Une chapelle ferme en crépi blanc avec une toiture à deux pans.

Cette chapelle a été bâtie à la mémoire de Ferdinant Rigaux-Lambotte, décédé à cause d’une blessure infligée par son cheval.

Une chapelle fermée aux murs crépis en blanc avec une toiture à deux pans.

Ancienne chapelle dédiée à Notre-Dame (1733) et abritant une source réputée miraculeuse pour soigner les maladies des yeux. De nombreux pélerins s’y rendent chaque année le 8 septembre.

Chapelle dédiée à Notre-Dame des 7 douleurs, construite en 1935 sur le site de l’ancienne église démolie en 1893.
L’oratoire, non reconnu, est cité en 1999.

Source : Monuments et vocables religieu

Une petite chapelle en briques avec une toiture à deux pans surmonté d’une croix en fer forgé.

Cette chapelle ouverte en briques avec une toiture à 2 pans contient un Christ en croix ainsi qu’une statue de la Vierge Marie.

Il s’agit d’un petit sanctuaire ouvert en pierres et en bois qui contient une statue de la Vierge, au croisement des deux rues.

Cette chapelle dédiée à Notre-Dame de Bon Secours fut bâtie en forêt à l’ouest d’Arville, au lieu-dit Chèny du Mont, 4 km à l’ouest de St-Hubert.
Elle a été construite en 1833 et rebâtie en 1886.

Cette chapelle-ermitage a été construite en 1649, avec source, sur un rocher escarpé dominant la vallée de l’Ourthe, près de la route de Moircy. Cet oratoire non reconnu a été cité en 1999. Il fait l’objet d’un pèlerinage.

Une petite chapelle ouverte en moellons de grès dédiée à Notre-Dame de Lourdes. Elle comporte une statue de la Vierge. Elle a été restaurée en 2001.

Cette chapelle, aussi dédiée à Notre-Dame de Lourdes, date de la seconde moitié du 19è siècle et a été rénovée en 1999.

Cette chapelle a été construite à l’origine en 1718 après que les habitants du village aient reçu l’autorisation de l’abbaye de Saint-Hubert en échange de terrains. Elle fut détruite durant la 2è guerre mondiale puis reconstruite en 1950.

Cette chapelle mononef de style néo-roman a été construite en 1869. La sacristie se situe contre l’abside du chœur.

Cette chapelle mononef avec un chœur plus étroit à chevet plat, a été bâtie entre 1907 et 1908 sur les plans de l’architecte Würth. Elle a subi une restauration intérieure grâce au père Grégoire Wathelet de Maredsous en 1968.

Cette chapelle était une ancienne école en 1880. Elle est devenue une chapelle vers 1900. Elle est devenue propriété de la fabrique d’église en 1992 et a été rénovée en 1999.

Cette chapelle a été construite en 1953 au sommet d’une colline culminant à 500 m et dominant le village, à l’emplacement d’une chapelle plus ancienne, construite après une épidémie de peste ayant ravagé le village au 17è siècle.

Cette chapelle en moellons de grès a été édifiée pour demander la protection de Saint-Roch contre la peste.

Cette chapelle de style néo-roman a été construite en 1880. Elle remplace un édifice plus ancien datant de 1664 placé de l’autre côté de la colline. Il fut brûlé avec le reste du village disparu, Mageriol, lors d’une épidémie de peste.

Cette chapelle datant 1865 a été construite par la famille Debierre-Thomas.

Ce sanctuaire a été érigé en 1926 par l’unique apport et débrouillardise des habitants. Elle a été bénite le bénite le 23 mars 1926.

Cette grotte date de 1940.

Une petite niche triangulaire accrochée à un arbre abritant une statuette stylisée de la Vierge.