Les noms des rues tchinâ, tronleû, vôye di lêwe… des centres al tour, li mostî, et autres lieudits tchèfosse, â batch, tchafor… évoquent la vie au village autrefois.
En 860, l’Empereur Lothaire II d
Les noms des rues tchinâ, tronleû, vôye di lêwe… des centres al tour, li mostî, et autres lieudits tchèfosse, â batch, tchafor… évoquent la vie au village autrefois.
En 860, l’Empereur Lothaire II donnait des revenus à l’église de Sprimont. Il donne « La Tour » ou maison forte de Sprimont, embryon du futur château, à l’abbaye de Stavelot.
Cette forteresse n’était autre que Neufchâteau-sur-Amblève qui devait jusqu’à la fin, en 1578, constituer la défense militaire de Sprimont. Cette forteresse était plus ancienne que Sprimont même, car en 741, Griffon, fils de Charles Martel y fut enterré.
Le portail d’entrée est surmonté d’une pierre datée de 1642 et porte les armoiries de l’Etat dont dépendait Louveigné (principauté abbatiale de Stavelot).
Un loup figure sur une pierre.
Histoire du ban de Sprimont par Paul BAAR et
Patrimoine Monumental de Belgique