Elle est officiellement reconnue par le Ministère de la Communauté française contenant plus de 150 000 livres.
Eglise de style dorique construite de 1834 à 1838 en remplacement de l'ancienne église qui se trouvait Place du Marché derrière l'Hôtel de Ville.
Eglise primaire de la cité où sont célébrées les manifestations religieuses dont les Te-Deum des 21 juillet et 15 novembre.
Les jets modulés partent du sol. Elle permet une promenade entre les jets en éventail.
Elle peut être arrêtée pour faire place à d’autres activités.
Elle comporte 7 pompes, 20 jets moussants, 69 jets verticaux et 84 spots multicolores alimentés par fibre optique.
Elle abrite actuellement le Forem de Verviers.
Concours International de Chant Lyrique, représentation d’opérettes, de pièces de théâtre, concerts de styles divers...
L’intérieur se présente sous la forme d’un théâtre à l’italienne de style Louis XIV.
Les loges et balcons sont garnis de draperies et de guirlandes blanc et or.
Le plafond sert de support à une oeuvre du liégeois Berkmans représentant des scènes mythologiques.
Il a changé d’affectation en 1880. Il y subit des transformations afin d’accueuillir un musée.
L’ensemble a été réaménagé en 1912.
- Peintures anciennes de maîtres liégeois, flamands, hollandais, français, italiens, etc.
- Peintures de maîtres belges du 19è s
- Peintures contemporaines de diverses écoles
- Gravures liégeoises
- Sculptures, principalement bois polychromes, des 15è et 16è
- Porcelaines et faïences anciennes et modernes, grès de Raeren
On y trouve des séries préhistoriques, égyptiennes, romaines, gallo-romaines et mérovingiennes, des monnaies romaines, liégeoises, des médailles verviétoises, des ensembles mobiliers des 17è, 18è et 19è, des peintures d’artistes régionaux, des armes (18è et 19è) et des dentelles belges, françaises et italiennes.
Il s’agit de Mathias-Guillaume de Louvrex (Liège, 1665 - 1734), Olivier Leclercq (Herve, 1761 - 1842), Toussaint Dandrimont (Liège, 1757 - 1822) et de Charles Méan (Liège, 1604 - 1674).
Le corps de la fontaine est en blocs calcaires
La colonne de bronze est achevée par une croix sur pomme de pin.
Chacune de ses faces est décorée par un masque d’angelot en bronze également, qui crache son jet d’eau dans un vaste coquillage en pierre.
Immeuble en forme de tour rectangulaire, en briques et pierres, coiffé d’une toiture à croupes.
Les fenêtres et pignons sont des restes de la résistance mosane : ancrages, fenêtres à jour unique et à deux jours superposés
Le pignon ouest conserve une fenêtre d’origine et des meurtrières permettant la défense de l’entrée de la ville.
1672 La Porte d’Ensival est construite appelée aussi Porte de la Xhavée (Xhavée < LATIN : excavata = creusé).
1980 Le bâtiment est restauré. Il abrite durant un temps le Syndicat d’initiative de la ville sis à présent Rue de la Chapelle au Centre touristique de la Laine et de la Mode.
Il souscrivait aux idées nouvelles et aux libertés obtenues sous le régime français (mariage civil, rattachement de la Principauté de Liège à la France...).
Ces idées ne sont pas au goût du Prince-Evêque de Liège et c’est lui qui l’a fait arrêter et condamné pour "servir d’exemple".
La mise à mort a lieu de manière barbare : le bourreau rate la décapitation à la hache. Après sa première tentative infructueuse, il termine le travail à la scie.