Les sujets parlent d’archéologie, d’arts populaires et industriels, d’ethnographie civile et religieuse et présente du mobilier régional.
Plusieurs antennes sont liées à cette maison-mère de Virton.
Le clocher et le jacquemart ont été ajoutés en 1968 et le musée a été agrandi en 1992 pour y faire figurer une aile plus contemporaine.
On y trouve des objets en vannerie, des poêles à bois, des accessoires de cheminées-taques, des chenets crémaillères, des intérieurs reconstitués (une cuisine du 19è par exemple), des ateliers d’artisans.
A l’horloge de la tour du musée, un jacquemart représentant un moine récollet donne les heures. Pour une petite pièce, il s’animera pour le visiteur.
Ce bâtiment datant de 1839 a été réhabilité afin d’accueillir des expositions sur deux niveaux.
Ce centre a été créé en 1984. Au départ nomade selon une volonté politique, il est passé par Jamoigne avant de s’implanter à Buzenol. Il propose la création d’œuvres monumentales et environnementales temporaires.
Cette ferme tricellulaire (corps de logis, grange, étable) en grès calcaire et chaulée, est liée à l’ancien château féodal. Elle se caractérise par son toit en pente légère recouvert de tuiles "canal" à la romaine.
Ce musée à l’architecture moderne semi-enterré, dessiné par le belgo-polonais Constantin Brodzki et son associé scénographe Corneille Hannoset, influencé par l’archéologue Louis Lacoste, abrite des découvertes archéologiques.
Ce musée mené par Jean-Claude Noben retrace l’histoire de la mine et de la métallurgie dans le bassin lorrain qui a connu 100 ans durant, une prospérité grâce à la production industrie de fonte.
Ce musée a été reconstruit en 1935. Il présente des meubles et objets de l’ancienne pharmacie de l’Abbaye d’Orval : mortiers, pots de Delphes, alambics, balances, etc. On y trouve également un jardin de plantes médicinales.
Ruines de l’abbaye médiévale (depuis le 12ème siècle).
Dans les sous-sols du 18ème siècle : une section temporaire (renouvelée tous les ans)et une section permanente.