Ce village d’environ 1500 habitants a été cité pour la première fois en 1070 sous la forme Hunborc. C’est le village des «Joupes» et des «Brices», nés d’une division survenue lors d’anciennes processions religieuses.
Depuis les invasions franques jusqu’à ce jour, les habitants parlent un patois local, le Platdutch, un dialecte francique rhéno-mosan (ou carolingien), il s’étend de Fouron-Saint-Martin à Eupen et même jusqu’à Heerlen, Mönchengladbach ou Düsseldorf.
Le village est cité pour la première fois sous la forme Hunborc.
Le chapitre de la Collégiale Saint-Pierre de Liège possède des biens dans ce village et y établit la cour de justice de Sint-Peterhof. Elle a trait au château-ferme de Berlieren, la plus ancienne seigneurie foncière de Hombourg.
Hombourg fait partie du ban primitif de Sinnich-Völkerich sous la forme Homborc.
Le château de Vilhenru (Vieljaeren) est détruit par le duc Jean Ier de Brabant pendant la guerre de succession du Duché de Limbourg.
La seigneurie des localités de Hombourg et Remersdael est engagée une première fois par le roi d’Espagne.
Le comte Frédéric d’Eynatten vend la seigneurie de Hombourg à la baronne de Hochsteden qui épouse le baron Christian de Furstenberg.
La région ne se soumet pas au régime français, croyant au retour des Autrichiens.
Un Hombourgeois est exécuté avec d’autres conjurés lors de la conjuration du Bois-Rouge à Remersdael, un soulèvement contre le nouveau régime français.
Hombourg et Remersdael sont scindés en deux communes indépendantes suite à une demande de près d’une centaine d’habitants de Hombourg faite deux ans auparavant.
La ligne de chemin de fer Liège-Plombières est inaugurée, ainsi qu’une gare à Hombourg.
L’armée fait sauter l’entrée du tunnel de la Laschet.
Cette chapelle a été édifiée en mars 1910 par les Sœurs franciscaines de la Sainte-Famille. Le terrain et ses dépendances avaient été léguées par le Comte Bourcieu de Montereux en 1908.
Un mémorial et un cimetière américains dans lequel reposent près de 8000 soldats et où sont honorés 450 soldats disparus.
Un peu de Val de Gueule puis un peu de Ravel de la ligne 38
Etonnant petit recoin à la lisière de la grande Preuswald
Transition entre Pays de Herve et Ardenne