On cite déjà l’existence de l’ermitage du Wachet au 16è siècle. Le premier ermite mentionné est Claude de Habaru. La chapelle quant à elle date du 17è siècle.
Le Christ en croix en bois polychrome sur la façade ouest de la chapelle date du 18è siècle.
Les vitraux représentent Notre-Dame de Beauraing, une piéta, une Vierge et une éducation de la Vierge.
Une procession annuelle à la Vierge a lieu tous les 15 août. On y dresse un autel en plein air.
Une petite chapelle de style-néogothique en pierre de France, surmontée d’un clocheton.
Selon la tradition populaire, un des comtes de Chiny, Louis Il, victime d’un accident de chasse ou d’une maladie soudaine fut soigné et guéri au presbytère de Rouvroy.
Petite chapelle à l’orée du bois en souvenir des victimes de l’épidémie de peste de 1636. Elle fait l’objet d’un culte à la Vierge, consolatrice des affligés.
2 maisons habitées subsistent à Saint-Vi
Chapelle de style classique édifiée en 1927.
La nef unique est à 2 travées.
Le choeur est à 3 pans.
Il y a une petite sacristie sur la droite.
Le portail est de style 18è et est surmonté d’une nic
Cette chapelle de style néo-gothique (1868) a été construite sur une grand place herbeuse selon les plans de l’architecte Jamot d’Arlon et par l’entrepreneur Feltus de Buzénol.
Cette petite chapelle de style roman date du 17è siècle. Elle est surmontée d’un clocher. Un petit toit surmonte la porte d’entrée. Elle possède un œil-de-boeuf avec une pierre formant un S et une niche avec une statuette de la Vierge.
Cette chapelle dédiée à Saint-Pierre est une propriété communale.
Elle a été construite en 1620 à l’emplacement d’un ermitage dont le dernier ermite était Célestin Lamotte.
Cette chapelle date du 17è siècle.
Ces massifs boisés présentent un intéressant relief de terrasses et point de vue sur la dépression de Musson-Halanzy.
Cet ensemble de 14 croix représente les différentes étapes de la passion du Christ. Les stations ont été offertes par des donateurs locaux. Leur nom est inscrit à l’arrière de chaque station.
Cette église à 3 nefs de style néo-roman a été entièrement reconstruite en 1954 après la seconde guerre mondiale selon les plans de Léon Lamy d’Arlon.
L’existence de ce fourneau est déjà mentionnée en 1602. Ses propriétaires n’étaient autres que ceux du Pont d’Oye ou des Epioux. Ses activités cessèrent en 1829.
Sur ce plan d’eau, il est possible de nager. On y trouve également une promenade le long du lac, une salle omnisports, une aire de repos avec pique-nique ainsi qu’une cafétéria.
Bordée d’une plage herbeuse, cette zone de baignade se situe le long du Ton, dans le Lac de Conchibois, au sud-ouest du village de Saint-Léger.