Promenade dans une ambiance rurale aux confins méridionaux de la commune d’Aywaille, elle débute à la chapelle Sainte-Anne, petit sanctuaire caché dans les bois au sud du massif du Mahousseux.
On gagne ensuite les essarts qui s’ouvrent en direction d’Ernonheid. Là, on y rencontre les hameaux de La Levée et de Faweux, avec son château-ferme où règne le calme de la campagne aqualienne.
Bref, une promenade bien reposante, qui s’articule autour du Ruisseau du Pouhon.
Une balançoire avec un toboggan et une balançoire, avec des bancs et une table de pique-nique.
Ce centre d’exposition présente 50 bioramas en 7 thèmes pédagogiques notamment sur la campagne, le bois, le bord de l’eau, la migration, la gestion du patrimoine naturel, l’incidence humaine, flore et faune, etc.
Les hauteurs méridionales de la confluence Ourthe-Amblève recèlent quelques villages très agréables à traverser : Aisne, Villers-Sainte-Gertrude, Izier, Ferrières, la Rouge Minière et Awan, le tout dans un bel équilibre de champs, de prés et de bois.
Mais bon, le relief est relativement accidenté, néanmoins sans raideurs excessives, et la longueur est là : 25 km, quand même ! Ce qui en fait une balade plus sportive. Le principe de gare à gare vous permet de garer la voiture, aller en train au point de départ et revenir vers l’auto après une bonne dégustation dans cette petite ville touristique très gastronomique qu’est Aywaille !
Un musée qui fut inauguré en 1933 sous le nom de "Musée de Comblain-au-Pont".
En raison de l’importance de ses collections, il fut rebaptisé le 14 février 1961 en "Musée Ourthe-Amblève" et le 15 février 1977, il devint un musée communal.
Le Mahoûsseux, c’est ce grand bois qui s’étend entre Ferrières et Aywaille.
Il est plutôt agréable à parcourir, avec ses essences d’arbres relativement variées, bien que certains chemins soient parfois boueux en hiver.
Mais cette portion-ci se déroule généralement sur de beaux chemins. Ils permettent d’entrevoir de beaux paysages à la lisière sud, côté Ernonheid et à la lisière nord, côté Harzé, où le large panorama s’étend jusqu’au CHU de Liège.
Le départ se fait près d’un grand site de barbecue, non loin de la chapelle. La balade peut donc se faire lors de l’organisation d’un bon repas dans cette très belle clairière. Attention cependant que celui-ci n’est accessible que sur réservation.
Quelques tables de pique-nique en métal, peintes en rouge, juste derrière la halte de Comblain-la-Tour.
Une table de pique-nique au cœur du petit village.
Un vrai ranch américain tout en bois, agréable saloon style country et un ruisseau qui traverse la prairie.
Il comporte saloon et joue de la musique country. Petit déjeuner, snacks, repas. Nuitée en
Cette ferme en moellons de grès et calcaire datant principalement du 18è siècle a été acquise par la Province de Liège et est à présent un centre récréatif.
Cette balade est l’occasion de découvrir un magnifique panorama sur la région d’Ourthe-Amblève, qui s’étend jusqu’au CHU du Sart Tilman.
Lors de l’itinéraire, une belle table d’orientation explicite les lieux visibles. En contrebas, une table de pique-nique vous attend pour vous ravitailler.
Ensuite, on remonte dans le Bois Mahousseux, un massif forestier assez calme qui augure un peu la profonde Ardenne puisqu’au-delà, vers le sud, on aboutit déjà dans la région de Ferrières.
Mais nous n’irons pas si loin : à hauteur de la Croix Saint-Christophe, on prend à nouveau le cap sud-est/nord-est pour rejoindre notre point de départ, près d’un mémorial américain : le Monument américain du Pouhon.
Barbecue avec banc et table pour profiter d'un beau paysage environnant.
Une table de pique-nique sur la place dédiée aux événements de la seconde guerre mondiale.
Une plaine de jeux au cœur de l’accueillant Parc Biron.
Une table de pique-nique le long du Ravel proche du rocher surplombant l’Ourthe.
Une plaine de jeux à l’écart de la circulation au nord du village.
Comblain-au-Pont est décidément entourée de falaises très rocheuses. A l’est se développent les fameuses Tartines et au nord du patelin, ce sont les Roches Noires.
Pour les atteindre, il va falloir faire l’effort au départ pour grimper sur la colline qui surplombe l’Ourthe. Et pour ce faire, nous allons monter par cette fameuse tour qui domine Comblain-au-Pont : la Tour Saint-Martin.
C’est environ 1 km plus loin en gardant le cap nord que l’on rejoint le massif rocheux qui fait l’objet de cette balade.
Histoire de revenir par un autre côté, et de rester sur le thème des rochers, nousa llons redescendre dans la vallée par le pic Napoléon, un peu plus à l’est, avant d’atteindre l’Ourthe et le Pont de Scay.
Juste après avoir traversé l’Ourthe, pour revenir au point de départ, il suffit de longer la rive droite de l’Ourthe vers l’amont, qui nous ramène au centre après avoir à nouveau traversé l’Ourthe au niveau du Pont de Comblain-au-Pont.
Finalement une balade pas trop longue… mais riche en découvertes !
Cette attraction consiste en un labyrinthe géant formé par des plants de maïs.
Le thème change chaque année et des animateurs-acteurs jalonnent le parcours en fonction de celui-ci.
Depuis ce lieu de ravitaillement en pleine nature, situé sur la petite route qui joint Burnontige à Ferrières, voici l’occasion de digérer son bon repas en faisant le tour d’un bosquet appelé "Le Bois de Lige aux Sarts".
L’extrême est de la commune de Durbuy réserve encore de belles surprises, comme ce village perché sur les hauteurs de l’Aisne : Villers-Sainte-Gertrude.
Ce village assez dynamique attire pas mal de touristes, non seulement pour son domaine avec un grand parc ; en effet, celui-ci comporte plusieurs gîtes d’étape autour de la Ferme-Château, mais aussi pour son très bel environnement boisé d’une part et agricole de l’autre. Bref, une variété de paysages à la fois intimistes ou panoramiques.
C’est cet environnement très agréable que nous vous invitons à côtoyer, en battant la campagne jusqu’au village d’Ozo et son menhir et en flirtant avec un affluent de l’Aisne bien pittoresque : le Ruisseau de Pont-le-Prêtre.
Un barbecue public en retrait de la route, avec plusieurs tables de pique-nique.
Une plaine de jeux le long de l’Ourthe.
Une aire de barbecue assez vaste avec plusieurs tables de pique-nique le long du Ruisseau de l’Ai-l’Oiseau.
Un barbecue couvert avec plusieurs tables de pique-nique dans un parc situé le long de la voirie bordant la Réserve Naturelle de la Picherotte.
Cette balade part d’un petit trou perdu en val de Lienne mais ô combien pittoresque !
Elle monte sur le versant ouest à Sur le Thier, où l’on peut rencontrer un beau chêne classé, en direction du hameau de Monchenoûle, où l’on va flirter avec sa clairière, avant de revenir vers le point de départ duquel il reste encore 2 km à parcourir.
Une table de pique-nique le long du Ravel.
La plus petite ville du monde.
Ce titre, devenu slogan touristique, a été octroyé dans une charte des franchises par le Roi Jean de Bohème, comte de Luxembourg en 1331.
Voici une balade riche en éléments tant naturels que culturels mais pas forcément facile car les reliefs autour de l’Ourthe et de son confluent, la Lembrée, sont relativement bien marqués.
C’est souvent synonyme de beaux panoramas et rien que pour cela, moyennement un brin de sportivité dans les côtes, elle en vaut certainement la peine.
D’autant qu’elle démarre au très attractif Domaine de Palogne, qui offre pas mal d’infrastructures touristiques et qui justifie une journée entière si l’on souhaite s’adonner aux activités qu’il propose : brasserie, kayak, mini-golf, sans oublier bien entendu le Château-fort de Logne, l’objet principal de cette balade !
Après l’avoir rejoint après un petit kilomètre, on se dirige vers le village de Vieuxville par la rive gauche de la Lembrée, que l’on traverse à Vieuxville.
Ensuite, retour au point de départ par une zone assez boisée, cette fois sur les hauteurs de la rive droite de la Lembrée.
Dans le cadre exceptionnel des anciennes dépendances du Château de Harzé (16è), le musée vous invite à suivre toute l’aventure du pain.
Manège équestre et location de boxes.
Une table de pique-nique près d’une petite rotonde au pied d’un beau point de vue sur Ferrrières.
Cet endroit a ceci de particulier de se situer au creux d’un vaste massif forestier aux abords de la Lienne.
Pour ceux qui apprécient d’aller parfois dans un endroit très rustique, à peine habité et presqu’isolé du temps, ce petit coin autour des villages de Trou de Bra, Grand Heid et Derrière les Thiers fera pas mal l’affaire.
On monte ici sur la colline des Cent Verges, au nord-est de la confluence entre le Mierdeux avec la Lienne.
On atteint au-dessus le hameau de Grand Heid puis on redescend vers ce ruisseau jusqu’à Derrière les Thiers, où il n’y a plus qu’à le suivre jusqu’au point de départ, au cours d’une petite boucle de 5 km.
Cette piscine tropicale couverte, dont l’eau avoisine les 30°, est agrémentée d’un sauna et d’un jacuzzi.
Aire de pique-nique installée le long de la Route des Minières.
La jonction entre ces deux vallées promet de magnifiques surprises !
A commencer par le bel aménagement entre Aywaille et Remouchamps, le long de l’Amblève via le Parc d’Aywaille.
Puis après le viaduc de Remouchamps arrive la belle campagne qui court-circuite le long méandre de l’Amblève du Val du Promontoire avec le Tilleul du pendu.
Ensuite, ô merveille : le Ninglinspo, que l’on remonte par le chemin principal jusqu’à la superbe charmille du Haut Marais.
Suit alors la campagne entre Vertbuisson et Winamplanche où l’on traverse la Réserve naturelle de Banoyard et le Thier d’Aihé -avec de beaux panoramas- avant de descendre vers l’Eau Rouge. Pas celle de Francorchamps mais bien celle de Winamplanche.
Le Chemin de la Vecqueterre nous ramène enfin à Spa et plus loin au Parc des 7 heures via le Chemin des Français, par derrière la ville pour éviter la grande Avenue reine Astrid.
Les gares et haltes de la ligne 43 Rivage - Marloie sont, juste après sa séparation de la ligne 42 (Rivage - Gouvy), assez rapprochées.
C’est l’occasion d’en profiter pour prévoir plein de petites balades de gare à gare assez sympas le long de l’Ourthe.
Naturellement, il ne faut pas avoir peur de grimper un peu car l’Ourthe est engoncée dans une vallée relativement profonde. Et au début, accrochez-vous, c’est raide, surtout la toute première partie jusqu’à Lawé, un hameau d’une tranquillité totale.
Mais comme toujours, cet effort permet de découvrir, en prenant un peu de hauteur, des paysages magnifiques car l’entourage de la rivière est souvent fait d’un mélange de villages, de prés et de forêts, voire de rochers majestueux.
Celle-ci ne manque donc pas à ces aspects, d’autant qu’elle a comme particularité qu’il s’agit du point de rencontre de l’Amblève avec l’Ourthe, ce qui donne une configuration orographique d’autant plus intéressante !
Après avoir gagné le charmant et rustique village d’Oneux, on aboutit après la traversée de prés très sereins, à un escarpement rocheux particulier appelé, les Tartines. De par leur forme, ces rochers portent plutôt bien leur nom mais à cause de leur proximité, on ne pourra pas le constater lors de cette balade. Il vaut mieux pour cela prendre du recul lors d’une autre balade côté Comblain-au-Pont. Le sentier serpente jusque dans la vallée.
Il ne reste plus qu’à se laisser descendre vers l’arrivée. En bas, on peut trouver quelques points de ravitaillement.
Après avoir traversé l’Amblève au Pont de Liotte, la gare de Rivage apparaît un peu plus loin.
Une zone de barbecue avec des tables de pique-nique.
Pour un peu changer des boucles, cette promenade profite de la proximité des gares de Sy et de Hamoir sur la ligne ferroviaire 43 pour monter sur une belle petite crête de l’Ourthe, admirer un très beau panorama et redescendre dans cette petite ville touristique animée qu’est Hamoir, où il est bien agréable de s’y restaurer !
Une table de pique-nique située juste derrière l’administration communale.
Pour les nostalgiques des anciennes photos de villages, qui déplorent la détérioration progressive de leur charme par une certaine forme de modernité, venez vite ici à Ferrières ! Ce village a su garder en de nombreux endroits un caractère particulièrement authentique, bien aidé par sa position à l’écart de la voie principale située à un kilomètre de la petite place arborée.
Il est rare de trouver autant de ruelles avec des maisons qui recèlent un tel caractère. Les habitants, par leurs aménagements, parfois dans certains détails, démontrent leur attachement à leur village si charmant.
Pour encore y ajouter, un nombre de sentiers pittoresques plus élevés que la moyenne, soit à travers champs, soit entre deux haies, soit encore constitués de petits escaliers, jalonnent les environs campagnards du village. De surcroît, ils sont rehaussés par une multitude d’anciens petits panneaux toponymiques, que l’on aimerait voir fleurir partout ailleurs, tant cela donne de la convivialité lorsque l’on s’y promène.
La variété des paysages y est pour beaucoup : de champs en bosquets, de prés en forêt, le tout se déroule dans des petits endroits arborés où serpentent ces chemins et sentiers.
Ici, on va prendre un peu de hauteur afin d’admirer le village d’en-haut : le Nokar. Un point de vue y cotoie une zone de barbecue.
On revient alors vers le village en passant par les hameaux de Ferrières aux connotations elles aussi bien pittoresques : Le Houpet, Lognoul et la Fontaine. Toujours parmi les maisons disséminées dans la campagne et les bosquets qui les entourent.
Constitué grâce à la générosité des habitants de Xhoris, ce musée a été inauguré le 21 décembre 1975 dans la maison qui était autrefois la maison communale de Xhoris, avant la fusion des commune.
Une plaine de jeux dans le vaste parc arboré du domaine.
Cette aire de barbecue couverte du Syndicat d’Initiative de Harzé est utilisable SUR RÉSERVATION.
Il est nécessaire d’aller chercher et de ramener les grilles.
Une caution peut être demandée pour leur prêt.
Cette randonnée est vraiment typique de l’Ardenne profonde, même si le tracé se situe encore relativement au nord.
Mais tous les ingrédients sont réunis : de vastes forêts comme le Bois de Bernardfagne, le Bois du Pouhon (côté Ferrières), le Bois des Fagnes après Paradis puis les Bois de la Sûreté, de Plein Fays et de Mambaye (côté Spa).
Les ruisseaux et rivières aussi : la Lembrée à Ferrières, le Ruisseau du Pouhon à la Chapelle Sainte-Anne, la Lienne et l’Amblève à Targnon et le Wayai à Spa.
Et enfin, les villages et hameaux entourés de tous ces bois : Rouge-Minière, La Levée, Pouhon, Paradis, Lorcé, Targnon, Monthouet...
Comme vous l’aurez compris, il y en a pour tous les goûts au cours de cette rando mais il faudra être un brin sportif : outre la longueur (30 km), le dénivellé joue un peu les montagnes russes, surtout après l’Amblève qui a tout de même bien creusé !
Le Ninglinspo, petit affluent de l’Amblève est vraiment une très belle surprise. Rien qu’à regarder la carte, on comprend tout de suite que ce parcours est jalonné d’une foule de petites curiosités qui rendent cette promenade si pittoresque. Mais c’est évidemment la nature de ce vallon grandiose qui pose le décor : rochers, cascades, ponceaux pédestres. Rien ne manque à l’appel pour égayer cette contrée. Sans oublier toutes ces cuves creusées par la rivière qui sont comme des baignoires naturelles et qui ne manquent pas d’attirer les amateurs de jeux d’eaux en été ! C’est le tour de ces "bains", aux noms plus romantiques les uns que les autres, que vous propose de découvrir cette balade !
Au nord comme à l’est de Comblain-au-Pont, on peut admirer de superbes panoramas sur cette ville qui tire d’ailleurs son nom du mot "confluence", où effectivement l’Amblève se jette dans l’Ourthe.
C’est le versant oriental qui fait l’objet de cette balade pas trop longue (5 km) mais il faudra donc prendre un peu de hauteur -et c’est là la petite difficulté du trajet- pour profiter de la superbe vue qui s’offre au sommet du massif rocheux du Thier Pirard.
Au-dessus, on découvre le village d’Oneux, avant de redescendre par un sentier en zigzags le long de ces fameuses tartines surplombant l’Ourthe en rive droite.
" Je veux une pareille de Nutella ! "
En contrebas, on atteint la route principale qui mène à Aywaille avant de reprendre le Ravel pour rejoindre le point de départ, en traversant à nouveau le fameux pont de Comblain.
Drôle de toponyme, qui identifie en fait une partie du bois qui se situe au nord du hameau de Hoursinne.
On retrouve la racine "chera" dans bien d’autres toponymes de la région et notamment dans Cheratte. En wallon, on dit "tchèrå" et cela signifie une voie charretière.
Dans notre cas, il s’agit d’un massif boisé typiquement ardennais dans une région feutrée, entre Deux Rys et Hoursinne.
Un itinéraire pas bien long et raisonnablement déclive tournant autour de Deux Rys, dans la partie est du village, à la confluence des ruisseaux l’Ai-l’Oiseau et du Ruisseau del Heid.