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Petite chapelle à l’orée du bois en souvenir des victimes de l’épidémie de peste de 1636. Elle fait l’objet d’un culte à la Vierge, consolatrice des affligés.
2 maisons habitées subsistent à Saint-Vi
Petite chapelle à l’orée du bois en souvenir des victimes de l’épidémie de peste de 1636. Elle fait l’objet d’un culte à la Vierge, consolatrice des affligés.
2 maisons habitées subsistent à Saint-Vincent. Les morts sont enterrés le long d’un bois de chênes d’où l’apparition de l’appelation "Chenois". Une niche avec une statuette de la Vierge est placée à cet endroit en souvenir des défunts.
La nef est à 3 pans.
La baie d’entrée est millésimée 1837
La grille en fer forgé (1950)
Un pélérinage annuel des paroissiens de Saint-Vincent a lieu le 5è dimanche après Pâques.
A l’intérieur, le plafond est à voussure avec deux baies en plein cintre encadrent le choeur.
Eglise dédiée à Saint-Roch construite sur bas d’une ancienne chapelle du début du 16è.
A l’intérieur, on peut y trouver des statues en bois dont Sainte Scholastique, Saint Etienne et Saint Raymond.
Ancien fourneau du 17è.
En 1633, Henry le Comte est propriétaire du fourneau et de la forge de Buzenol-Montauban.
Il obtient l’octroi de Philippe de Mérode, Seigneur de Villemont pour fonder un fourneau à Rawez. Le minerais est extrait des minières de Saint-Vincent.
A la fin du siècle, Jacques Lambert de Grandvoir puis son fils Jean poursuivent l’activité du fourneau qui se chiffre à plusieurs centaines de tonnes de fonte par an. On y moule des poteries domestiques, des poëles, des taques...
La sidérurgie luxembourgeoise tombe en crise au 18è. Rawez en pâtit directement.
Il cesse toute activité au milieu du 19è.
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