Ce calvaire restauré, a été construit en 1704 sur la piste qui relie la ferme d’Icourt au Moulin du Chêne.
Il s’agit d’une imposante croix en fer forgé.
Ce calvaire posé sur un muret en pierre du pays date de 1754. Il a été remanié en 1947. La stèle comprend un texte reprenant la devise du sire Henriquez. Le bloc qui le surmonte porte l’inscription JHS.
Ce calvaire datant de 1734 inclus dans la façade latérale d’une chapelle représentant le Christ, la Vierge et St-Jean.
Il est classé comme monument depuis 1991.
Grande croix en bois.
Ce calvaire élevé en 1832 à l’initiative de Jean-Baptiste Lhommel, a servi plus tard de sépulture à deux artilleurs francais, tués entre Couvreux et Montquintin durant la 1è guerre mondiale. La croix de bois a été remplacée en 1978.
Ce calvaire du 18è siècle a vraisemblablement été érigé par Etienne Danloup et Odile Genin, la fille du meunier de Radru, en remerciement d’une grâce accomplie : l’arrivée d’un enfant. C’étaient des tenanciers de cabaret au village.
Ce calvaire en grès à 4 faces date du 18è siècle. On y trouve sur ses faces les effigies de Saint-Martin, du Christ-Sauveur et de la Vierge Marie.
Il s’agit de deux poutres en chêne croisées vraisemblablement situées à l’emplacement où une femme a été tuée, selon la tradition populaire. Ce toponyme s’est étendu à l’ensemble du bois au sud du Zoning de Gantaufè.
Croix en bois érigée sur un muret en pierre de Gaume.
Cette croix en bois a une hauteur de 3 mètres et comporte un Christ en fonte.
Une petite croix en bois posée sur un socle en béton, proche de la Chapelle du Bonlieu.
Cette croix en pierre est également appelée Croix Moufan. Elle est située à Maidgibois et entourée par 7 épicéas remarquables (8 à l’origine).
Une croix en fer forgé fichée sur muret en briques.
Une grande croix en fer forgé très travaillée sur laquelle est fixée une niche contenant une statue de la Vierge. Elle remplace une statuette de Saint-Lambert qui était fixée sur un chêne, qui elle-même fut remplacée par une croix en bois.