Cette chapelle mariale a été construite sur les plans de l’architecte Michel Claes.

Cette chapelle est située juste en face de l’église du Sacré-Cœur.

Cette chapelle a été bâtie par les habitants de Pondrôme en remerciement à la Vierge Marie pour avoir protégé le village durant les deux guerres mondiales.

Une chapelle en moellons de calcaire avec un toit à deux pans surmonté d’une croix blanche, dont la façade a été remaçonnée avec des blocs de bétons et renforcée.

Cette petite chapelle en briques avec quelques moellons de calcaire est intégrée à la ferme en quadrilatère située à l’entrée nord du hameau.

Une chapelle en briques dont l’entrée est protégée par un portail bleu.

Cette chapelle a été construite en 1947 en mémoire des combats qui ont eu lieu entre les maquisards et les soldats allemands. Durement touchés, les Allemands ont mené des représailles à Hérock où le village a été incendié.

Cette chapelle couverte d’une toiture en ardoise à deux versants est entourée d’une haie.
Au linteau de la porte d’entrée, une pierre carrée en marbre rouge porte l’inscription CAUCIN FRANCOIT DE GOCHENEE 1832.

Cette chapelle d’inspiration néo-classique en moellons de calcaire et en marbre rose date de 1856. Elle est composée d’une seule travée terminée par un chevet semi-circulaire.

Cette petite chapelle est dédiée à Notre-Dame de Beauraing.

Cette petite chapelle située à la sortie sud du hameau, citée en 1960. Elle contient une grande statue de la Vierge Marie sous un toit soutenu par 4 colonnes blanches.

Cette chapelle en moellons de calcaire et à la toiture d’ardoises se trouve à l’ombre d’un arbre centenaire. Elle est également appelée Notre-Dame de Foy.

Notre-Dame de Lorette a été proclamée la patronne des aviateurs par le pape Benoît XV.
La légende liée à cette chapelle trouve son origine par Josine de la Marck, comtesse de Rochefort, décédée en 1626.

Une étonnante chapelle à l’architecture moderne en moellons de calcaire construite en 1961.

Ce sanctuaire rural qui s’apparente à un ermitage a été edifié au 19è siècle.
La maison située dans le prolongement de la nef était autrefois un presbytère.

Cette chapelle classée, entourée d’un chêne, d’un frêne, de tilleuls et d’un rideau de thuyas, est millésimée 1750.

Cette potale qui contient une statue de la Vierge Marie protégée par une grille, date de 1943.

Une petite chapelle fermée en moellons de calcaire sous bâtière d’ardoises.

Chapelle érigée en 1675 et consacrée à Notre-Dame de Foy dite de Bon-Secours, lieu d’une dévotion particulière.
Elle a été agrandie en 1828.
La peinture est en blanc crépi.
On peut y voir 2 tilleul

Cet oratoire dédié à la Vierge date du 18è siècle.
Le chemin qui y mène est jalonné de tilleuls et d’édicules évoquant les 7 douleurs de la Vierge.

Cette chapelle se trouve juste devant le cimetière du village, à l’écart de celui-ci, à l’ouest.

Cette chapelle en pierre de calcaire a été bâtie en 1767. Elle a été inaugurée le 15 juin 1769.

Cette chapelle datant du 12è siècle, en pierre non taillée et surmontée d’un petit campanile, contient plusieurs pierres tombales dont une en relief est particulièrement remarquable.

Cette chapelle a été construite en 1777. On y trouve une cloche datant de 1502 issue de l’église romane attenante au château féodal.

Cette chapelle en bois a été construite par les membres de la Fraternité de Tibériade. Il s’agit d’une communauté religieuse catholique d’inspiration franciscaine dont la maison-mère est à Lavaux-Sainte-Anne.

Cette chapelle en moellons de grès date de 1856.

Une chapelle en moellons de calcaire surmontée d’un clocheton à la bâtière d’ardoises très pointue.

Cette chapelle construite en 1866 a été construite par les habitants du village pour être préservés du choléra.

Cette chapelle a été construite en 1636 afin de remercier Saint-Roch d’avoir protégé le village lors d’une épidémie de peste. Elle est classée au patrimoine immobilier de Wallonie depuis 1982.

Cette chapelle a été construite en 1879.

Cet ermitage remonte au 14è siècle. La chapelle est construite à l’emplacement de la sépulture de Saint-Hadelin et près de la grotte où il s’est retiré. Au service de l’église de Celles, les ermites se sont retirés en 1789.

Une petite potale sur un poteau en pierre de taille, avec une niche grillagée verte contenant une statue de la Vierge.