Une ferme pédagogique équestre, élevage de pures races espagnoles, hébergement pour chevaux. Leçons, stages, équitation adaptée,...
Haut-lieu de la chiroptérologie.
Programmes d’initiation à la nature.
Etude approfondie et scientifique de l’animal en milieu naturel.
Depuis la célèbre et pittoresque plus petite ville du monde, le but de cette balade est de flâner le long de l’Ourthe sur le Ravel en direction de Barvaux, puis de remonter via le village de Bohon, sur les hauteurs de la petite ville afin de pouvoir l’admirer d’en haut et enfin d’y redescendre pour explorer ses belles ruelles pavées.
Au passage, ne manquez pas d’admirer l’Anticlinal de Durbuy (ou Rocher d’Omalius), un rocher qui d’un point de vue géologique est assez exceptionnel, celui-ci ayant la particularité d’être en forme de U inversé, grâce à une sédimentation marine qui s’est faite progressivement au gré de la dérive des continents, et datant d’environ 300 millions d’années.
Centre de séminaires résidentiels.
Dans le cadre exceptionnel des anciennes dépendances du Château de Harzé (16è), le musée vous invite à suivre toute l’aventure du pain.
La plus petite ville du monde.
Ce titre, devenu slogan touristique, a été octroyé dans une charte des franchises par le Roi Jean de Bohème, comte de Luxembourg en 1331.
Cette balade est l’occasion de découvrir un magnifique panorama sur la région d’Ourthe-Amblève, qui s’étend jusqu’au CHU du Sart Tilman.
Lors de l’itinéraire, une belle table d’orientation explicite les lieux visibles. En contrebas, une table de pique-nique vous attend pour vous ravitailler.
Ensuite, on remonte dans le Bois Mahousseux, un massif forestier assez calme qui augure un peu la profonde Ardenne puisqu’au-delà, vers le sud, on aboutit déjà dans la région de Ferrières.
Mais nous n’irons pas si loin : à hauteur de la Croix Saint-Christophe, on prend à nouveau le cap sud-est/nord-est pour rejoindre notre point de départ, près d’un mémorial américain : le Monument américain du Pouhon.
Une table de pique-nique situé près d’un petit pont sur la Lienne, en rive droite de la rivière.
Ce centre d’exposition présente 50 bioramas en 7 thèmes pédagogiques notamment sur la campagne, le bois, le bord de l’eau, la migration, la gestion du patrimoine naturel, l’incidence humaine, flore et faune, etc.
Cette balade vous propose de découvrir la très paisible région située entre Ferrières et Harre. Le mix est équilibré entre le bois, les prés, les vergers et les zones habitées. Plus précisément, ces dernières tournent essentiellement autour de Burnontige (photo : Chapelle Sainte-Barbe) qui étale ses petites ruelles jusqu’à la lisière des agréables bois environnants.
Petit barbecue aménagé à l’emplacement de l’ancienne gare de Saint-Roch (Xhoris).
Le Mahoûsseux, c’est ce grand bois qui s’étend entre Ferrières et Aywaille.
Il est plutôt agréable à parcourir, avec ses essences d’arbres relativement variées, bien que certains chemins soient parfois boueux en hiver.
Mais cette portion-ci se déroule généralement sur de beaux chemins. Ils permettent d’entrevoir de beaux paysages à la lisière sud, côté Ernonheid et à la lisière nord, côté Harzé, où le large panorama s’étend jusqu’au CHU de Liège.
Le départ se fait près d’un grand site de barbecue, non loin de la chapelle. La balade peut donc se faire lors de l’organisation d’un bon repas dans cette très belle clairière. Attention cependant que celui-ci n’est accessible que sur réservation.
Ce château étale d’imposantes ruines, témoignage de l’architecture médiévale militaire, comportant de nombreux vestiges d’époque.
La jonction entre ces deux vallées promet de magnifiques surprises !
A commencer par le bel aménagement entre Aywaille et Remouchamps, le long de l’Amblève via le Parc d’Aywaille.
Puis après le viaduc de Remouchamps arrive la belle campagne qui court-circuite le long méandre de l’Amblève du Val du Promontoire avec le Tilleul du pendu.
Ensuite, ô merveille : le Ninglinspo, que l’on remonte par le chemin principal jusqu’à la superbe charmille du Haut Marais.
Suit alors la campagne entre Vertbuisson et Winamplanche où l’on traverse la Réserve naturelle de Banoyard et le Thier d’Aihé -avec de beaux panoramas- avant de descendre vers l’Eau Rouge. Pas celle de Francorchamps mais bien celle de Winamplanche.
Le Chemin de la Vecqueterre nous ramène enfin à Spa et plus loin au Parc des 7 heures via le Chemin des Français, par derrière la ville pour éviter la grande Avenue reine Astrid.
Voici une balade riche en éléments tant naturels que culturels mais pas forcément facile car les reliefs autour de l’Ourthe et de son confluent, la Lembrée, sont relativement bien marqués.
C’est souvent synonyme de beaux panoramas et rien que pour cela, moyennement un brin de sportivité dans les côtes, elle en vaut certainement la peine.
D’autant qu’elle démarre au très attractif Domaine de Palogne, qui offre pas mal d’infrastructures touristiques et qui justifie une journée entière si l’on souhaite s’adonner aux activités qu’il propose : brasserie, kayak, mini-golf, sans oublier bien entendu le Château-fort de Logne, l’objet principal de cette balade !
Après l’avoir rejoint après un petit kilomètre, on se dirige vers le village de Vieuxville par la rive gauche de la Lembrée, que l’on traverse à Vieuxville.
Ensuite, retour au point de départ par une zone assez boisée, cette fois sur les hauteurs de la rive droite de la Lembrée.
Une table de pique-nique au cœur du petit village.
Cette randonnée est vraiment typique de l’Ardenne profonde, même si le tracé se situe encore relativement au nord.
Mais tous les ingrédients sont réunis : de vastes forêts comme le Bois de Bernardfagne, le Bois du Pouhon (côté Ferrières), le Bois des Fagnes après Paradis puis les Bois de la Sûreté, de Plein Fays et de Mambaye (côté Spa).
Les ruisseaux et rivières aussi : la Lembrée à Ferrières, le Ruisseau du Pouhon à la Chapelle Sainte-Anne, la Lienne et l’Amblève à Targnon et le Wayai à Spa.
Et enfin, les villages et hameaux entourés de tous ces bois : Rouge-Minière, La Levée, Pouhon, Paradis, Lorcé, Targnon, Monthouet...
Comme vous l’aurez compris, il y en a pour tous les goûts au cours de cette rando mais il faudra être un brin sportif : outre la longueur (30 km), le dénivellé joue un peu les montagnes russes, surtout après l’Amblève qui a tout de même bien creusé !
Comblain-au-Pont est décidément entourée de falaises très rocheuses. A l’est se développent les fameuses Tartines et au nord du patelin, ce sont les Roches Noires.
Pour les atteindre, il va falloir faire l’effort au départ pour grimper sur la colline qui surplombe l’Ourthe. Et pour ce faire, nous allons monter par cette fameuse tour qui domine Comblain-au-Pont : la Tour Saint-Martin.
C’est environ 1 km plus loin en gardant le cap nord que l’on rejoint le massif rocheux qui fait l’objet de cette balade.
Histoire de revenir par un autre côté, et de rester sur le thème des rochers, nousa llons redescendre dans la vallée par le pic Napoléon, un peu plus à l’est, avant d’atteindre l’Ourthe et le Pont de Scay.
Juste après avoir traversé l’Ourthe, pour revenir au point de départ, il suffit de longer la rive droite de l’Ourthe vers l’amont, qui nous ramène au centre après avoir à nouveau traversé l’Ourthe au niveau du Pont de Comblain-au-Pont.
Finalement une balade pas trop longue… mais riche en découvertes !
Barbecue couvert.
Se situe à proximité de la pompe-abreuvoir et du tunnel sous voirie.
Une table de pique-nique le long du Ravel en contrebas du Chemin touristique de Durbuy.
Un vrai ranch américain tout en bois, agréable saloon style country et un ruisseau qui traverse la prairie.
Il comporte saloon et joue de la musique country. Petit déjeuner, snacks, repas. Nuitée en
Aire de pique-nique installée le long de la Route des Minières.
Cette tour offre un très beau panorama sur la ville. Elle est accessible en parallèle avec le petit train touristique de la ville.
Une plaine de jeux à l’écart de la circulation au nord du village.
Le Rocher de la Cathédrale, le Rocher de Nandouire, la Vau aux Corneilles... Voilà tous noms qui en disent long sur la pente très abrupte qui sépare les hauteurs de Sy et l’Ourthe.
Mais rassurez-vous, il ne s’agit pas d’escalade, quoique bien des sportifs de la pratique viennent s’y essayer ici, mais bien d’une balade sur les balcons surplombants ces rochers, qui offrent bien entendu de somptueux panoramas sur la rivière.
Attention toutefois de bien rester sur les sentiers. Si ces derniers sont sans aucun danger, la falaise reste proche et parfois très abrupte.
Une fois quitté la zone, l’itinéraire se dirige vers la Croix du Curé. Impressionnante avec son crâne gravé et son histoire liée, surtout dans un bois où règne une certaine pénombre.
Ensuite le paysage s’ouvre l’espace d’un moment pour découvrir le beau Château de Lassus un peu en amont de Hamoir.
Puis il revient au point de départ en longeant l’Ourthe, cette fois en contrebas de nouvelles crêtes rocheuses. On en a décidément plein la vue, à Sy ! Si ! Si !
L’extrême est de la commune de Durbuy réserve encore de belles surprises, comme ce village perché sur les hauteurs de l’Aisne : Villers-Sainte-Gertrude.
Ce village assez dynamique attire pas mal de touristes, non seulement pour son domaine avec un grand parc ; en effet, celui-ci comporte plusieurs gîtes d’étape autour de la Ferme-Château, mais aussi pour son très bel environnement boisé d’une part et agricole de l’autre. Bref, une variété de paysages à la fois intimistes ou panoramiques.
C’est cet environnement très agréable que nous vous invitons à côtoyer, en battant la campagne jusqu’au village d’Ozo et son menhir et en flirtant avec un affluent de l’Aisne bien pittoresque : le Ruisseau de Pont-le-Prêtre.
Cette collection de plus de 250 buis taillés en forme d’animaux ou de personnages sur une superficie de 10 000 m².
Ce barbecue sous abri, dans le cadre de beaux aménagements, se situe à l’écart du village sur la très conviviale Place du Ri de Loon.
Une plaine de jeux le long de l’Ourthe.
Cette balade vous propose une promenade sur les hauteurs occidentales d’Aywaille.
Pour observer la ville d’en haut, depuis un beau panorama, rien de tel que se rendre à la Croix de Septroux, qui domine avantageusement la vallée de l’Amblève.
Cette balade débute dans le hameau de Chambralles, se dirige vers le hameau de Septroux.
Elle atteint ensuite la fameuse croix puis revient à Chambralles par la Route de Hoyemont, qu’elle effleure légèrement.
Une table de pique-nique proche du dolmen nord de Wéris, située juste de l’autre côté de la route.
Une table de pique-nique au sein d’un sentier qui grimpe vers la tour.
Pour les nostalgiques des anciennes photos de villages, qui déplorent la détérioration progressive de leur charme par une certaine forme de modernité, venez vite ici à Ferrières ! Ce village a su garder en de nombreux endroits un caractère particulièrement authentique, bien aidé par sa position à l’écart de la voie principale située à un kilomètre de la petite place arborée.
Il est rare de trouver autant de ruelles avec des maisons qui recèlent un tel caractère. Les habitants, par leurs aménagements, parfois dans certains détails, démontrent leur attachement à leur village si charmant.
Pour encore y ajouter, un nombre de sentiers pittoresques plus élevés que la moyenne, soit à travers champs, soit entre deux haies, soit encore constitués de petits escaliers, jalonnent les environs campagnards du village. De surcroît, ils sont rehaussés par une multitude d’anciens petits panneaux toponymiques, que l’on aimerait voir fleurir partout ailleurs, tant cela donne de la convivialité lorsque l’on s’y promène.
La variété des paysages y est pour beaucoup : de champs en bosquets, de prés en forêt, le tout se déroule dans des petits endroits arborés où serpentent ces chemins et sentiers.
Ici, on va prendre un peu de hauteur afin d’admirer le village d’en-haut : le Nokar. Un point de vue y cotoie une zone de barbecue.
On revient alors vers le village en passant par les hameaux de Ferrières aux connotations elles aussi bien pittoresques : Le Houpet, Lognoul et la Fontaine. Toujours parmi les maisons disséminées dans la campagne et les bosquets qui les entourent.
Sur une petite aire ombragée sous les sapins, deux tables de piques accueillantes au niveau de la résurgence de la Lembrée.
Pour un peu changer des boucles, cette promenade profite de la proximité des gares de Sy et de Hamoir sur la ligne ferroviaire 43 pour monter sur une belle petite crête de l’Ourthe, admirer un très beau panorama et redescendre dans cette petite ville touristique animée qu’est Hamoir, où il est bien agréable de s’y restaurer !
Une table de pique-nique située juste derrière l’administration communale.
Une aire de barbecue assez vaste avec plusieurs tables de pique-nique le long du Ruisseau de l’Ai-l’Oiseau.
Une balade bien agréable au large du village de Harre, aménagée depuis peu, autour du Château et du Moulin de Harre dans le très beau Bois de Harre. Elle s’étend sur les hauteurs septentrionales du Ruisseau de l’Ai-l’Oiseau, un petit affluent de l’Aisne.
L’érosion occasionnée par ces deux rivières, dans une région où le calcaire est très présent, appelée dans son ensemble la Calestienne, laisse parfois quelques belles découvertes, comme cette grotte située non loin de Bomal, point de ralliement de cette balade.
Après cette grotte proche de l’Aisne, confluent qui termine son parcours à Bomal dans l’Ourthe, on remonte vers le village d’Ozo, où un menhir parmi toute une ligne d’autres vestiges préhistoriques dans la région (essentiellement celle de Wéris), témoigne de la présence humaine au néolithique, lorsque les hommes commencèrent à devenir plus sédentaires.
Il est à présent temps de redescendre vers le point de départ, en direction de l’Ourthe, sans oublier la Chapelle Saint-Rahi sur le passage de cet itinéraire, qui se termine après 9 km.
Cette balade vous invite à faire le tour d’un domaine situé sur les hauteurs orientales de l’Ourthe, non loin de Barvaux, qui fait la part belle à la flore locale : environ 700 espèces de plantes et arbres différentes (la moitié de la flore belge !) vous y attendent dans un cadre majoritairement boisé, dont de majestueux hêtres.
La faune n’est pas en reste avec de nombreux insectes, mammifères, reptiles et batraciens.
On y organise également des expositions et des bioramas sur la biodiversité des Ardennes.
Manège équestre et location de boxes.
Cette attraction consiste en un labyrinthe géant formé par des plants de maïs.
Le thème change chaque année et des animateurs-acteurs jalonnent le parcours en fonction de celui-ci.
Cet endroit a ceci de particulier de se situer au creux d’un vaste massif forestier aux abords de la Lienne.
Pour ceux qui apprécient d’aller parfois dans un endroit très rustique, à peine habité et presqu’isolé du temps, ce petit coin autour des villages de Trou de Bra, Grand Heid et Derrière les Thiers fera pas mal l’affaire.
On monte ici sur la colline des Cent Verges, au nord-est de la confluence entre le Mierdeux avec la Lienne.
On atteint au-dessus le hameau de Grand Heid puis on redescend vers ce ruisseau jusqu’à Derrière les Thiers, où il n’y a plus qu’à le suivre jusqu’au point de départ, au cours d’une petite boucle de 5 km.
Ce barbecue ouvert à tous est situé au coeur du parc du Château de Biron. Il appartient au domaine communal.
Une table de pique-nique sur la place dédiée aux événements de la seconde guerre mondiale.
Depuis ce lieu de ravitaillement en pleine nature, situé sur la petite route qui joint Burnontige à Ferrières, voici l’occasion de digérer son bon repas en faisant le tour d’un bosquet appelé "Le Bois de Lige aux Sarts".
Une table de pique-nique le long du Ravel.
Constitué grâce à la générosité des habitants de Xhoris, ce musée a été inauguré le 21 décembre 1975 dans la maison qui était autrefois la maison communale de Xhoris, avant la fusion des commune.