Des statues de Saint-Hubert de Saint-Donat encadrent celle de Saint-Roch. Un Jésus-Enfant sur le côté droit et quelques images murales complètent l’ensemble. Les murs latéraux contiennent deux niches à plein cintre, mais elles sont vides.
A l’intérieur, on y trouve des peintures murales modernes représentant des cerfs en train de s’abreuver et une chasse de St-Hubert (source de confusion quant à la dédicace de cette chapelle).
Elle a été érigée en 1886 lors de l’épidémie de choléra qui ravaga la Province de Liège. La tradition raconte que les pierres ont été amenées par les Saints-Roki, les pélerins qui se rendent à St-Roch.
Elle porte l’inscription suivante :
"ici morut 1er/ ianv 1850/ Jean Joseph Chevron age de 23 ans / honnete & vertueux jeune homme/ de Harze que son âme repose dans la paix de Dieu Pat Ave RIP"
A l’intérieur, les piliers sont particulièrement massifs.
Le cimetière qui l’entourait a disparu en 1959.
Elle a été cédée le 28 avril 1670 par Léonard Piromboeuf, dit de Godinry, curé de Chemaudin, en France-Comté, au monastère de Bernardfagne.
Il est dû à l’initiative du dernier conseil communal de Xhoris, fusionnée à présent avec Ferrières.
Tout ce que contient ce musée est dû au zèle et à la générosité des habitants de Xhoris (ils récoltèrent l’argent nécessaire au musée durant les mariages civils à la maison communale) et à l’apport personnel du conservateur Monsieur Gaston Kools.
On y trouve la reconstitution d’une ancienne cuisine, des outils relevant de l’artisanat local et de l’agriculture, des objets divers et des souvenirs qui ont appartenu aux habitants de Xhoris.
Le tout est présenté dans cinq pièces.
Un arbre à clous (ou encore arbre à chiffons, arbre à loques) est un type d’arbre à prières ou arbre votif qui se rencontre particulièrement en Belgique, mais aussi dans d’autres régions. Sa réputation se base sur l’ancienne croyance populaire qui estimait qu’un mal physique (son mauvais esprit), principalement les maux de dents et les maladies de la peau, pouvait, par un processus rituel, être extirpé du corps et cloué à un arbre. L’élimination du mauvais esprit entraînait ainsi la guérison1.
La présence des arbres à clous rappelle aujourd’hui une des dernières survivances de rites antiques issus de diverses formes de paganisme progressivement substitués par d’autres symboles de la religion catholique. Ils sont aussi remarquables par les missions et rôles curieux que leur ont assignés les hommes.
Source : Wikipedia