Il s’agit d’une commune française proche de la frontière franco-belge qui comporte presque 3000 habitants. Le village est cité pour la première fois en 1083, en tant que bien de l’Abbaye Maria Munster de Luxembourg.
La ville a été durement affectée par le déclin de la sidérurgie dans tout le bassin de Longwy, au cours des années 1980. Cette décennie fut le théâtre de l’arrêt de la fonderie puis ensuite la tréfilerie (une opération destinée à diminuer le diamètre d’un fil métallique par traction à travers une filière).
De plus petites sociétés se sont alors implantées sans pour autant compenser les pertes industrielles qui faisaient l’essentiel de l’activité à Gorcy.
Néanmoins, perdant peu à peu sa vocation industrielle, la ville a transformé l’ancienne voie ferrée en chemin pédestre, le ruisseau qui traverse la ville, le Coulmy, a été assaini, les berges ont été aménagées et un chemin a été aménagé le long de celui-ci. Les anciens hôpitaux et hôtels des usines ont fait place à des parcs.
Les activités industrielles ont laissé la place à des activités commerciales, artisanales, culturelles et sportives, la transformant en un nouveau pôle attractif.
Cette église en moellons de calcaire a été construite en 1837 sur les plans de l’ architecte Bauchet, de Briey. Elle fut agrandie -transept, chœur et sacristie- en 1896 sur des plans de Lanternier, architecte de Nancy.
Une passerelle piétonne en bois, remplaçant l’ancien pont du chemin de fer qui reliait autrefois Gorcy à Signeulx.
Une grande partie des produits manufacturés dans les usines de Gorcy passaient par ce pont qui acheminaient la marchandise depuis ou vers la Belgique, par un tronçon de 4,7 km.
Cette table de pique-nique se situe sur l’ancienne voie ferrée reliant Signeulx et Gorcy. On y rend hommage à la petite cabane d’Emile Gillard et Fernand Depiesse qui proposait un petit arrêt convivial le long du tracé.
À cheval sur la Belgique et la Fran...