Pour les nostalgiques des anciennes photos de villages, qui déplorent la détérioration progressive de leur charme par une certaine forme de modernité, venez vite ici à Ferrières ! Ce village a su garder en de nombreux endroits un caractère particulièrement authentique, bien aidé par sa position à l’écart de la voie principale située à un kilomètre de la petite place arborée.
Il est rare de trouver autant de ruelles avec des maisons qui recèlent un tel caractère. Les habitants, par leurs aménagements, parfois dans certains détails, démontrent leur attachement à leur village si charmant.
Pour encore y ajouter, un nombre de sentiers pittoresques plus élevés que la moyenne, soit à travers champs, soit entre deux haies, soit encore constitués de petits escaliers, jalonnent les environs campagnards du village. De surcroît, ils sont rehaussés par une multitude d’anciens petits panneaux toponymiques, que l’on aimerait voir fleurir partout ailleurs, tant cela donne de la convivialité lorsque l’on s’y promène.
La variété des paysages y est pour beaucoup : de champs en bosquets, de prés en forêt, le tout se déroule dans des petits endroits arborés où serpentent ces chemins et sentiers.
Ici, on va prendre un peu de hauteur afin d’admirer le village d’en-haut : le Nokar. Un point de vue y cotoie une zone de barbecue.
On revient alors vers le village en passant par les hameaux de Ferrières aux connotations elles aussi bien pittoresques : Le Houpet, Lognoul et la Fontaine. Toujours parmi les maisons disséminées dans la campagne et les bosquets qui les entourent.
Une balade bien agréable au large du village de Harre, aménagée depuis peu, autour du Château et du Moulin de Harre dans le très beau Bois de Harre. Elle s’étend sur les hauteurs septentrionales du Ruisseau de l’Ai-l’Oiseau, un petit affluent de l’Aisne.
Cette région calcaire et fertile, la Calestienne, a été marquée vers la fin du Néolithique, soit environ vers 3000 avant Jésus-Christ (lorsque la préhistoire touchait à sa fin), par une sédentarisation de l’homme.
Celui-ci a donc laissé des traces bien tangibles à travers champs, grâce aux dolmens et aux menhirs.
Les premiers ont une fonction nécrologique, pour y ensevelir des morts. Les seconds une fonction pratique, pour marquer des limites territoriales ou pour commémorer un événement.
Disposés selon un alignement géographique qui n’est pas dû au hasard, cette balade propose d’en faire le tour (en partie car la zone s’étend jusque Heyd voire jusqu’à Ozo), pour découvrir les vestiges massifs étonnants de cette ère lointaine, en partant de son centre névralgique : Wéris.
Le Rocher de la Cathédrale, le Rocher de Nandouire, la Vau aux Corneilles... Voilà tous noms qui en disent long sur la pente très abrupte qui sépare les hauteurs de Sy et l’Ourthe.
Mais rassurez-vous, il ne s’agit pas d’escalade, quoique bien des sportifs de la pratique viennent s’y essayer ici, mais bien d’une balade sur les balcons surplombants ces rochers, qui offrent bien entendu de somptueux panoramas sur la rivière.
Attention toutefois de bien rester sur les sentiers. Si ces derniers sont sans aucun danger, la falaise reste proche et parfois très abrupte.
Une fois quitté la zone, l’itinéraire se dirige vers la Croix du Curé. Impressionnante avec son crâne gravé et son histoire liée, surtout dans un bois où règne une certaine pénombre.
Ensuite le paysage s’ouvre l’espace d’un moment pour découvrir le beau Château de Lassus un peu en amont de Hamoir.
Puis il revient au point de départ en longeant l’Ourthe, cette fois en contrebas de nouvelles crêtes rocheuses. On en a décidément plein la vue, à Sy ! Si ! Si !
Cette attraction consiste en un labyrinthe géant formé par des plants de maïs.
Le thème change chaque année et des animateurs-acteurs jalonnent le parcours en fonction de celui-ci.
Une grande plaine de jeux en entrée libre, avec un toboggan-tuyau géant ainsi que de nombreux autres modules.
Cette tour offre un très beau panorama sur la ville. Elle est accessible en parallèle avec le petit train touristique de la ville.
Cette balade vous propose de découvrir la très paisible région située entre Ferrières et Harre. Le mix est équilibré entre le bois, les prés, les vergers et les zones habitées. Plus précisément, ces dernières tournent essentiellement autour de Burnontige (photo : Chapelle Sainte-Barbe) qui étale ses petites ruelles jusqu’à la lisière des agréables bois environnants.
Une table de pique-nique le long du Ravel en contrebas du Chemin touristique de Durbuy.
Depuis le joli village de Mormont qui surplombe l’Aisne sur sa rive droite, cette balade s’engage dans les Baudrissarts, un bois qui s’étend depuis Erezée.
Nous bifurquons alors soudainement vers un village tranquille proche de sa commune : Clerheid.
L’itinéraire nous mène ensuite dans le vaste Bois du Pays avant de redescendre vers la Vallée de l’Amante, un affluent de l’Aisne qui la rejoint en contrebas de Mormont.
Avant d’atteindre cette confluence, nous remontons vers le village et notre point de départ.
Ce musée présente les découvertes faites lors des fouilles du Château fort de Logne. Il est ouvert du 1/7 au 31/8, tous les jours de 13:00 à 18:30.
D’avril à octobre : les Week-ends et jours fériés de 14:30 à 18:30.
Une jolie trotte majoritairement forestière qui vous mène à une croix de carrefour forestier, suivi du passage dans la partie ouverte du parc forestier Chlorophylle.
Puis l’on revient vers le Bois de Tave avant de redescendre sur Amonines.
Un tour dans le vaste Bois du Pays, entre Erezée et Manhay, plus précisément entre Sâdzot et La Fosse, où l’on part à la rencontre de deux croix forestières dont une avec une aire de pique-nique : la Croix Sainte-Jehenne.
Une plaine de jeux sur un îlot formé par deux bras de l’Ourthe. Sortie possible vers la Rue Simon par une passerelle.
Une aire de barbecue assez vaste avec plusieurs tables de pique-nique le long du Ruisseau de l’Ai-l’Oiseau.
Une table de pique-nique le long du Ravel proche du rocher surplombant l’Ourthe.
Musée illustrant la vie quotidienne et les pratiques funéraires des sociétés néolithiques d’agriculteurs éleveurs, bâtisseurs des mégalithes en Europe occidentale.
Une zone de barbecue avec des tables de pique-nique.
Toujours au cœur de la Calestienne, cette longue bande géologique calcaire traversant l’Ardenne, les abords de l’Ourthe nous réserve bien des surprises !
Entre grottes, rochers, chantoirs et résurgences de ruisseaux, ces zones habitées depuis la nuit des temps nous gratifient de leurs richesses naturelles, historiques et paysagères.
La balade pousse jusqu’aux villages de Werpin et de Hampteau, avant de revenir sur Hotton.
Une table de pique-nique au milieu du hameau de Hoursinne, à un carrefour de chemins.
Un barbecue public en retrait de la route, avec plusieurs tables de pique-nique.
Cette table de pique-nique est située au cœur du hameau, sur une place arborée.
Un petit cinéma à l'ancienne à l'ambiance chaleureuse.
Une table de pique-nique à l’entrée ouest du village, le long d’un chemin empierré.
Promenade dans une ambiance rurale aux confins méridionaux de la commune d’Aywaille, elle débute à la chapelle Sainte-Anne, petit sanctuaire caché dans les bois au sud du massif du Mahousseux.
On gagne ensuite les essarts qui s’ouvrent en direction d’Ernonheid. Là, on y rencontre les hameaux de La Levée et de Faweux, avec son château-ferme où règne le calme de la campagne aqualienne.
Bref, une promenade bien reposante, qui s’articule autour du Ruisseau du Pouhon.
Le Mont des Ânes vous propose des escapades de un ou plusieurs jours à dos d’âne. Il privilégie la relation entre l’animal et la nature, en en profitant tout en douceur à travers de magnifiques chemins ardennais.
Cette balade permet de prendre un peu de hauteur pour admirer une très belle vue panoramique de la ville.
Elle redescend par le Bois de Chapli, traverse la route en provenance de Petithan. Elle passe ensuite en rive gauche de l’Ourthe puis la longe par le Jardin des Topiaires pour revenir vers le centre, après avoir traversé le Pont de Durbuy.
Ce château étale d’imposantes ruines, témoignage de l’architecture médiévale militaire, comportant de nombreux vestiges d’époque.
Plusieurs tables de pique-nique sous abri au niveau du bâtiment de la vitrine muséale du tramway touristique de l’Aisne. Il a été inauguré le 14 mai 2022.
Plusieurs tables de pique-nique accessibles dans le domaine du château de Villers-Sainte-Gertrude.
Ce hameau en cul-de-sac caché à l’écart des grandes voies de communication est une excellente opportunité de vivre l’Ardenne dans ce qu’elle a de plus typique.
Les âmes sensibles à ce caractère y percevront cette magie dont les aspects visibles sont : une nature omniprésente, entourée de vastes forêts, des fermettes en moellons qui font remonter dans le temps au 19è siècle et ce dans un cadre paisible et à l’écart de la circulation.
Cette localité est divisée en deux petites entités contiguës : Grande Hoursinne et Petite Hoursinne dont la limite entre les deux est matérialisée par une petite chapelle.
Elle est entourée d’un massif forestier assez important en superficie qui s’étend jusqu’aux confins de la commune d’Erezée et même au-delà sur celle de Manhay. Voici une bonne occasion de le découvrir.
Assez giboyeux, les essences d’arbres y sont assez variées, on a parfois l’impression de se promener dans un parc.
Ensuite, on revient tout au fond de la petite route du côté de Petite Hoursinne et on descend jusqu’au Ruisseau de Hoursinne, un petit affluent de l’Aisne avant de remonter au point de départ.
Une table de pique-nique au cœur du hameau situé le long de l’Estinale.
Dans la toujours aussi sereine région de Ferrières mais cette fois au nord de la N66 qui relie Trois-Ponts à Hamoir, cette balade vous propose de faire le tour d’un beau massif forestier, dans lequel se cache un château datant du 18è siècle : le Bois de Bernardfagne.
L’itinéraire n’est pas que boisé puisqu’il se déroule en grande partie le long de l’orée de ce bois. Ceci laisse place à de nombreux moments à des paysages à la fois ouverts mais feutrés. Il passe également à travers de beaux hameaux et villages comme La Rouge Minière, point de départ près de la chapelle de la Vierge des Pauvres, puis Saint-Roch avec son école sertie au milieu de la forêt.
On déborde également un peu sur la commune d’Aywaille avec le hameau de La Levée, suivi du village d’Ernonheid.
On traverse alors la forêt pour partir à la découverte du Château de Grimonster, avant de rejoindre notre point de départ, après une boucle relativement vallonnée de 9 km.
Une table de pique-nique au carrefour principal du hameau.
Depuis la célèbre et pittoresque plus petite ville du monde, le but de cette balade est de flâner le long de l’Ourthe sur le Ravel en direction de Barvaux, puis de remonter via le village de Bohon, sur les hauteurs de la petite ville afin de pouvoir l’admirer d’en haut et enfin d’y redescendre pour explorer ses belles ruelles pavées.
Au passage, ne manquez pas d’admirer l’Anticlinal de Durbuy (ou Rocher d’Omalius), un rocher qui d’un point de vue géologique est assez exceptionnel, celui-ci ayant la particularité d’être en forme de U inversé, grâce à une sédimentation marine qui s’est faite progressivement au gré de la dérive des continents, et datant d’environ 300 millions d’années.
Pour un peu changer des boucles, cette promenade profite de la proximité des gares de Sy et de Hamoir sur la ligne ferroviaire 43 pour monter sur une belle petite crête de l’Ourthe, admirer un très beau panorama et redescendre dans cette petite ville touristique animée qu’est Hamoir, où il est bien agréable de s’y restaurer !
Cette balade vous invite à une incursion sur les hauteurs de l’Ourthe au sud de Hotton, que vous pourrez admirer d’une tour-belvédère avant d’atteindre le premier kilomètre.
Ensuite, immanquables, les grottes de Hotton valent la visite : des concrétions calcaires magnifiques vous y attendent !
Mais ce n’est pas tout. Un peu plus loin, vous pourrez découvrir la Réserve Naturelle de l’Alouette. Il s’agit d’une ancienne carrière qui a été exploitée entre 1899 et les années 1960. On y extrayait du grès et du calcaire, très présents dans toute la région de la Calestienne. Ces matériaux ont servi pour construire des maisons en moellons mais ont également servi de gravier pour construire des routes.
Il y subsiste des vestiges industriels.
L’itinéraire poursuit son cours par le bois pour réaboutir à Hotton par le sud-ouest et la N86 Hotton-Marche.
2 tables de pique-nique situées dans un parking un peu plus au sud que le Hotton War Cemetery.
Drôle de toponyme, qui identifie en fait une partie du bois qui se situe au nord du hameau de Hoursinne.
On retrouve la racine "chera" dans bien d’autres toponymes de la région et notamment dans Cheratte. En wallon, on dit "tchèrå" et cela signifie une voie charretière.
Dans notre cas, il s’agit d’un massif boisé typiquement ardennais dans une région feutrée, entre Deux Rys et Hoursinne.
Un itinéraire pas bien long et raisonnablement déclive tournant autour de Deux Rys, dans la partie est du village, à la confluence des ruisseaux l’Ai-l’Oiseau et du Ruisseau del Heid.
Une table de pique-nique au pied du rocher de Renissart, le long de l’Ourthe.
Une table de pique-nique le long du Ravel.
Aire de pique-nique installée le long de la Route des Minières.
Ce barbecue sous abri, dans le cadre de beaux aménagements, se situe à l’écart du village sur la très conviviale Place du Ri de Loon.
Une table de pique-nique proche de la salle des fête du village et de la ligne du tramway touristique de l’Aisne.
Depuis ce lieu de ravitaillement en pleine nature, situé sur la petite route qui joint Burnontige à Ferrières, voici l’occasion de digérer son bon repas en faisant le tour d’un bosquet appelé "Le Bois de Lige aux Sarts".
Il s’agit d’un centre de vacances du Commissariat général au Tourisme.
Il est construit en moellons de grès et calcaire par Gilles Bouvet, seigneur de Villers, décédé en 1623.
Depuis cet endroit très touristique qui comporte le Syndicat d’initiative, le départ du tramway touristique de l’Aisne et une grande plaine de jeux avec des tables de pique-nique dont certaines sous abri, cette balade vous emmène à la découverte d’un petit arboretum aux espèces locales, d’une glacière d’une ancienne laiterie datant du début du 20è siècle ainsi que d’un moulin datant du 14è siècle.
Le retour se fait par le Ravel qui relie Erezée à Hotton.