ouest du barrage avec les prés de Kalterherberg, avant de redescendre vers le lac, puis de remonter au parking situé à Höfen.
Une table de pique-nique en plein bois, dans les profondeurs du Val de Warche.
Une aire de pique-nique avec trois tables au sommet de la côte de la Grotte Notre-Dame de Lourdes.
Un abri avec deux tables de pique-nique le long de la Rur, en rive gauche.
Une table de pique-nique située en retrait sur les hauteurs sud du cours de la Poleûr.
Une table de pique-nique à l’entrée de la forêt, non loin de la N68 Eupen - Malmedy.
Plus de 1000 pièces sur les animaux sont exposées dans une salle de 200 m². On y découvre par exemple la reconstitution de grottes aux ours et aux loups, un essaim d’abeilles vivantes, un espace africain, un rallye pour les petits, etc.
Une table de pique-nique située près du pont sur le Steinbach (au nord de Reinartzhof, entre ce dernier et Schwerzfeld), sous-affluent de la Vesdre, via l’Eschbach. Il prend sa source dans l’Imgenbroicher Venn.
Cet abri en bois situé sur le chemin de Herbiester au Lac de la Gileppe comporte 2 tables de pique-nique.
Il est situé à une altitude de 345 m.
Une plaine de jeux située entre la Route de Hottleux et la Route des Aminces.
Ce gué situé au fin fond du hameau de Royompré est vraiment très attirant. Avec sa large assise en dur, il permet aux enfants de traverser la Hoëgne a vélo en projetant de magnifiques jets d’eau !
De plus, c’est le point de départ de nombreuses balades vers les grands bois environnants et notamment vers le Plateau des Hautes Fagnes.
C’est justement l’une d’entre elles que nous vous proposons ici.
La Forêt Domaniale de Gospinal se prolonge vers l’est presque jusqu’aux tourbières du Haut Plateau et de la Grande Fange, près de la Baraque Michel.
Mais nous n’irons pas jusque là, loin s’en faut ! Nous bifurquerons bien avant vers le Ruisseau de Dison et remonterons jusqu’à Charneux, un charmant et paisible village en cul-de-sac aux confins sud de Jalhay.
Ensuite, il n’y a plus qu’à se laisser redescendre dans la vallée de la Hoëgne par le Bois du Moulin pour atteindre le point de départ au cours d’une belle boucle d’environ 6 km.
Une table de pique-nique couverte à un carrefour de chemins forestiers.
Cette balade démarre d’un petit patelin allemand situé juste derrière la frontière belge.
Pour maintenir une distance raisonnable pour une balade familiale (un peu plus de 8 km), le petit problème qui se pose dans cette région à l’écart des grands axes, du fait de la grandeur du massif forestier (L’Hertogenwald Oriental), c’est de pouvoir garer sa voiture au plus proche de l’objet de cette visite : le hameau abandonné de Reinartzhof. Et le dernier lieu accessible pour se garer au plus proche, c’est Schwerzfeld.
Pour ceux qui viennent d’Eupen, ce n’est pas si compliqué, malgré qu’il reste une trentaine de kilomètres à parcourir en auto : il suffit de se diriger vers Montjoie. Mais au lieu de descendre dans la belle petite ville allemande, il faut bifurquer à gauche après une grande épingle de la L214, environ 2 km après avoir traversé le village de Mützenich. Après quelques zigzags, l’itinéraire devient plus rectiligne et traverse les villages de Imgenbroich, Konzen. Puis on repasse en Belgique dans une zone très boisée. 3 km plus loin, c’est à nouveau la frontière allemande ; on arrive au Fringhaus. Là, on se dirige à gauche vers Roetgen et il reste un peu plus de 5 km pour atteindre enfin ce fameux point de départ. Avant de traverser le cœur de Roetgen, on prend la Schwerzfelder Straße à gauche peu après l’ancien passage à niveau pour atteindre ce petit coin blotti entre Belgique et Allemagne.
Dans un cadre d’une forêt très profonde, l’Hertogenwald Orientale, le but de cette balade est de découvrir ce hameau datant vraisemblablement du 12è siècle, dont le refuge pour les nombreux pèlerins médiévaux, était tenu par un ermite : un lieu chargé d’histoire !
La Statte est un ruisseau fagnard qui prend sa source du côté du Haut Plateau, dans la Haie Henquinet, une tourbière contiguë à la Grande Fange, dans la zone de la Baraque Michel.
Mis à part le Grand Pierrier de la Statte qui fait l’objet d’une autre balade, son cours devient vraiment pittoresque à partir de son croisement avec la route forestière des Biolètes Fagnes, qui relie le sud de Solwaster au Gayetai.
Ce croisement est situé tout près du lieu-dit Vieux Marchés.
A partir de cet endroit, un sentier longe le ruisseau, passant d’une rive à l’autre par des passerelles en bois, qui donnent tout le charme à l’itinéraire.
Pour l’atteindre à partir de l’endroit accessible en voiture le plus proche et pour garder une distance globale raisonnable, il s’agit de la lisière du bois En Hoûssé, théâtre du Dolmen de Solwaster, au sud du village.
Il faut alors parcourir un peu plus de 2 km sur un terrain asphalté en léger faux plat, mais paisible, facile et à l’abri de la circulation.
" Ben ils sont où ces nutons ?? "
Puis arrive la récompense de cette belle descente de la Statte, certes sur un sentier un peu plus chaotique (roches, souches...), avec la rencontre de la Cascade des Nûtons et un kilomètre en aval, le Rocher de Bilisse.
L’itinéraire quitte alors le cours de la Statte pour rejoindre le point de départ par le bois En Hoûssé, évoqué plus haut.
Cette ancienne forteresse médiévale a été construite par Reinhard de Waimes en 1354 sur un éperon rocheux où se sont succédées d’illustres familles.
Une table de pique-nique située dans le parc, non loin de l’orée du bois Les Aisances d’Arimont.
Le Lac d’Eupen, grande réserve d’eau potable de la région verviétoise est formé par le grand barrage de retenue situé au Langesthal à l’est d’Eupen.
Outre la Vesdre, les affluents qui l’alimentent proviennent de la très grande Hertogenwald dans sa partie orientale, qui s’étend jusqu’à la frontière allemande. Ce massif boisé s’étend d’ailleurs vers le nord-est bien au-delà de la frontière sous l’appelation Hurtgenwald, pratiquement jusqu’à Düren, entre Aix-la-Chapelle et Cologne.
Ces affluents sont le Mückensiefen, qui prend sa source à la frontière à Petersgenfeld et la Getz, non loin de Mützenich dans la fagne du Nahtsief.
Mais il ne faut pas oublier la Helle. C’est via un tunnel qu’une partie des eaux de cette rivière fagnarde est récupérée pour alimenter le lac.
Nous, nous nous contenterons d’aller visiter leur embouchure dans le lac, au cours d’un itinéraire très boisé, qui comporte de belles vues sur le plan d’eau (n’oubliez pas votre appareil photo !) et qui compte une douzaine de kilomètres sans dénivellation particulière, si ce n’est l’un ou l’autre croupet.
Cette table de pique-nique est située au croisement du chemin de Ternell à Kalterherberg avec celui en provenance de la Brackvenn près de la frontière allemande et Mützenich.
Une table de pique-nique le long du ruisseau fagnard du Ghaster, non loin de sa source.
Une table de pique-nique au creux de la vallée de la Holzwarche, près d’une ancienne carrière.
Cette balade part à la découverte de la vallée du Ruisseau des Trôs Marets, un ruisseau en provenance directe des Hautes Fagnes, qui prend sa source dans la tourbière du Fraîneu, au sud-ouest de Botrange.
Il s’agit en fait d’un affluent de la Warche qui va se jeter dans celle-ci un peu en amont de Bévercé, au nord de Malmedy.
Mais nous n’irons pas jusqu’à la confluence !
Au niveau du Pouhon des Cuves, nous rejoindrons le village de Mont (Malmedy) traversé par la N68 Eupen - Malmedy.
Après l’avoir traversée, il reste un beau bois à parcourir avant de remonter vers Xhoffraix, notre point de départ.
A cet endroit confluent 2 ruisseaux dans la Helle : le Ruisseau du Petit Bonheur venant du sud-ouest et le Spohrbach en provenance du nord-est.
Ce complexe de 5 salles décentré sur la route des Hautes Fagnes peut accueillir jusqu'à 750 spectateurs.
Le Ruisseau du Bayehon est formé par l’eau de source en provenance des Hautes Fagnes et en particulier de la Fagne du Neûr Lowé, proche du Signal de Botrange.
En coulant en direction de la Warche, elle va accélérer comme un torrent dans une gorge plus étroite, entre des phyllades gris-bleu pour aboutir après une chute de 9 mètres dans une vasque circulaire assez profonde, par flots bruyants.
C’est cette curiosité remarquable, puisqu’il s’agit de la plus haute cascade de Belgique après Coo, que nous vous proposons de visiter à partir du village fagnard de Longfaye, au cours d’un itinéraire facile qui suit majoritairement le ruisseau.
Après cette cascade, l’itinéraire poursuit son cours le long du ruisseau puis revient au point de départ à travers prés par le Chemin de la Bicoque.