Cette croix de chemin en bois verni repose sur un socle en moellons de grès. Il s’agissait d’un passage obligé lors des rogations. Dans le calendrier liturgique, il s’agit des 3 jours précédent immédiatement le jeudi de l’Ascension.
Il s’agit donc des 37è, 38è et 39è jours après Pâques.
Croisement avec le Ravel de l’ancienne ligne 147A, un ancien passage des rogations pour les catholiques fêtant l’Ascension.
La jonction du Ravel avec le terrain de l’école pour les conducteurs d’engins de chantier, côté est, non loin du parc à conteneurs.
Croisement du Ravel de l’ancienne ligne 47A avec le chemin qui monte vers le Chêneux, massif forestier au nord de Ville-du-Bois.
On peut retrouver cette forme du mot hêtre en wallon, au même titre que "fawe". Cela signifie une petite hêtraie. Ce lieu-dit se situe sur le Ravel de l’ancienne ligne 47A au niveau d’un chemin qui a été nettoyé pour rejoindre Petit-Thier.
Un peu plus au nord-est, toujours à proximité du Ravel mais plus proche de Petit-Thier, près du terrain de football, il existe également le lieu-dit Grande Hesse.
Ce toponyme d’origine wallonne signifie "Derrière chez Collette", un patronyme local.
Les toponymes Gotai, Gottalle, Gotale se retrouvent fréquemment dans la région et signifient goutelle, petit ruisseau. Macra évoque également un lieu humide.
En effet, le Ruisseau de Barèchin prend sa source non loin de là, près de l’orée occidentale du village.
La jonction entre le Chemin de Grand-Halleux, mieux connu des cyclistes, notamment lors du Liège-Bastogne-Liège, sous la forme "Côte de Mont-le-Soie" et le Chemin de Wanne.
Cette côte est longue d’environ 1700 m avec une côte moyenne de 7,9%. Elle grimpe jusqu’à une altitude de 570 m près du hameau de Mont-le-Soie et son centre équestre international.
On trouve ce toponyme écrit sous diverses formes, telles que Houssé, Houssaie ou encore Houssoye. Ce qui signifie un lieu planté de houx. Ici, tout au-dessus, au nord du village de Petit-Thier.
Le sommet de la côte de Mont-le-Soie, entre les ancienne communes de Grand-Halleux et de Petit-Thier. La route y croise un chemin forestier.
Cette croix en bois verni surmontée d’une toiture à deux pans, est située au sommet du Col de Mont-le-Soie, à 556 m d’altitude.
Ces vastes implantations équestres s’étendant dans une clairière de 17 ha appartiennent à la Région wallonne.
Son conseil d’administration regroupe des représentants de la Province du Luxembourg, de la commune de Vielsalm et de l’Université de Liège.
Ce hameau s’apparente à une clairière isolée située en plein milieu d’un vaste massif forestier aux confins orientaux de la commune de Vielsalm. Il est principalement occupé par le Centre européen du Cheval.
Depuis la vallée où coule le Ruisseau de Petit-Thier, un affluent de la Salm, il est atteint depuis une côte bien connue des cyclistes : la Côte de Mont-le-Soie.
Au-dessus de cette côte, on atteint une altitude de 555 m.
Il est située le long d’une ancienne voie romaine.
La sortie ouest du hameau de Mont-le-Soie.
Cette petite aire de pique-nique abritée, en bordure d’une petite route, est à deux pas du centre équestre.
Un croisement de chemins forestier au sud-ouest de Mont-le-Soie. La croix existe bien et est un peu cachée dans les buissons alentours, côté est.
Un croisement forestier au cœur du Chêneux. On retrouve ce toponyme parfois écrit "Al Sathe", "Ol Sathe" ou encore "Ol Stâte".
Ce toponyme reflète bien l’état des lieux avant son déboisement quasi complet au 18è siècle : un massif planté de chênes dont il subsiste un exemplaire bien connu : le Rond-Chêne !
Ce toponyme signifie une hauteur. De fait ! Le sommet est tout proche à 560 m d’altitude.
Un très ancien point de repère à ce carrefour forestier à 6 branches, sur les hauteurs septentrionales de Ville-du-Bois et au nord-est de Vielsalm.
Ce chêne pédonculé est un vestige de la forêt du 18è siècle.
Elle disparut quasiment entièrement suite à l’utilisation abusive du bois.
Celui-ci a probablement été épargné parce qu’il constituait un point de repère sur l’ancienne voie qui menait à Stavelot.
C’est au 19è siècle que les autorités communales décidèrent de reboiser, mais cette fois avec des résineux, pour des raisons de rentabilité.
Un repère situé au sud du Chêneux, le massif forestier qui s’étend sur les hauteurs de Ville-du-Bois.
Ce lieu-dit est situé à la lisière méridionale du massif du Chêneux, sur les hauteurs du Neûreu, à environ 600 m au nord du ruisseau.
Ce toponyme provient du diminutif wallon falihoûle (de falîhe, apparenté au français falaise) et désigne une petite roche.
Croisement avec le Ravel de l’ancienne ligne 147A, un ancien passage des rogations pour les catholiques fêtant l’Ascension.