Deux petites galeries d’un même réseau, verticale et horizontale, sans jonction entre elles.
Une grotte bien connue du Fond des Vaulx, zone calcaire de la Calestienne à l’est de Marche. Appréciée des spéléologues, on y a retrouvé des vestiges datant du néolithique (-7500).
Cette cavité calcaire s’ouvre tel un labyrinthe sur la rive droite de la Meuse. Son entrée inférieure se trouve à 138 m d’altitude.
Cette grotte se situe sur le versant ouest de la rive gauche de Ruisseau de l’Agauche, un petit affluent de l’Ourthe, qui se jette dans celle-ci en aval de Hotton.
Cette galerie très boueuse est constituée de deux réseaux parallèles reliés par des diaclases dans une zone d’éboulis.
Sa caractéristique principale est la taille de son porche d’entrée qui débouche sur une galerie. La Lhomme s’y engouffrait avant la construction du talus du chemin de fer en 1880 mais ses eaux peuvent toujours l’atteindre lors de crues.
Cette grotte située en rive gauche de la Lhomme est constituée d’un grand porche et de réseaux importants. Une digue empêche généralement les eaux de la Lesse d’y pénétrer lors de crues mais des infiltrations restent possible.
Cette large cavité s’enfonce dans la roche calcaire (belles stratifications).
Ancien exutoire de la Lomme, aujourd’hui perché une dizaine de mètres au dessus du lit.
Etonnante résurgence ramenant à l’air libre un cours souterrain.
Cette grotte est également appelée Grotte à Jules, Trou Willy ou Trou de l’Ambre.
Elle s’ouvre dans une falaise calcaire à 28 m au-dessus de la Lomme.
Cet ensemble de 7 grottes-abris ont été découvertes par le géologue Edouard Dupont en 1867 avec des vestiges de l’âge du mammouth et du renne. Il s’agit du Trou du Chêne, de l’Eglantier, de l’Erable, du Lierre, du Pommier et du Noisetier.
Une grotte située dans la paroi d’un ravin, accessible en traversant le Ri de Sébia par une passerelle, depuis la Rue du Camp Romain.
Cette petite grotte calcaire givétienne dont l’entrée mesure 1.70 m de haut sur 2.20 m de large a servi d’abri depuis la préhistoire, des ossements retrouvés attestant la présence de l’homme.
Cette cavité karstique fait partie du massif calcaire givétien du Dévonien moyen des grottes de Han. Il s’agit d’une ancienne perte de la Lesse. La spéléologie Jacqueline Desmons y est resté bloquée durant 48 h en 1959.
Cette grotte fait l’objet d’une polémique. Des vestiges préhistoriques fabriqués avec des os d’animaux y auraient été découverts en 1962 mais leur authenticité est réfutée par des observations scientifiques, semant grandement le doute.
Cette grotte est la première rencontrée depuis le chalet d’accueil du Parc naturel de Furfooz. Cette grotte était habitée par l’homme en -14 000.
Cette grotte appelée aussi Trou de la Passerelle, à l’entrée étroite, se compose principalement de galeries plutôt larges et de cinq salles dont la plus grande, la Grande Salle mesure 20 m sur 10 m. Son développement total reconnu est d’environ
C’est dans cette grotte située sur une paroi rocheuse de la vallée du Ruisseau de la Fontaine Saint-Hadelin que les Allemands établirent un Etat-Major durant la seconde guerre mondiale, en décembre 1944.
Une des nombreuses grottes du parc naturel de Furfooz situé au sud du village.