de Rodt à Vielsalm

St-Vith

Cette balade vous permettra de découvrir le vaste massif forestier qui sépare la commune de Saint-Vith et la commune de Vielsalm.

Il existe toujours un vestige qui délimite le côté francophone du côté germanophone : il s’agit des bornes-frontières belgo-prussiennes qui marquaient autrefois cette limite territoriale entre les deux royaumes, tel que cela avait été établi lors du congrès de Vienne en 1815.

La balade les côtoie au niveau de la Ferme des Mauvaises Pierres, une appellation due à la mauvaise qualité des chemins d’autrefois mais qui ne la mérite plus actuellement, tant ce passage est bien agréable.

Une autre rencontre agréable est la Chapelle de Tinseubois, en plein milieu du Grand Bois de Vielsalm. Après avoir rencontré la Croix Rasquin, on aboutit dans le hameau de Blanchefontaine puis à Petit-Thier qui lui est directement attenant.

Ensuite, pratiquement que du Ravel jusqu’à Vielsalm, sur l’ancienne ligne 147A. Il ne reste plus qu’à se laisser descendre sur ce chemin en dur, entouré d’une campagne agréable, jusqu’à la ville touristique où de bons ravitaillements vous attendent pour terminer ce périple en beauté !

Ce musée regroupe environ 4000 variétés de bière en bouteille avec les pintes et les verres assortis, un certain nombre de pièces anciennes ou de collection, ainsi que des multiples gadgets.

Les bouteilles en provenance de 140 pays rendent compte de l’art de la brasserie sur les cinq continents.
Dégustation de bière maison.

Plusieurs tables de pique-nique sont disséminées autour du musée et de la cafétéria, à l’entrée de l’Emmelserwald et du sentier didactique (Waldlehrpfad).

Ce sentier didactique (Waldlehrpfad) décrit de nombreuses espèces botaniques régionales (allemand-français-néerlandais).

Une table de pique-nique sous un épicéa majestueux, dans un petit recoin forestier à l’écart de la grand’route.

Ces bornes-frontières belgo-prussiennes marquent l’ancienne ligne frontière établie suite aux décisions du congrès de Vienne en 1815.

Une maison à été mentionnée à cette endroit en 1800 dans un procès verbal de Vielsalm. Autrefois une cabane, on l’appelait le mal pierre. L’appelation actuelle date du 19è siècle.

Un chêne planté à la mémoire de Stéphane Danloy, garde forestier décédé en décembre 2018.

Cette chapelle néo-gothique en briques, recouverte entièrement d’ardoises blanches date de 1876. Elle fait l’objet d’un pèlerinage les lundi de Pentecôte et d’un salut à la Vierge Marie le 15 août.

Elle fut édifiée par la volonté de Madame H. Rotsart de Hertaing en remerciement d’une guérison après un pèlerinage à Lourdes.

On y trouve d’ailleurs à l’intérieur de nombreux ex-voto.

Une messe y a lieu tous les jeudi à 19:00 à partir du 1er jeudi après Pâques jusque fin septembre.

Il s’agit d’une croix votive érigée par son épouse, à la mémoire de Jean-Joseph Rasquin (né en 1830), qui a disparu en exerçant son métier de colporteur de tissus.

Ce hameau est situé au sud-est de Petit-Thier, qui lui était rattaché depuis le 12 mars 1847, jusqu’à la fusion des communes de 1977.

Un Christ sur croix de bois verni, fiché sur une dalle en pierre de taille posée sur un mur en moellons de grès.

Ce village au nord-est de la commune de Vielsalm, lui-même ancienne commune jusqu’en 1977 et situé entre les Ruisseaux de Barèchin et de Hermanmont, est cité pour la première fois en 1575.

Cette chapelle fut construite en 1958.

Ce sanctuaire existe depuis 1704.
En 1958, l’église a été reconstruite en moellons et calcaire, par l’architecte R. Toussaint.

La tour carrée est juchée d’une tourelle d’escalier, d’une chapelle et d’un baptistère.

La salle des fêtes de Petit-Thier

Un Christ sur croix de bois en bas de la côte du Chemin de Grand-Halleux, face à la Chapelle Notre-Dame de Banneux.

Cette chapelle datant de 1954 est au croisement du Chemin de Ville-du-Bois et du Chemin de Grand-Halleux.

Cette petite croix en bois au Christ doré est apposée sur un support cruciforme plus imposant, en pierre peinte en vert. Lui-même est posé sur un muret en grès schisteux.

Cette croix de chemin en bois verni repose sur un socle en moellons de grès. Il s’agissait d’un passage obligé lors des rogations. Dans le calendrier liturgique, il s’agit des 3 jours précédent immédiatement le jeudi de l’Ascension.

Il s’agit donc des 37è, 38è et 39è jours après Pâques.

Le village situé dans le prolongement nord-est de Vielsalm est traversé par le Ru de Barèchin (ou Neureu). Les habitants sont appelés Les Cawès, gentilé qui est aussi le nom de la salle des fêtes.

On retrouve à l’origine ce toponyme sous la forme latine Silvestri Villa. Il s’agit donc probablement à l’origine, d’une exploitation implantée au milieu des bois.

Le village est divisé en deux par le Ruisseau de Barèchin. Une des deux parties s’appelle le quartier de Tneûr Ru, ce qui signifie le Ruisseau Noir.

Autrefois, le village ne possédait ni église ni chapelle.

Ce n’est que vers la moitié du 18è siècle que les habitants, se jugeant un nombre assez critique avec plus de 300 habitants, et au vu de la qualité médiocre des chemins qui les reliaient à la paroisse de Salm, décidèrent d’y faire ériger une chapelle.

A cette époque, c’est à Ville-du-Bois que le nombre d’habitants de la paroisse était le plus élevé.

Les macralles se réunissent chaque 20 juillet à Vielsalm. Il s’y déroule un spectacle fantastique.

Cet édifice assez imposant est en moellons d’arkose.
Il comporte 3 nefs de 5 travées.
Le toit en ardoises est surmonté d’un clocheton octogonal.

Sur trois de ses faces, on peut y admirer des cadrans d’horloge en métal doré.

Site de l’ancien château des comtes de Salm.

Ce snack est situé dans l’ancienne gare de Vielsalm.
Il est ouvert tous les jours de 6:00 à 14:00 sauf les week-ends.