La commune de Manhay recèle quelques villages typiquement ardennais on ne peut plus pittoresques et de surcroît aménagés avec beaucoup de convivialité.
Harre, point de départ de cette balade et Deux-Rys en font partie, avec leur aire de barbecue situées dans des petits recoins idylliques et tranquilles du village.
Sans compter Fays, que cette balade ne fait qu’effleurer, et qui attire chaque année au mois de juin, des milliers de pèlerins venus prier sur les traces de l’ancien ermitage de Saint-Antoine.
Ceci en dit long sur l’atmosphère à vivre de ces lieux empreints de nature et d’histoire.
Le Ninglinspo, petit affluent de l’Amblève est vraiment une très belle surprise. Rien qu’à regarder la carte, on comprend tout de suite que ce parcours est jalonné d’une foule de petites curiosités qui rendent cette promenade si pittoresque. Mais c’est évidemment la nature de ce vallon grandiose qui pose le décor : rochers, cascades, ponceaux pédestres. Rien ne manque à l’appel pour égayer cette contrée. Sans oublier toutes ces cuves creusées par la rivière qui sont comme des baignoires naturelles et qui ne manquent pas d’attirer les amateurs de jeux d’eaux en été ! C’est le tour de ces "bains", aux noms plus romantiques les uns que les autres, que vous propose de découvrir cette balade !
Promenade dans une ambiance rurale aux confins méridionaux de la commune d’Aywaille, elle débute à la chapelle Sainte-Anne, petit sanctuaire caché dans les bois au sud du massif du Mahousseux.
On gagne ensuite les essarts qui s’ouvrent en direction d’Ernonheid. Là, on y rencontre les hameaux de La Levée et de Faweux, avec son château-ferme où règne le calme de la campagne aqualienne.
Bref, une promenade bien reposante, qui s’articule autour du Ruisseau du Pouhon.
Les gares et haltes de la ligne 43 Rivage - Marloie sont, juste après sa séparation de la ligne 42 (Rivage - Gouvy), assez rapprochées.
C’est l’occasion d’en profiter pour prévoir plein de petites balades de gare à gare assez sympas le long de l’Ourthe.
Naturellement, il ne faut pas avoir peur de grimper un peu car l’Ourthe est engoncée dans une vallée relativement profonde. Et au début, accrochez-vous, c’est raide, surtout la toute première partie jusqu’à Lawé, un hameau d’une tranquillité totale.
Mais comme toujours, cet effort permet de découvrir, en prenant un peu de hauteur, des paysages magnifiques car l’entourage de la rivière est souvent fait d’un mélange de villages, de prés et de forêts, voire de rochers majestueux.
Celle-ci ne manque donc pas à ces aspects, d’autant qu’elle a comme particularité qu’il s’agit du point de rencontre de l’Amblève avec l’Ourthe, ce qui donne une configuration orographique d’autant plus intéressante !
Après avoir gagné le charmant et rustique village d’Oneux, on aboutit après la traversée de prés très sereins, à un escarpement rocheux particulier appelé, les Tartines. De par leur forme, ces rochers portent plutôt bien leur nom mais à cause de leur proximité, on ne pourra pas le constater lors de cette balade. Il vaut mieux pour cela prendre du recul lors d’une autre balade côté Comblain-au-Pont. Le sentier serpente jusque dans la vallée.
Il ne reste plus qu’à se laisser descendre vers l’arrivée. En bas, on peut trouver quelques points de ravitaillement.
Après avoir traversé l’Amblève au Pont de Liotte, la gare de Rivage apparaît un peu plus loin.
Une table de pique-nique près d’une petite rotonde au pied d’un beau point de vue sur Ferrrières.
Manège équestre et location de boxes.
La jonction entre ces deux vallées promet de magnifiques surprises !
A commencer par le bel aménagement entre Aywaille et Remouchamps, le long de l’Amblève via le Parc d’Aywaille.
Puis après le viaduc de Remouchamps arrive la belle campagne qui court-circuite le long méandre de l’Amblève du Val du Promontoire avec le Tilleul du pendu.
Ensuite, ô merveille : le Ninglinspo, que l’on remonte par le chemin principal jusqu’à la superbe charmille du Haut Marais.
Suit alors la campagne entre Vertbuisson et Winamplanche où l’on traverse la Réserve naturelle de Banoyard et le Thier d’Aihé -avec de beaux panoramas- avant de descendre vers l’Eau Rouge. Pas celle de Francorchamps mais bien celle de Winamplanche.
Le Chemin de la Vecqueterre nous ramène enfin à Spa et plus loin au Parc des 7 heures via le Chemin des Français, par derrière la ville pour éviter la grande Avenue reine Astrid.
Plusieurs tables de pique-nique accessibles dans le domaine du château de Villers-Sainte-Gertrude.
Centre de séminaires résidentiels.
Pour un peu changer des boucles, cette promenade profite de la proximité des gares de Sy et de Hamoir sur la ligne ferroviaire 43 pour monter sur une belle petite crête de l’Ourthe, admirer un très beau panorama et redescendre dans cette petite ville touristique animée qu’est Hamoir, où il est bien agréable de s’y restaurer !
Ce château étale d’imposantes ruines, témoignage de l’architecture médiévale militaire, comportant de nombreux vestiges d’époque.
Sur une petite aire ombragée sous les sapins, deux tables de piques accueillantes au niveau de la résurgence de la Lembrée.
Voici une balade riche en éléments tant naturels que culturels mais pas forcément facile car les reliefs autour de l’Ourthe et de son confluent, la Lembrée, sont relativement bien marqués.
C’est souvent synonyme de beaux panoramas et rien que pour cela, moyennement un brin de sportivité dans les côtes, elle en vaut certainement la peine.
D’autant qu’elle démarre au très attractif Domaine de Palogne, qui offre pas mal d’infrastructures touristiques et qui justifie une journée entière si l’on souhaite s’adonner aux activités qu’il propose : brasserie, kayak, mini-golf, sans oublier bien entendu le Château-fort de Logne, l’objet principal de cette balade !
Après l’avoir rejoint après un petit kilomètre, on se dirige vers le village de Vieuxville par la rive gauche de la Lembrée, que l’on traverse à Vieuxville.
Ensuite, retour au point de départ par une zone assez boisée, cette fois sur les hauteurs de la rive droite de la Lembrée.
Une table de pique-nique au cœur du petit village.
Ce barbecue sous abri, dans le cadre de beaux aménagements, se situe à l’écart du village sur la très conviviale Place du Ri de Loon.
Au nord comme à l’est de Comblain-au-Pont, on peut admirer de superbes panoramas sur cette ville qui tire d’ailleurs son nom du mot "confluence", où effectivement l’Amblève se jette dans l’Ourthe.
C’est le versant oriental qui fait l’objet de cette balade pas trop longue (5 km) mais il faudra donc prendre un peu de hauteur -et c’est là la petite difficulté du trajet- pour profiter de la superbe vue qui s’offre au sommet du massif rocheux du Thier Pirard.
Au-dessus, on découvre le village d’Oneux, avant de redescendre par un sentier en zigzags le long de ces fameuses tartines surplombant l’Ourthe en rive droite.
" Je veux une pareille de Nutella ! "
En contrebas, on atteint la route principale qui mène à Aywaille avant de reprendre le Ravel pour rejoindre le point de départ, en traversant à nouveau le fameux pont de Comblain.
Il s’agit d’un centre de vacances du Commissariat général au Tourisme.
Il est construit en moellons de grès et calcaire par Gilles Bouvet, seigneur de Villers, décédé en 1623.
Une table de pique-nique situé près d’un petit pont sur la Lienne, en rive droite de la rivière.
Une table de pique-nique le long du Ravel en contrebas du Chemin touristique de Durbuy.
Cette plaine jouxte le parc communal et les bureaux de l'administration communale
Cette balade part d’un petit trou perdu en val de Lienne mais ô combien pittoresque !
Elle monte sur le versant ouest à Sur le Thier, où l’on peut rencontrer un beau chêne classé, en direction du hameau de Monchenoûle, où l’on va flirter avec sa clairière, avant de revenir vers le point de départ duquel il reste encore 2 km à parcourir.
L’érosion occasionnée par ces deux rivières, dans une région où le calcaire est très présent, appelée dans son ensemble la Calestienne, laisse parfois quelques belles découvertes, comme cette grotte située non loin de Bomal, point de ralliement de cette balade.
Après cette grotte proche de l’Aisne, confluent qui termine son parcours à Bomal dans l’Ourthe, on remonte vers le village d’Ozo, où un menhir parmi toute une ligne d’autres vestiges préhistoriques dans la région (essentiellement celle de Wéris), témoigne de la présence humaine au néolithique, lorsque les hommes commencèrent à devenir plus sédentaires.
Il est à présent temps de redescendre vers le point de départ, en direction de l’Ourthe, sans oublier la Chapelle Saint-Rahi sur le passage de cet itinéraire, qui se termine après 9 km.
Depuis la célèbre et pittoresque plus petite ville du monde, le but de cette balade est de flâner le long de l’Ourthe sur le Ravel en direction de Barvaux, puis de remonter via le village de Bohon, sur les hauteurs de la petite ville afin de pouvoir l’admirer d’en haut et enfin d’y redescendre pour explorer ses belles ruelles pavées.
Au passage, ne manquez pas d’admirer l’Anticlinal de Durbuy (ou Rocher d’Omalius), un rocher qui d’un point de vue géologique est assez exceptionnel, celui-ci ayant la particularité d’être en forme de U inversé, grâce à une sédimentation marine qui s’est faite progressivement au gré de la dérive des continents, et datant d’environ 300 millions d’années.
Ce barbecue ouvert à tous est situé au coeur du parc du Château de Biron. Il appartient au domaine communal.
Une table de pique-nique proche du dolmen nord de Wéris, située juste de l’autre côté de la route.
Un barbecue public en retrait de la route, avec plusieurs tables de pique-nique.
Grotte creusée par une rivière dépendante de l’Amblève : Le Rubicon.
On peut y effectuer un parcours pédestre de plus d’un kilomètre dans des salles imposantes dotées de concrétions magnifiques.
Cette balade vous invite à faire le tour d’un domaine situé sur les hauteurs orientales de l’Ourthe, non loin de Barvaux, qui fait la part belle à la flore locale : environ 700 espèces de plantes et arbres différentes (la moitié de la flore belge !) vous y attendent dans un cadre majoritairement boisé, dont de majestueux hêtres.
La faune n’est pas en reste avec de nombreux insectes, mammifères, reptiles et batraciens.
On y organise également des expositions et des bioramas sur la biodiversité des Ardennes.
Une balade bien agréable au large du village de Harre, aménagée depuis peu, autour du Château et du Moulin de Harre dans le très beau Bois de Harre. Elle s’étend sur les hauteurs septentrionales du Ruisseau de l’Ai-l’Oiseau, un petit affluent de l’Aisne.
Une plaine de jeux le long de l’Ourthe.
Comblain-au-Pont est décidément entourée de falaises très rocheuses. A l’est se développent les fameuses Tartines et au nord du patelin, ce sont les Roches Noires.
Pour les atteindre, il va falloir faire l’effort au départ pour grimper sur la colline qui surplombe l’Ourthe. Et pour ce faire, nous allons monter par cette fameuse tour qui domine Comblain-au-Pont : la Tour Saint-Martin.
C’est environ 1 km plus loin en gardant le cap nord que l’on rejoint le massif rocheux qui fait l’objet de cette balade.
Histoire de revenir par un autre côté, et de rester sur le thème des rochers, nousa llons redescendre dans la vallée par le pic Napoléon, un peu plus à l’est, avant d’atteindre l’Ourthe et le Pont de Scay.
Juste après avoir traversé l’Ourthe, pour revenir au point de départ, il suffit de longer la rive droite de l’Ourthe vers l’amont, qui nous ramène au centre après avoir à nouveau traversé l’Ourthe au niveau du Pont de Comblain-au-Pont.
Finalement une balade pas trop longue… mais riche en découvertes !
Cette balade vous propose une promenade sur les hauteurs occidentales d’Aywaille.
Pour observer la ville d’en haut, depuis un beau panorama, rien de tel que se rendre à la Croix de Septroux, qui domine avantageusement la vallée de l’Amblève.
Cette balade débute dans le hameau de Chambralles, se dirige vers le hameau de Septroux.
Elle atteint ensuite la fameuse croix puis revient à Chambralles par la Route de Hoyemont, qu’elle effleure légèrement.
Depuis ce lieu de ravitaillement en pleine nature, situé sur la petite route qui joint Burnontige à Ferrières, voici l’occasion de digérer son bon repas en faisant le tour d’un bosquet appelé "Le Bois de Lige aux Sarts".
Les hauteurs méridionales de la confluence Ourthe-Amblève recèlent quelques villages très agréables à traverser : Aisne, Villers-Sainte-Gertrude, Izier, Ferrières, la Rouge Minière et Awan, le tout dans un bel équilibre de champs, de prés et de bois.
Mais bon, le relief est relativement accidenté, néanmoins sans raideurs excessives, et la longueur est là : 25 km, quand même ! Ce qui en fait une balade plus sportive. Le principe de gare à gare vous permet de garer la voiture, aller en train au point de départ et revenir vers l’auto après une bonne dégustation dans cette petite ville touristique très gastronomique qu’est Aywaille !
Cet endroit a ceci de particulier de se situer au creux d’un vaste massif forestier aux abords de la Lienne.
Pour ceux qui apprécient d’aller parfois dans un endroit très rustique, à peine habité et presqu’isolé du temps, ce petit coin autour des villages de Trou de Bra, Grand Heid et Derrière les Thiers fera pas mal l’affaire.
On monte ici sur la colline des Cent Verges, au nord-est de la confluence entre le Mierdeux avec la Lienne.
On atteint au-dessus le hameau de Grand Heid puis on redescend vers ce ruisseau jusqu’à Derrière les Thiers, où il n’y a plus qu’à le suivre jusqu’au point de départ, au cours d’une petite boucle de 5 km.
Un barbecue couvert avec plusieurs tables de pique-nique dans un parc situé le long de la voirie bordant la Réserve Naturelle de la Picherotte.
Une table de pique-nique le long du Ravel proche du rocher surplombant l’Ourthe.
Une table de pique-nique au centre du hameau.
Drôle de toponyme, qui identifie en fait une partie du bois qui se situe au nord du hameau de Hoursinne.
On retrouve la racine "chera" dans bien d’autres toponymes de la région et notamment dans Cheratte. En wallon, on dit "tchèrå" et cela signifie une voie charretière.
Dans notre cas, il s’agit d’un massif boisé typiquement ardennais dans une région feutrée, entre Deux Rys et Hoursinne.
Un itinéraire pas bien long et raisonnablement déclive tournant autour de Deux Rys, dans la partie est du village, à la confluence des ruisseaux l’Ai-l’Oiseau et du Ruisseau del Heid.
Une zone de barbecue avec des tables de pique-nique.
Une table de pique-nique sous les tilleuls, en sortie du village.
Cette aire de barbecue couverte du Syndicat d’Initiative de Harzé est utilisable SUR RÉSERVATION.
Il est nécessaire d’aller chercher et de ramener les grilles.
Une caution peut être demandée pour leur prêt.
Une ferme pédagogique équestre, élevage de pures races espagnoles, hébergement pour chevaux. Leçons, stages, équitation adaptée,...
La plus petite ville du monde.
Ce titre, devenu slogan touristique, a été octroyé dans une charte des franchises par le Roi Jean de Bohème, comte de Luxembourg en 1331.
Un musée qui fut inauguré en 1933 sous le nom de "Musée de Comblain-au-Pont".
En raison de l’importance de ses collections, il fut rebaptisé le 14 février 1961 en "Musée Ourthe-Amblève" et le 15 février 1977, il devint un musée communal.
Petit barbecue aménagé à l’emplacement de l’ancienne gare de Saint-Roch (Xhoris).
Une plaine de jeux au cœur de l’accueillant Parc Biron.
Dans la toujours aussi sereine région de Ferrières mais cette fois au nord de la N66 qui relie Trois-Ponts à Hamoir, cette balade vous propose de faire le tour d’un beau massif forestier, dans lequel se cache un château datant du 18è siècle : le Bois de Bernardfagne.
L’itinéraire n’est pas que boisé puisqu’il se déroule en grande partie le long de l’orée de ce bois. Ceci laisse place à de nombreux moments à des paysages à la fois ouverts mais feutrés. Il passe également à travers de beaux hameaux et villages comme La Rouge Minière, point de départ près de la chapelle de la Vierge des Pauvres, puis Saint-Roch avec son école sertie au milieu de la forêt.
On déborde également un peu sur la commune d’Aywaille avec le hameau de La Levée, suivi du village d’Ernonheid.
On traverse alors la forêt pour partir à la découverte du Château de Grimonster, avant de rejoindre notre point de départ, après une boucle relativement vallonnée de 9 km.
L’extrême est de la commune de Durbuy réserve encore de belles surprises, comme ce village perché sur les hauteurs de l’Aisne : Villers-Sainte-Gertrude.
Ce village assez dynamique attire pas mal de touristes, non seulement pour son domaine avec un grand parc ; en effet, celui-ci comporte plusieurs gîtes d’étape autour de la Ferme-Château, mais aussi pour son très bel environnement boisé d’une part et agricole de l’autre. Bref, une variété de paysages à la fois intimistes ou panoramiques.
C’est cet environnement très agréable que nous vous invitons à côtoyer, en battant la campagne jusqu’au village d’Ozo et son menhir et en flirtant avec un affluent de l’Aisne bien pittoresque : le Ruisseau de Pont-le-Prêtre.