Préhistoire : avant -3000 (premières écritures)
Antiquité : -3000 à 476 (chute de l'empire romain d'occident)
Moyen-Age : 476 à 1453 (chute de l'empire romain d'orient)
Temps modernes : 1453 à 1789 (Révolution française)
Epoque contemporaine : 1789 à 1945 (Fin de la seconde guerre mondiale)
Histoire récente : 1945 à nos jours
Le comte Georges d’Artet de Neufmoustier découvre près de sa villa une source ferrugineuse et des mofettes d’acide carbonique.
Il devient propriétaire du terrain d’une superficie de 9 500 m².
Il capte la source avec le docteur Achille Poskin, spécialiste en hydrologie et médecin à Spa.
Georges d’Artet de Neufmoustier concède au Syndicat des Eaux Minérales de Spa le droit d’exploiter les eaux minérales de la source à ses frais avec une location par bail et une redevance de 2 centimes par bouteille vendue.
L’eau est commercialisée sous les marques Royale Spa, Duc de Fer et La Soyeureuse.
Edouard Libotte-Thiriar, un industriel liégeois, achète la source à Georges d’Artet de Neufmoustier.
Il constitue avec 26 autres personnes la SA La Royale Spa.
L’usine d’embouteillage qui se trouvait boulevard des Anglais est construite près de la source.
Plus de 8 millions de bouteilles sont vendues en Belgique et à l’étranger.
La société concurrente Spa Monopole achète la SA La Royale Spa.
Les 65 m³ journaliers de la source Wellington servent à alimenter l’établissement des Bains de Spa en plus des eaux de la source Marie-Henriette qu’il reçoit depuis 1867.
Spa Monopole cède la propriété de la source à la ville de Spa en échange d’une prolongation de sa concession.
Les anciens bâtiments de l’usine d’embouteillage de la Royale Spa sont démolis.
Le petit kiosque est démonté.