Il s’agit d’une commune française proche de la frontière franco-belge qui comporte presque 3000 habitants. Le village est cité pour la première fois en 1083, en tant que bien de l’Abbaye Maria Munster de Luxembourg.
La balade débute au nord de la ville, au niveau de la Place Saint-Martin, où se situe un petit parking aisément accessible.
Une passerelle piétonne en bois, remplaçant l’ancien pont du chemin de fer qui reliait autrefois Gorcy à Signeulx.
Une grande partie des produits manufacturés dans les usines de Gorcy passaient par ce pont qui acheminaient la marchandise depuis ou vers la Belgique, par un tronçon de 4,7 km.
Cette réserve naturelle privée est à cheval sur la commune de Musson et la commune française de Gorcy.
Elle a été créée en 1968 dans le cadre du programme de protection du busard cendré. Elle a une superficie de 41 ha.
Elle s’étend sur une vaste plaine formée par la confluence de la Vire et du Coulmy, une petite rivière qui prend sa source en amont du village de Vaux-Warnimont, sur la commune de Cosnes-et-Romain.
La qualité de ses eaux s’est considérablement améliorée après la disparition des industries polluantes et de la rénovation de la station d’épuration de Gorcy en 2014.
Elle est gérée par la RNOB Haute-Semois et Meuse.
Autrefois, le marais fournissait du fourrage grâce à un système d’irrigation.
Des mesures ont été prises en 2003 pour empêcher l’assèchement du marais apparu dans les années 1990. Les drains sont bouchés et les débits du ruisseau de Cussigny redistribués permettant une nouvelle inondation printanière du site, qui profite aux papillons et aux oiseaux.
La partie du chemin française emprunte l’ancienne voie ferrée qui reliait Signeulx à Gorcy. Transformée en parcours de découverte, des panneaux permettent d’identifier 24 essences de haies, d’arbres et buissons présentes sur le site.
La partie belge s’effectue sur caillebotis, rénové en 2016 et entièrement refait en 2019. Ces travaux ont légèrement modifié le cours de la rivière en drainant le marais et en irriguant une superficie plus large.
Croisement du Chemin des Mines (l’ancienne voie de chemin de fer) avec le GR 570, quelques pas derrières la frontière côté français.
Ce village gaumais d’un peu plus de 600 habitants s’étend le long de la N88, de la ligne de chemin de fer Athus-Meuse et du ruisseau La Batte, à moins d’un kilomètre de la frontière française (région Lorraine).
Il s’agit d’une commune française proche de la frontière franco-belge qui comporte presque 3000 habitants. Le village est cité pour la première fois en 1083, en tant que bien de l’Abbaye Maria Munster de Luxembourg.
La ville a été durement affectée par le déclin de la sidérurgie dans tout le bassin de Longwy, au cours des années 1980. Cette décennie fut le théâtre de l’arrêt de la fonderie puis ensuite la tréfilerie (une opération destinée à diminuer le diamètre d’un fil métallique par traction à travers une filière).
De plus petites sociétés se sont alors implantées sans pour autant compenser les pertes industrielles qui faisaient l’essentiel de l’activité à Gorcy.
Néanmoins, perdant peu à peu sa vocation industrielle, la ville a transformé l’ancienne voie ferrée en chemin pédestre, le ruisseau qui traverse la ville, le Coulmy, a été assaini, les berges ont été aménagées et un chemin a été aménagé le long de celui-ci. Les anciens hôpitaux et hôtels des usines ont fait place à des parcs.
Les activités industrielles ont laissé la place à des activités commerciales, artisanales, culturelles et sportives, la transformant en un nouveau pôle attractif.