Habay
11.95
Petite chapelle à l’orée du bois en souvenir des victimes de l’épidémie de peste de 1636. Elle fait l’objet d’un culte à la Vierge, consolatrice des affligés.
2 maisons habitées subsistent à Saint-Vincent. Les morts sont enterrés le long d’un bois de chênes d’où l’apparition de l’appelation "Chenois". Une niche avec une statuette de la Vierge est placée à cet endroit en souvenir des défunts.
La nef est à 3 pans.
La baie d’entrée est millésimée 1837
La grille en fer forgé (1950)
Un pélérinage annuel des paroissiens de Saint-Vincent a lieu le 5è dimanche après Pâques.
A l’intérieur, le plafond est à voussure avec deux baies en plein cintre encadrent le choeur.
1636 Une épidémie de peste ravage le Luxembourg.
Révolution française La statuette est détruite. Elle est alors remplacée.
1837 La paroisse érige un petit sanctuaire destiné à protéger la statuette de la Vierge.
1838 La chapelle est inaugurée.
1934 La chapelle est restaurée.
1938 La chapelle est agrandie.
Une petite chapelle de style-néogothique en pierre de France, surmontée d’un clocheton.
Cette chapelle également dédiée à Saint-Hubert a été classée par la Commission Royale des Monuments sites et fouilles avec ses 3 tilleuls le 6 juin 1984.
Cette chapelle, située en bordure de la forêt d’Anlier, est connue pour sa procession annuelle.
Elle est l’oeuvre de Claude Charles Gillet et de son épouse Marie-Louise Mousty. La construction a débuté en 1835 et s’est terminée en 1857.
Cet édifice religieux construit par les scouts catholiques de Belgique a été inauguré en 1938. C’était autrefois un lieu de rassemblement pour de nombreux camps.
Selon la tradition populaire, un des comtes de Chiny, Louis Il, victime d’un accident de chasse ou d’une maladie soudaine fut soigné et guéri au presbytère de Rouvroy.
Chapelle de style classique édifiée en 1927.
La nef unique est à 2 travées.
Le choeur est à 3 pans.
Il y a une petite sacristie sur la droite.
Le portail est de style 18è et est surmonté d’une nic
Cette chapelle de style néo-gothique a été construite en 1888. Elle fait partie d’un culte et d’un pèlerinage depuis le 17è siècle. Il est né suite à une série de guerres et d’épidémies, considérant qu’elle protège les habitants du vi
On cite déjà l’existence de l’ermitage du Wachet au 16è siècle. Le premier ermite mentionné est Claude de Habaru. La chapelle quant à elle date du 17è siècle.
Cette chapelle de style néo-gothique (1868) a été construite sur une grand place herbeuse selon les plans de l’architecte Jamot d’Arlon et par l’entrepreneur Feltus de Buzénol.
Cette petite chapelle de style roman date du 17è siècle. Elle est surmontée d’un clocher. Un petit toit surmonte la porte d’entrée. Elle possède un œil-de-boeuf avec une pierre formant un S et une niche avec une statuette de la Vierge.
Cette chapelle a été érigée en 1725.
Elle a été réalisée et financée par les paroissiens eux-mêmes afin de ne plus devoir se rendre aux offices de l’église de Florenville, pour cause d’accès difficile en cas de crue de la Semois.
Cette niche de la Vierge apposée sur un sapin a été restaurée en 1992.