Ce calvaire restauré, a été construit en 1704 sur la piste qui relie la ferme d’Icourt au Moulin du Chêne.
Il s’agit d’une imposante croix en fer forgé.
Ce calvaire au-dessus de 3 marches, supportant un Christ protégé par une boîte vitrée, date du 19è siècle. Il a été restauré en 1965.
Ce calvaire posé sur un muret en pierre du pays date de 1754. Il a été remanié en 1947. La stèle comprend un texte reprenant la devise du sire Henriquez. Le bloc qui le surmonte porte l’inscription JHS.
Grande croix en bois.
Ce calvaire élevé en 1832 à l’initiative de Jean-Baptiste Lhommel, a servi plus tard de sépulture à deux artilleurs francais, tués entre Couvreux et Montquintin durant la 1è guerre mondiale. La croix de bois a été remplacée en 1978.
Ce calvaire du 18è siècle a vraisemblablement été érigé par Etienne Danloup et Odile Genin, la fille du meunier de Radru, en remerciement d’une grâce accomplie : l’arrivée d’un enfant. C’étaient des tenanciers de cabaret au village.
Une croix en bois vermoulue dont le Christ a été ôté.
Ce calvaire en grès à 4 faces date du 18è siècle. On y trouve sur ses faces les effigies de Saint-Martin, du Christ-Sauveur et de la Vierge Marie.
Il s’agit de deux poutres en chêne croisées vraisemblablement situées à l’emplacement où une femme a été tuée, selon la tradition populaire. Ce toponyme s’est étendu à l’ensemble du bois au sud du Zoning de Gantaufè.
Cette croix rarissime a été érigée en 1327. D’une hauteur de 3,72 m, elle est le témoin de l’affranchissement du village à la loi Beaumont en 1327.
Croix en bois érigée sur un muret en pierre de Gaume.
Croix érigée en mémoire à la mission prêchée en 1935.
Ces manifestations et processions étaient destinées à attirer les fidèles par leur côté grandiose.
Cette croix en bois a une hauteur de 3 mètres et comporte un Christ en fonte.
Une croix de carrefour en bois, fichée sur une muret en schiste.
Un Christ sur une robuste croix de bois, posée sur un socle en béton.
Cette croix fut érigée en 1746 sous deux tilleuls remarquables, en mémoire de F. Demasep.
Première croix menant à l’ermitage, elle était déjà mentionnée sur la carte Ferraris datant de 1771.
Cette croix millésimée à la fin du 16è ainsi qu’en 1777, est située à une altitude de 333 m.
Elle est située sur une ancienne voie qui reliait Mongwy à Montmédy.
Une petite croix en bois posée sur un socle en béton, proche de la Chapelle du Bonlieu.
Une croix de chemin forestier, à proximité de l’Etang du Cul d’Oie.
Cette croix en pierre est également appelée Croix Moufan. Elle est située à Maidgibois et entourée par 7 épicéas remarquables (8 à l’origine).
Une croix en fer forgé fichée sur muret en briques.
Cette croix est située au croisement de la N87 Virton - Etalle et de la N879 Marbehan - Tintigny - Ethe - Ruette.
Une grande croix en fer forgé très travaillée sur laquelle est fixée une niche contenant une statue de la Vierge. Elle remplace une statuette de Saint-Lambert qui était fixée sur un chêne, qui elle-même fut remplacée par une croix en bois.