Il s’agit de la plus grande forteresse celtique de Belgique, occupée entre le 8è et le 6è siècle avant Jésus-Christ.
Elle s’étend sur 13 ha et la longueur du double rempart est supérieure à 1750 m.
Une reconstitution du site a été réalisée en 1980 par la Société Nationale des Fouilles.
Elle donne une idée de l’ingéniosité de cette peuplade et démontre à suffisance l’effet dissuasif de la forteresse vis à vis d’un éventuel envahisseur.
Les fouilles actuelles entreprises par l’Université Libre de Bruxelles depuis 1960 étudient la structure du mur de barrage dressé sur l’étranglement de la boucle, la partie la plus sensible de la fortification, opposant une muraille de quelque 6 mètres de haut à toute attaque venant du haut plateau.
Selon la tradition populaire locale, ce site remarquable et difficilement accessible était le repaire de tous les elfes. Des traces incontestables d’occupation révèle la présence en ce lieu d’une peuplade peu connue.
Les ruines d’une forteresse imposante dont la structure médiévale est bien conservée, construite sur une arête rocheuse d’une boucle de l’Ourthe. L’une des tours (Tour des Sarrasins) daterait de l’époque romaine.
La réunion des deux Ourthes
Jolie mais costaude !
300 m de dénivelé négatif, comme en parapente (malgré quelques petits croupets) !
Par la vallée de la Belle Meuse et Achouffe
A la découverte d’une forteresse celtique
Festival de méandres de l’Ourthe vues du haut d’un somptueux rocher !
Les hauteurs de l’Ourthe Orientale
De l’Ourthe à l’Aisne et de l’Aisne à la Lembrée
Panorama sur une perle des Ardennes
Petit Eden sur les hauteurs de La Roche
Promenade sur les quais de l’Ourthe
Challenge pré-alpin
En toute sérénité entre Engreux et l’Ourthe
Grand classique autour de l’Ourthe
Les Eaux vives de Bellemeuse
Le hameau perdu et haut perché
Ce barrage et ses infrastructures en béton clair contrôlent l’une des nombreuses boucles de l’Ourthe. Etabli de 1953 à 1959 pour réguler la rivière, cet ouvrage du génie civil est long de 116 mètres.
Ce belvédère situé au nord du lac offre une vue sur une partie de celui-ci.
65 bières à découvrir dans un endroit idyllique le long de l’Ourthe.
Cette chapelle située au pied de la colline dénommée "Chession", est entourée du cimetière, édifice de style éclectique en schiste et pierre bleue, achevé en 1867.
Cette chapelle funéraire néo-gothique en moellons de grès et pierres de taille calcaires, située au fond du cimetière, a été construite à la fin du 19è siècle.
Cette chapelle a été bâtie en 1882. Elle a été donnée à la fabrique d’église en 1905.
Une petite chapelle de plan rectangulaire en moellons de grès et de schiste à l’est du village. Le toit est en ardoises artificielles. Elle date de la fin du 19è siècle.
Le 11 novembre 1948, la chapelle est classée par la Commission des Monuments et des Sites. Elle a été restaurée en 1961.
Non loin de la chapelle de Chession.
Une croix en bois surmontée d’un toit à deux pans en zinc.
Cette croix blanche en pleine campagne est surmontée d’un toit à deux pans.
Une croix en bois en sortie du hameau avec un bac à fleurs en bois.
Une croix de chemin forestier.
Une croix érigée en mémoire de Kenny, décédé à 22 ans à cet endroit.
Cette croix fut érigée à la mémoire de Hubert Louis d'Olomont, décedé inopinément à cet endroit le 31 mai 1881.
Il s’agit d’une petite croix en fer forgé peinte en blanc, le long de la route qui traverse le bois, entre Hubermont et Maboge. Elle est aussi appelée Croix du Chêne à la Vierge.
Cette grande église paroissiale de style néo-gothique a été reconstruite en 1871 sur les plans de l’architecte Bouvrie. Elle a été restaurée en 1953 par l’architecte E. Godin. Le mobilier est de style néo-gothique contemporain.
Cette église en pierre de schiste et pierre de taille a été bâtie en 1867 à l’emplacement d’un édifice plus ancien datant de 1710.
Cette ancienne ferme perpendiculaire néo-classique en schiste blanchi est millésimée 1881 sur sa grille d’entrée.
Ce monument est dédié aux victimes de la seconde guerre mondiale. De part et d’autre du monument sont inscrits 24 noms de personnes tuées entre mai 1940 et janvier 1945.
Cette hélice d’avion fichée sur un cairn de moellons de grès a été érigée le 20 mai 1984 en mémoire du mitrailleur le sergent James H. Young, abattu avec son avion dans les environs de cet endroit.
Cet ancien moulin à grains, qui datait du 18è siècle, a été reconverti en hôtel.
Cette table de pique-nique est située au calme, le long de l’Ourthe, en contrebas du Cheslé, une ancienne forteresse celte reconstituée.
Une zone de baignade publique avec une large plage d’herbe.
Une plaquette apposée sur l’église en l’hommage à Victor Bultot (24/3/1892-28/10/1914) tombé au combat sur l’Yser lors de la première guerre mondiale.
La Roche, déjà visible d’une crête au sud-ouest de cette dernière.
Point de vue sur l’Ourthe depuis la crête du Hérou.
Une potale en moellons renfermant la Vierge.
Cette maison en moellons de schiste et de grès, de style néo-classique, entouré d’un mur, date de 1863. La petite dépendance qui sert de garage avec un ancien fenil date des années 1950.
Un site d’exception classé : un éperon rocheux composé de phyllades, d’une longueur de 1,5 km, 80 mètres au-dessus de l’Ourthe. Cette dernière ne sachant l’éroder, a formé un méandre serré autour de la barrière de roches.
Tremplin pour deltaplanes.
Cette stèle a été apposée en l’homme à ces deux résistants tués en septembre 1944.
Il s’agit des fondations d’une villa romaine datant vraisemblablement du 3è siècle, probablement abandonnée à la suite d’un incendie. Sa dimension était de 24 x 30 m. On y a retrouvé un hypocauste (chauffage central ancestral).